LaConvention collective nationale a Ă©tĂ© signĂ©e le 15 septembre 2020 par les partenaires sociaux du secteur agricole. Elle entrera en vigueur le 1 er avril et va s’appliquer Ă  toutes les entreprises de la production agricole et des Cuma, sur tout le territoire français.
Type d'Ă©tablissement SiĂšge RCS 422519645 RCS La Roche-sur-Yon Date de crĂ©ation 01/04/1999 Date mise Ă  jour 27/10/2021 DE LA TRESSON, SociĂ©tĂ© civile d'exploitation agricole , a Ă©tĂ© créée en 1999 il y a 23 siĂšge est domiciliĂ© Ă  BARBATRE 85630. Elle emploie entre 3 et 5 salariĂ©s. CatĂ©gorie Culture et production animale, chasse et services annexes LibellĂ© Code NAF Culture de lĂ©gumes, de melons, de racines et de tubercules Adresse postale 21 RUE DES LILAS85630 BARBATRE DĂ©partement VendĂ©e 85 RĂ©gion Pays de la Loire Nous n'avons pas encore trouvĂ© de contact. Nous n'avons pas encore trouvĂ© de site internet. Dirigeants mandataires Depuis le Nom RĂŽle 14/03/2017 Philippe YVRENOGEAU GĂ©rant 14/03/2017 DE LA MAISON ROUGE AssociĂ© indĂ©finiment responsable IDCC 7024 Mise Ă  jour du 25/07/2022 Convention collective nationale PA/CUMA . ActivitĂ©s associĂ©es au code NAF 0113Z Asperges Choux Choux-fleurs et brocolis Laitues ChicorĂ©es Épinards Artichauts Autres lĂ©gumes Ă  feuilles ou Ă  tiges PastĂšques Autres melons Piments et poivrons, verts uniquement capsicum Concombres et cornichons Aubergines Tomates Autres lĂ©gumes Ă  fruits Carottes et navets Ail Oignons Poireaux et autres alliacĂ©s Autres lĂ©gumes Ă  racine, Ă  bulbe ou Ă  tubercules ne prĂ©sentant pas une forte teneur en amidon ou inuline Pommes de terre Patates douces Manioc Colocases Autres racines et tubercules Ă  amidon ou inuline comestibles Plants et semences potagers, Ă  l'exclusion des semences de betteraves Betteraves Ă  sucre Semences de betteraves Ă  sucre Champignons et truffes LĂ©gumes frais SIRET Nom Type d'Ă©tablissement Adresse Code NAF Effectif Date de crĂ©ation 42251964500028 DE LA TRESSON SiĂšge 21 RUE DES LILAS 85630 BARBATRE Culture de lĂ©gumes, de melons, de racines et de tubercules Etablissement non employeur 01/09/2005 42251964500010 DE LA TRESSON Etablissement fermĂ© le 01/09/2005 44 RTE DE LA TRESSON 85680 LA GUERINIERE Etablissement non employeur 01/04/1999
Conventioncollective nationale de la production agricole et CUMA du 15 septembre 2020 PrĂ©ambule Article En vigueur Ă©tendu ConformĂ©ment aux exigences lĂ©gales et conventionnelles, et particuliĂšrement en application de l'accord d'objectifs du 15 novembre 2016 sur la restructuration de la nĂ©gociation collective de l'interbranche agricole, les organisations syndicales de salariĂ©s Principe des critĂšres classant Cinq critĂšres de valorisation des emplois TechnicitĂ©Il s'agit de la technicitĂ© dans toutes les familles d'emplois, qu'il s'agisse de la production, de la maintenance, de la vente, de la comptabilitĂ©, du juridique, convient d'apprĂ©cier la nature des tĂąches/missions confiĂ©es, le degrĂ© de simplicitĂ© ou de complexitĂ© de l'emploi, l'Ă©tendue des activitĂ©s nombreuses, Ă©volutives et le temps nĂ©cessaire d' s'agit d'apprĂ©cier la nature des instructions consignes prĂ©cises, directives gĂ©nĂ©rales et les conditions de surveillance, de critĂšre porte sur les responsabilitĂ©s inhĂ©rentes Ă  l'emploi en matiĂšre de risques potentiels et de contribution au dĂ©veloppement de l'entreprise. Elle porte sur les exigences de l'emploi dans 2 domaines, formulĂ© en 2 sous-critĂšres – l'importance du respect des normes par exemple les normes liĂ©es Ă  la qualitĂ©, l'hygiĂšne, la sĂ©curitĂ©, l'environnement, etc. dans le cadre de l'emploi ; – l'enjeu Ă©conomique dans le sens de la contribution aux objectifs de l' s'agit de valoriser la nature du management animation, encadrement et la nature des personnes visĂ©es par l'animation ou l'encadrement degrĂ© d'autonomie de ces personnes temporaires, saisonniĂšres, permanentes ; personnes animant ou encadrant elle-mĂȘme d'autres personnes ; etc..RelationnelCe critĂšre permet d'apprĂ©cier la complexitĂ© des Ă©changes induits par l'emploi simple information, conviction, nĂ©gociation
 et la nature des interlocuteurs collĂšgues et encadrement interne Ă  l'entreprise, prestataires, fournisseurs, clients, partenaires institutionnels, relations internationales
. DegrĂ©s par critĂšreChaque critĂšre comprend plusieurs degrĂ©s ». Il s'agit pour chaque emploi de choisir pour chaque critĂšre le degrĂ© qui correspond le mieux aux exigences emploi doit ĂȘtre valorisĂ© sur l'ensemble de ces critĂšres, y compris chacun des deux sous-critĂšres du critĂšre Nombre de points et coefficient de l'emploiUn nombre de points est attachĂ© Ă  chaque degrĂ© de chaque sous des points atteints dans chaque critĂšre permet de dĂ©terminer un nombre total de points pour l'emploi. Il est dĂ©nommĂ© coefficient de l'emploi. Ce coefficient sert ensuite Ă  l'identification de la rĂ©munĂ©ration des normesEnjeux Ă©conomiques1ExĂ©cution d'une ou plusieurs tĂąches simples, nĂ©cessitant peu ou pas d'expĂ©rience2Application de consignes prĂ©cises ou de procĂ©dures connues, sous surveillance et contrĂŽle frĂ©quents2Exigences normatives faibles ou simples et consĂ©quences limitĂ©es en cas de non-respect1Contribution limitĂ©e aux objectifs de l'activitĂ©, obtenue notamment par le respect des contraintes de productivitĂ© et de qualitĂ©1Transmission de savoir-faire possible et/ou rappeler une consigne. Pas de responsabilitĂ© particuliĂšre d' professionnels simples, nĂ©cessitant de bien comprendre ses interlocuteurs internes ou externes et de se faire comprendre par eux12RĂ©alisation d'opĂ©rations qualifiĂ©es, variĂ©es, nĂ©cessitant une expĂ©rience antĂ©rieure ou un temps d'appropriation4ActivitĂ©s dĂ©finies par des instructions gĂ©nĂ©rales, sous surveillance et contrĂŽle intermittents ou pĂ©riodiques7Exigences normatives fortes ou complexes et consĂ©quences importantes en cas de non-respect4Contribution moyenne au rĂ©sultat de l'entreprise notamment par l'optimisation des moyens, de l'organisation de son emploi/de son Ă©quipe4Animation technique et/ou organisationnelle rĂ©guliĂšre d'une ou plusieurs Ă©quipes, majoritairement temporaires/saisonniers3Échanges professionnels courants, nĂ©cessitant une Ă©coute attentive de ses interlocuteurs, la reformulation de leurs demandes, une force de conviction et l'apport de conseils43RĂ©alisation d'activitĂ©s trĂšs qualifiĂ©es, fortement Ă©volutives, nĂ©cessitant une maĂźtrise confirmĂ©e du mĂ©tier16Adaptation des mĂ©thodes dans le cadre d'objectifs dĂ©finis ou Ă  partir de directives gĂ©nĂ©rales, contrĂŽle ou apprĂ©ciation a posteriori des rĂ©sultats ou de l'atteinte des objectifs28ResponsabilitĂ© du dĂ©ploiement des normes et de la vĂ©rification de leur respect25Contribution essentielle au dĂ©veloppement de l'entreprise notamment par orientation de ses activitĂ©s et identification d'innovations25Animation technique et/ou organisationnelle d'une ou plusieurs Ă©quipes majoritairement permanentes10Échanges professionnels complexes, nĂ©cessitant la construction d'argumentaires et d'explications pĂ©dagogiques, la capacitĂ© Ă  mobiliser ses interlocuteurs externes ou internes144CapacitĂ© de conduite de l'ensemble des activitĂ©s complexes d'un domaine de spĂ©cialitĂ©s, en nĂ©cessitant une maĂźtrise complĂšte38DĂ©finition de stratĂ©gies par dĂ©lĂ©gation directe, Ă©valuation Ă  moyen ou long terme des rĂ©sultats globaux de son pĂ©rimĂštre de responsabilitĂ©100Encadrement hiĂ©rarchique de proximitĂ© d'une ou plusieurs Ă©quipes d'exĂ©cution23Relationnel professionnel dĂ©terminant pour l'entreprise, nĂ©cessitant persuasion et diplomatie, conduite de nĂ©gociations et reprĂ©sentation de l'entreprise auprĂšs d'acteurs privĂ©s ou institutionnels505ResponsabilitĂ© de l'ensemble des missions, y compris expertes d'un ou plusieurs domaines de spĂ©cialitĂ©s100Encadrement hiĂ©rarchique d'encadrants ou de cadres486ResponsabilitĂ© hiĂ©rarchique de tous les collaborateurs de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement100
Lahausse du SMIC Ă  10,57 €/h brut au 1 er janvier 2022 (cf. dĂ©cret n°2021-1741 du 22/12/2021 impacte la grille des salaires prĂ©vus dans le cadre de la convention collective nationale de la production agricole et des Cuma.. Ainsi, les 2 premiers paliers de la grille nĂ©gociĂ©e par les partenaires sociaux sont-ils relevĂ©s Ă  10,57 €/h :
Version initiale Le ministre de l'agriculture et de la souverainetĂ© alimentaire,Vu le code du travail, notamment les articles L. 2261-15 et suivants, R. 2231-1 ;Vu la demande d'extension prĂ©sentĂ©e par les organisations signataires des avenants mentionnĂ©s dans le tableau annexĂ© au prĂ©sent arrĂȘtĂ© ;Vu l'avis relatif Ă  l'extension publiĂ© au Journal officiel de la RĂ©publique française du 16 juillet 2022 ;Vu l'avis motivĂ© de la sous-commission agricole des conventions et accords de la Commission nationale de la nĂ©gociation collective, de l'emploi et de la formation professionnelle ;Vu l'accord donnĂ© par le ministre du travail, du plein emploi et de l'insertion,ArrĂȘte Les dispositions des avenants salariaux mentionnĂ©s dans le tableau annexĂ© au prĂ©sent arrĂȘtĂ© sont rendues obligatoires pour tous les employeurs et tous les salariĂ©s compris dans le champ d'application professionnel et territorial dont ils relĂšvent, sous rĂ©serve, le cas Ă©chĂ©ant, de l'application des dispositions lĂ©gislatives et rĂ©glementaires relatives au salaire minimum de des effets et sanctions des avenants visĂ©s Ă  l'article 1er est faite Ă  dater de la publication du prĂ©sent arrĂȘtĂ© pour la durĂ©e restant Ă  courir et aux conditions prĂ©vues par lesdits prĂ©sent arrĂȘtĂ© sera publiĂ© au Journal officiel de la RĂ©publique collective concernĂ©eAvenant de salaire concernĂ© par l'extensionN° du BOCC oĂč l'avenant est publiĂ©Date de publication de l'avis au JORFAccord du 15 septembre 2020 sur les classifications et les salaires minimaux du personnel ouvrier / ACT / cadres dans les scieries agricoles et les exploitations forestiĂšresAvenant n° 3 du 2 juin 20222022/2516 juillet 20227004Convention collective nationale du 7 juin 1984 concernant les coopĂ©ratives laitiĂšres agricolesAvenant n° 83 du 11 mai 20212022/2516 juillet 20227004Convention collective nationale du 7 juin 1984 concernant les coopĂ©ratives laitiĂšres agricolesAvenant n° 84 du 11 mai 20212022/2516 juillet 20227004Convention collective nationale du 7 juin 1984 concernant les coopĂ©ratives laitiĂšres agricolesAvenant n° 85 du 11 mai 20212022/2516 juillet 20227004Convention collective nationale du 7 juin 1984 concernant les coopĂ©ratives laitiĂšres agricolesAvenant n° 86 du 18 janvier 20222022/2516 juillet 20227004Convention collective nationale du 7 juin 1984 concernant les coopĂ©ratives laitiĂšres agricolesAvenant n° 87 du 18 janvier 20222022/2516 juillet 20227004Convention collective nationale du 7 juin 1984 concernant les coopĂ©ratives laitiĂšres agricolesAvenant n° 88 du 18 janvier 20222022/2516 juillet 20227002Convention collective des coopĂ©ratives agricoles de cĂ©rĂ©ales, de meunerie, d'approvisionnement, d'alimentation du bĂ©tail et d'olĂ©agineuxAvenant n° 133 du 11 janvier 20222022/2516 juillet 20227006Convention collective nationale des sociĂ©tĂ©s coopĂ©ratives agricoles, unions de coopĂ©ratives agricoles et SICA de fleurs, de fruits et lĂ©gumes et de pommes de terreAvenant n° 95 du 19 mai 20222022/2516 juillet 20227024Convention collective nationale Production agricole / CUMA du 15 septembre 2020Avenant n° 5 du 15 juin 20222022/2516 juillet 20227025Convention collective nationale de travail concernant les entreprises de travaux et services agricoles, les entreprises de travaux et services ruraux et les entreprises de travaux et services forestiers du 8 octobre 2020Avenant n° 4 du 12 mai 20222022/2516 juillet 20228531Convention collective de travail du 15 octobre 1985 concernant les exploitations forestiĂšres et scieries agricoles de la rĂ©gion BretagneAvenant n° 48 du 8 avril 20222022/2516 juillet 20228531Convention collective de travail du 15 octobre 1985 concernant les exploitations forestiĂšres et scieries agricoles de la rĂ©gion BretagneAvenant n° 49 du 8 avril 20222022/2516 juillet 2022Fait le 3 aoĂ»t le ministre et par dĂ©lĂ©gation Le chef du service des affaires financiĂšres, sociales et logistiques,S. ColliatNota .- Ces textes ont Ă©tĂ© publiĂ©s au Bulletin officiel des conventions collectives agriculture n° 2022/25, disponible sur le site du Journal officiel Ă©lectronique authentifiĂ© PDF - 189,3 KoRetourner en haut de la page
Lesecteur de la production agricole sera dotĂ© d’une convention collective nationale, assortie d’une grille nationale des salaires. Les partenaires sociaux ont instaurĂ© 5 critĂšres classants : technicitĂ©, autonomie, responsabilitĂ©, management, relationnel.
Type d'Ă©tablissement SiĂšge RCS 414318006 RCS Melun Date de crĂ©ation 01/10/1997 Date mise Ă  jour 04/06/2022 LA FERME DE PASSY, SociĂ©tĂ© civile d'exploitation agricole , a Ă©tĂ© créée en 1997 il y a 25 siĂšge est domiciliĂ© Ă  CHEVRY-COSSIGNY 77173. Elle emploie entre 1 et 2 salariĂ©s. Effectif 1 ou 2 salariĂ©s CatĂ©gorie Culture et production animale, chasse et services annexes LibellĂ© Code NAF Culture de cĂ©rĂ©ales sf riz lĂ©gumineuses, graines olĂ©agineuses Adresse postale FERME DE PASSY77173 CHEVRY-COSSIGNY DĂ©partement Seine-et-Marne 77 Dirigeants mandataires Depuis le Nom RĂŽle 04/05/2017 Alexis LEPEU GĂ©rant 02/06/2022 de l'Arche Rompue AssociĂ© indĂ©finiment responsable 02/06/2022 Alexis LEPEU GĂ©rant IDCC 7024 Mise Ă  jour du 25/07/2022 Convention collective nationale PA/CUMA . ActivitĂ©s associĂ©es au code NAF 0111Z BlĂ© dur BlĂ©, Ă  l'exclusion du blĂ© dur MaĂŻs Orge Seigle Avoine Sorgho Millet Triticale Autres cĂ©rĂ©ales Paille et balles de cĂ©rĂ©ales Haricots, verts Pois, verts Autres lĂ©gumes Ă  cosse, verts Haricots, secs FĂšves, sĂšches Pois chiches, secs Lentilles, sĂšches Pois, secs Dolique Ă  Ɠil noir pois du brĂ©sil, niĂ©bĂ© Pois d'ambrevade ou pois d'angole, secs LĂ©gumes Ă  cosse, secs FĂšves de soja Arachides, en coque Graines de lin Graines de moutarde Graines de colza Graines de sĂ©same Graines de tournesol Graines de ricin Autres olĂ©agineux SIRET Nom Type d'Ă©tablissement Adresse Code NAF Effectif Date de crĂ©ation 41431800600015 LA FERME DE PASSY SiĂšge FERME DE PASSY 77173 CHEVRY-COSSIGNY Culture de cĂ©rĂ©ales sf riz lĂ©gumineuses, graines olĂ©agineuses Etablissement non employeur 01/10/1997 Lanouvelle grille de salaires entre en vigueur le 1er avril 2021. L’avenant 1 de la grille de salaires de la convention collective nationale de production agricole/CUMA a Ă©tĂ© Ă©tendu par arrĂȘtĂ© publiĂ© au Journal Officiel le 28 mars 2021. Il entre donc en
À compter du 1er janvier 2021, une convention nationale s’appliquera de maniĂšre obligatoire dans les exploitations agricoles et les CUMA. Elle va induire des changements dans la relation entre employeur et salariĂ©. La convention collective nationale agricole n’efface pas les 140 conventions collectives territoriales existantes, les deux conventions sectorielles et les accords nationaux interbranches. La convention collective nationale dĂ©finit un cadre minimum qui vient s’interposer entre la loi et les accords locaux. Elle a Ă©tĂ© signĂ©e le 15 septembre 2020 pour une entrĂ©e en application au 1er janvier 2021 sous rĂ©serve d’extension. Champ d’application le territoire français la production agricole exploitations et entreprises agricoles ayant une activitĂ© dĂ©finie Ă  l’article 1°et 4°du code rural et les CUMA. Une grande partie des dispositions des conventions collectives locales vont se retrouver dans la convention collective nationale qui est l’aboutissement d’un cadre imposĂ© par les pouvoirs publics. La convention nationale a vocation Ă  prĂ©valoir sur toutes les conventions locales. NĂ©anmoins, les dispositions des conventions dĂ©partementales vont, de leur cĂŽtĂ©, avoir vocation Ă  continuer Ă  s’appliquer dans l’entreprise selon la rĂšgle du plus favorable » et sauf exception. Incidences en paie Ce qui change IntitulĂ© de la nouvelle convention collective Nouvelle classification du salariĂ© Nom du mĂ©tier Taux horaire et catĂ©gorie socio- professionnelle Ă  adapter. Ce qui reste Les dispositions qui n’existent pas dans la convention collective nationale – primes anciennetĂ©, 13Ăšme mois
 et indemnitĂ©s diverses prime de panier, saquette
, – avantages en nature logement
. Les dispositions plus favorables ou Ă©quivalentes. Le changement le plus important est de positionner vos salariĂ©s dans la nouvelle grille de classification. Les Ă©tapes de la valorisation dans l’emploi Etape 1 rĂ©unir tous les Ă©lĂ©ments qui vont permettre de qualifier objectivement les compĂ©tences requises pour l’emploi que l’on souhaite valoriser » Etape 2 identifier, au sein de chacun des 5 critĂšres, le degrĂ© qui correspond le mieux Ă  l’exigence de l’emploi Etape 3 calculer le coefficient Etape 4 dĂ©terminer le palier et, par consĂ©quent, le salaire minimum rĂ©munĂ©ration brute de cet emploi Etape 5 vĂ©rifier la catĂ©gorie socio-professionnelle. A vous de jouer ! Avant de dĂ©marrer ce travail de classification, munissez-vous des documents suivants Contrat de travail et avenant Bulletin de paie Fiche de poste Offre d’emploi dĂ©posĂ©e pour le poste. Vous devez valoriser l’emploi, et non la personne qui l’occupe. Il s’agit de regarder les missions significatives, habituelles et inhĂ©rentes Ă  l’emploi. Chaque critĂšre doit ĂȘtre Ă©valuĂ©. Vous additionnez le nombre de points que vous avez trouvĂ© dans chaque tableau. Vous le situez dans le palier et trouvez ainsi le taux horaire de votre salariĂ©. Puis, vous faites de mĂȘme pour dĂ©terminer la catĂ©gorie socio-professionnelle. Si votre salariĂ© a un salaire supĂ©rieur Ă  celui que vous trouvez, vous lui maintenez. Si son salaire est infĂ©rieur, vous devrez l’augmenter au 1er janvier 2021. Les autres dispositions PĂ©riode d’essai La convention collective nationale reprend les dispositions lĂ©gales en la matiĂšre, tant sur la durĂ©e ouvriers et techniciens 2 mois, agents de maĂźtrise 3 mois et cadres 4 mois que la possibilitĂ© de renouveler la pĂ©riode d’essai une fois pour tous. Il convient de comparer ces dispositions Ă  celles applicables dans les conventions collectives dĂ©partementales, notamment si les pĂ©riodes sont plus longues, elles seront rĂ©ajustĂ©es Ă  la baisse. Temps de trajet La convention collective nationale dĂ©termine les rĂšgles concernant les temps de dĂ©placement. Elle rappelle le principe que la part de temps de dĂ©placement professionnel comprise dans l’horaire de travail est considĂ©rĂ©e comme du temps de travail effectif et est rĂ©munĂ©rĂ©e comme tel». Qu’en est-il des dĂ©placements en dehors de l’horaire de travail ? Le temps normal de trajet entre le domicile et le lieu habituel de travail n’est pas considĂ©rĂ© comme du temps de travail effectif. Le temps de dĂ©placement professionnel pour se rendre du domicile Ă  un lieu de travail autre que le lieu habituel de travail n’est pas du temps de travail effectif. Toutefois, lorsque ce temps de dĂ©placement dĂ©passe le temps normal de trajet entre le domicile et le lieu habituel de travail, l’employeur devra verser une compensation financiĂšre Ă©gale Ă  la moitiĂ© du salaire horaire x temps de dĂ©placement qui dĂ©passe le temps normal habituel ou repos Ă©quivalent. Le grand dĂ©placement est celui qui ne permet pas au salariĂ© de rentrer Ă  son domicile le soir le salariĂ© percevra, dans ce cas, une indemnitĂ© d’éloignement Ă©gale Ă  5 MG minimum garanti, soit 5 x € en 2020 par nuit d’absence. Attention Ă  bien vĂ©rifier les spĂ©cificitĂ©s locales. Travail de nuit La convention collective nationale rappelle la dĂ©finition lĂ©gale du travailleur de nuit. Il s’agit de tout travail effectuĂ© au cours d’une pĂ©riode d’au moins 9 heures consĂ©cutives comprenant l’intervalle entre minuit et 5 heures et commençant au plus tĂŽt Ă  21 heures et s’achevant au plus tard Ă  7 heures. Si le travail de nuit est rĂ©gulier, le salaire horaire du salariĂ© est majorĂ© de 20 % Si le travail de nuit est exceptionnel, la majoration du taux horaire est de 25 %. Contrat intermittent L’accord national du 23 dĂ©cembre 1981 sur la durĂ©e du travail dans les exploitations et entreprises agricoles prĂ©voit dans son article que les employeurs agricoles peuvent conclure des contrats de travail intermittents afin de pourvoir des emplois permanents soumis soit Ă  des variations saisonniĂšres ou de production, soit Ă  des contraintes saisonniĂšres ou extĂ©rieures de commercialisation, ou conclus dans le cadre de services de remplacement, comportant par nature une alternance de pĂ©riodes travaillĂ©es et de pĂ©riodes non travaillĂ©es. Dans le respect de ce principe gĂ©nĂ©ral et des autres dispositions de l’accord national prĂ©citĂ© relatives au contrat de travail intermittent, dans les exploitations et entreprises couvertes par la prĂ©sente convention collective, les emplois pouvant ĂȘtre pourvus par un tel contrat de travail sont les emplois des diffĂ©rentes familles de mĂ©tiers de la production agricole et des CUMA, y compris ceux de l’exploitation, de la prestation, de la transformation, de la commercialisation, des fonctions administratives. Document Unique L’obligation en matiĂšre de santĂ© et de sĂ©curitĂ© est rappelĂ©e dans la convention collective nationale. Elle couvre les thĂšmes suivants Élaboration et mise Ă  jour du Document Unique d’Evaluation des Risques Professionnels Mise en place des Ă©quipements de protection individuelle ResponsabilitĂ© de l’entreprise et sanction Information Ă  faire quand embauche des jeunes. Retraite supplĂ©mentaire Tous les salariĂ©s, quelle que soit leur catĂ©gorie socio-professionnelle, bĂ©nĂ©ficient d’une retraite supplĂ©mentaire. La cotisation est partagĂ©e pour moitiĂ© entre l’employeur et le salariĂ©.
\nconvention collective nationale de la production agricole et cuma
AprĂšsde longs dĂ©bats, ils sont parvenus Ă  un accord (avenant n°4 du 18 janvier 2022 Ă  la Convention collective nationale de la Production agricole et des Cuma) qui sera applicable le 1er jour du mois qui suivra la parution de l’arrĂȘtĂ© d’extension au Journal Officiel. Type d'Ă©tablissement SiĂšge RCS 414873034 RCS Laval N° de TVA FR86414873034 Date de crĂ©ation 01/11/1997 Date mise Ă  jour 27/10/2021 GROUPEMENT AGRICOLE D'EXPLOITATION EN COMMUN RECONNU SAINT ELOI, Groupement agricole d'exploitation en commun GAEC , a Ă©tĂ© créée en 1997 il y a 25 siĂšge est domiciliĂ© Ă  SAINT-AUBIN-DU-DESERT 53700. Elle emploie entre 1 et 2 salariĂ©s. Effectif 1 ou 2 salariĂ©s CatĂ©gorie Culture et production animale, chasse et services annexes LibellĂ© Code NAF Élevage de vaches laitiĂšres Adresse postale CHAUMONT53700 SAINT-AUBIN-DU-DESERT DĂ©partement Mayenne 53 RĂ©gion Pays de la Loire Nous n'avons pas encore trouvĂ© de contact. Nous n'avons pas encore trouvĂ© de site internet. Dirigeants mandataires Depuis le Nom RĂŽle 29/05/2015 Alain PERRIER GĂ©rant 29/05/2015 Maryline BRUGALLE GĂ©rant IDCC 7024 Mise Ă  jour du 25/07/2022 Convention collective nationale PA/CUMA . ActivitĂ©s associĂ©es au code NAF 0141Z Vaches laitiĂšres, vivantes Lait de vache, brut SIRET Nom Type d'Ă©tablissement Adresse Code NAF Effectif Date de crĂ©ation 41487303400014 GROUPEMENT AGRICOLE D'EXPLOITATION EN COMMUN RECONNU SAINT ELOI SiĂšge CHAUMONT 53700 SAINT-AUBIN-DU-DESERT Élevage de vaches laitiĂšres Etablissement non employeur 01/11/1997
CONVENTIONCOLLECTIVE NATIONALE PRODUCTION AGRICOLE / CUMA du 15 septembre 2020 La Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FNSEA) La Fédération Nationale des Coopératives d'UtiIisation de Matériel Agricole (FNCUMA) D'une part, - La Fédération Générale Agroalimentaire CFDT La Fédération Nationale Agroalimentaire et ForestiÚre CGT La
Type d'établissement SiÚge N° de TVA FR90354036543 Date de création 22/03/1990 Date mise à jour 18/01/2022 CUMA DES ORMEES CUMA DES ORMEES, Coopérative d'utilisation de matériel agricole en commun CUMA , a été créée en 1990 il y a 32 siÚge est domicilié à BALIGNICOURT 10330. Elle n'emploie pas de salarié. Catégorie Culture et production animale, chasse et services annexes Libellé Code NAF Activités de soutien aux cultures Adresse postale FERME DES ORMEES10330 BALIGNICOURT Région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine Nous n'avons pas encore trouvé de contact. Nous n'avons pas encore trouvé de site internet. Dirigeants mandataires Depuis le Nom RÎle 22/03/1990 Jean-Michel BOSSELER Président 22/03/1990 Roland CHAPPUT Secrétaire 22/03/1990 Marcel MOUCHOTTE Trésorier 22/03/1990 Andre-Jean CHAPPUT Vice-président IDCC 7024 Mise à jour du 25/07/2022 Convention collective nationale PA/CUMA . Activités associées au code NAF 0161Z Services de soutien aux cultures SIRET Nom Type d'établissement Adresse Code NAF Effectif Date de création 35403654300024 CUMA DES ORMEES SiÚge FERME DES ORMEES 10330 BALIGNICOURT Activités de soutien aux cultures Effectif inconnu 03/12/2021 35403654300016 CUMA DES ORMEES Etablissement fermé le 03/12/2021 10330 DONNEMENT Activités de soutien aux cultures Etablissement non employeur 22/03/1990
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Type d'Ă©tablissement SiĂšge RCS 447611468 RCS Laval N° de TVA FR75447611468 Date de crĂ©ation 22/03/2003 Date mise Ă  jour 29/09/2018 EXPLOITATION AGRICOLE A RESPONSABILITE LIMITEE DE LA ROUABERIE, Exploitation agricole Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e , a Ă©tĂ© créée en 2003 il y a 19 siĂšge est domiciliĂ© Ă  SAINT-HILAIRE-DU-MAINE 53380. Elle n'emploie pas de salariĂ©. CatĂ©gorie Culture et production animale, chasse et services annexes LibellĂ© Code NAF Élevage de vaches laitiĂšres Adresse postale LA ROUABERIE53380 SAINT-HILAIRE-DU-MAINE DĂ©partement Mayenne 53 RĂ©gion Pays de la Loire Nous n'avons pas encore trouvĂ© de contact. Nous n'avons pas encore trouvĂ© de site internet. Dirigeants mandataires Depuis le Nom RĂŽle 08/08/2013 Yann TRAVERS GĂ©rant 08/08/2013 Sylvie BOURGET GĂ©rant IDCC 7024 Mise Ă  jour du 25/07/2022 Convention collective nationale PA/CUMA . ActivitĂ©s associĂ©es au code NAF 0141Z Vaches laitiĂšres, vivantes Lait de vache, brut SIRET Nom Type d'Ă©tablissement Adresse Code NAF Effectif Date de crĂ©ation 44761146800011 EXPLOITATION AGRICOLE A RESPONSABILITE LIMITEE DE LA ROUABERIE SiĂšge LA ROUABERIE 53380 SAINT-HILAIRE-DU-MAINE Élevage de vaches laitiĂšres Etablissement non employeur 22/03/2003

ApplicableĂ  compter du 1er avril 2021, une convention collective nationale instaure une classification et une grille de salaires minima pour tous les salariĂ©s de la production agricole et des Cuma. ArrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020, JO du 10 janvier 2021 Convention collective nationale Production agricole/Cuma, 15 septembre 2020.
Justification au premier euro ÉlĂ©ments transversaux au programme Autorisations d’engagement CrĂ©dits de paiement NumĂ©ro et intitulĂ© de l’action / sous-action Titre 2 DĂ©penses de personnel Autres titres Total Titre 2 DĂ©penses de personnel Autres titres Total 11 – Adaptation des filiĂšres Ă  l'Ă©volution des marchĂ©s 169 155 334 169 155 334 169 614 956 169 614 956 12 – Gestion des crises et des alĂ©as de la production 3 418 666 3 418 666 3 958 666 3 958 666 13 – Appui au renouvellement et Ă  la modernisation des exploitations agricoles 169 250 000 169 250 000 94 730 000 94 730 000 14 – Gestion Ă©quilibrĂ©e et durable des territoires 782 547 326 782 547 326 769 007 326 769 007 326 15 – Moyens de mise en oeuvre des politiques publiques et gestion des interventions 266 087 250 266 087 250 266 087 250 266 087 250 Total 1 390 458 576 1 390 458 576 1 303 398 198 1 303 398 198 subventions aux opĂ©rateurs en milliers d’euros OpĂ©rateur AE PLF 2016 CP PLF 2016 ASP - Agence de services et de paiement P154 568 235 610 068 Subventions pour charges de service public 105 186 105 186 Dotations en fonds propres 2 788 2 788 Transferts 460 261 502 094 FranceAgriMer P154 118 505 118 505 Subventions pour charges de service public 91 515 91 515 Transferts 26 990 26 990 GIP - BIO - Agence française pour le dĂ©veloppement et la promotion de l'agriculture biologique P154 5 478 5 478 Subventions pour charges de service public 1 478 1 478 Transferts 4 000 4 000 IFCE - Institut français du cheval et de l'Ă©quitation P154 48 183 48 183 Subventions pour charges de service public 43 162 43 162 Transferts 5 021 5 021 INAO - Institut national de l'origine et de la qualitĂ© P154 17 135 17 135 Subventions pour charges de service public 17 135 17 135 ODEADOM - Office de dĂ©veloppement de l'Ă©conomie agricole d'Outre-mer P154 45 627 45 627 Subventions pour charges de service public 4 527 4 527 Transferts 41 100 41 100 Total 803 163 844 996 Total des subventions pour charges de service public 263 003 263 003 Total des dotations en fonds propres 2 788 2 788 Total des transferts 537 372 579 205 Suivi des crĂ©dits de paiement associĂ©s Ă  la consommation des autorisations d’engagement hors titre 2 ESTIMATION DES RESTES À PAYER AU 31/12/2015 Engagements sur annĂ©es antĂ©rieures non couverts par des paiements au 31/12/2014 RAP 2014 Engagements sur annĂ©es antĂ©rieures non couverts par des paiements au 31/12/2014 travaux de fin de gestion postĂ©rieurs au RAP 2014 AE LFI 2015 + reports 2014 vers 2015 + prĂ©vision de FDC et ADP + dĂ©cret n°2015-402 du 9 avril 2015 portant ouverture et annulation de crĂ©dits Ă  titre d’avance + dĂ©cret n°2015-639 du 9 juin 2015 portant annulation de crĂ©dits CP LFI 2015 + reports 2014 vers 2015 + prĂ©vision de FDC et ADP + dĂ©cret n°2015-402 du 9 avril 2015 portant ouverture et annulation de crĂ©dits Ă  titre d’avance + dĂ©cret n°2015-639 du 9 juin 2015 portant annulation de crĂ©dits Évaluation des engagements non couverts par des paiements au 31/12/2015 1 430 416 661 1 616 649 295 1 441 760 218 1 605 305 738 ÉCHÉANCIER DES CP À OUVRIR AE CP 2016 CP 2017 CP 2018 CP au-delĂ  de 2018 Évaluation des engagements non couverts par des paiements au 31/12/2015 CP demandĂ©s sur AE antĂ©rieures Ă  2016 CP PLF / CP FDC et ADP Estimation des CP 2017 sur AE antĂ©rieures Ă  2016 Estimation des CP 2018 sur AE antĂ©rieures Ă  2016 Estimation des CP au-delĂ  de 2018 sur AE antĂ©rieures Ă  2016 1 605 305 738 140 682 382 106 547 673 83 215 840 1 274 859 843 AE nouvelles pour 2016 AE PLF / AEFDC et ADP CP demandĂ©s sur AE nouvelles en 2016 CP PLF / CPFDC et ADP Estimation des CP 2017 sur AE nouvelles en 2016 Estimation des CP 2018 sur AE nouvelles en 2016 Estimation des CP au-delĂ  de 2018 sur AE nouvelles en 2016 1 390 458 576 1 162 715 816 122 438 650 72 174 219 33 129 891 Totaux 1 303 398 198 228 986 323 155 390 059 1 307 989 734 CLÉS D'OUVERTURE DES CRÉDITS DE PAIEMENTS SUR AE 2016 CP 2016 demandĂ©s sur AE nouvelles en 2016 / AE 2016 CP 2017 sur AE nouvelles en 2016 / AE 2016 CP 2018 sur AE nouvelles en 2016 / AE 2016 CP au-delĂ  de 2018 sur AE nouvelles en 2016 / AE 2016 83,6 % 8,8 % 5,2 % 2,4 % L’évolution entre les restes Ă  payer constatĂ©s au 31 dĂ©cembre 2014 et prĂ©visionnels au 31 dĂ©cembre 2015 s’explique en particulier par d’importants engagements d’AE au titre des dispositifs Mesures agroenvironnementales climatiques MAEC » 232 M€ en LFI 2015 et Modernisation des exploitations agricoles » 56 M€ en LFI 2015, dont l’échĂ©ancier de paiement s’échelonne sur 5 ans. Justification par action ACTION N° 11 12,2 % Adaptation des filiĂšres Ă  l'Ă©volution des marchĂ©s Titre 2 Hors titre 2 Total FDC et ADP attendus en 2016 Autorisations d’engagement 169 155 334 169 155 334 CrĂ©dits de paiement 169 614 956 169 614 956 Cette action a pour finalitĂ©, Ă  travers diverses formes d’interventions en faveur des opĂ©rateurs des filiĂšres agricoles et agroalimentaires, d’agir sur l’offre française des produits agricoles et agroalimentaires en favorisant son adĂ©quation avec la demande formulĂ©e sur les marchĂ©s. Elle permet d’organiser et d’optimiser la mise en marchĂ© des produits et d’amĂ©liorer leurs conditions de production, de transformation et de commercialisation selon cinq axes 1. La valorisation et la promotion des produits et politique de qualitĂ© Sont regroupĂ©es ici les interventions visant Ă  - favoriser tant au niveau national qu'international la promotion et la valorisation des productions ; - dĂ©velopper une politique de qualitĂ©, notamment par diverses garanties officielles labels, appellations d’origine contrĂŽlĂ©e, agriculture biologique, indications gĂ©ographiques protĂ©gĂ©es, etc.. 2. L’organisation et la modernisation des filiĂšres Sont regroupĂ©es ici les interventions visant Ă  - amĂ©liorer la connaissance des marchĂ©s ; - favoriser l’organisation Ă©conomique des producteurs et des filiĂšres en mĂ©tropole comme en outre-mer, notamment en complĂ©ment de financements communautaires dans le cadre du programme d’options spĂ©cifiques Ă  l’éloignement et Ă  l’insularitĂ© POSEI. Ces interventions sont, pour une large partie d’entre elles, mises en Ɠuvre par l’Etablissement national des produits de l’agriculture et de la mer FranceAgriMer ou, dans le cas des dĂ©partements d’outre-mer, par l’Office de dĂ©veloppement Ă©conomique agricole des DOM ODEADOM et l’Agence de services et de paiement ASP. 3. L’aide aux entreprises de transformation et commercialisation des produits Sont regroupĂ©es ici les interventions visant Ă  renforcer la compĂ©titivitĂ© des entreprises de transformation et de commercialisation des produits agricoles. Au niveau national, elles sont mises en Ɠuvre, de maniĂšre complĂ©mentaire, par la Direction gĂ©nĂ©rale de la performance Ă©conomique et environnementale des entreprises DGPE et par FranceAgriMer, l’ODEADOM et l’ASP. 4. Le soutien aux entreprises pour favoriser la prĂ©sence française Ă  l'international dans le domaine agroalimentaire Outre la valorisation et la promotion des produits, le volet international de la politique Ă©conomique agricole nationale est fondĂ© sur - la reconnaissance hors de nos frontiĂšres de la conception française de l’agriculture et du dĂ©veloppement rural ; - la promotion de la coopĂ©ration et les partenariats en matiĂšre agricole et alimentaire. La mise en Ɠuvre de ce volet est assurĂ©e par la SOPEXA, FranceAgriMer, l'Association pour le dĂ©veloppement des Ă©changes internationaux de produits et techniques agroalimentaires ADEPTA et l’Agence pour le dĂ©veloppement de la coopĂ©ration internationale dans les domaines de l’agriculture, de l’alimentation et des espaces ruraux ADECIA. 5. Le soutien aux marchĂ©s en crise Le cas Ă©chĂ©ant des dispositifs rĂ©pondant aux diverses crises traversĂ©es par les filiĂšres sont mis en place plus particuliĂšrement par FranceAgriMer. Ă©lĂ©ments de la dĂ©pense par nature Titre et catĂ©gorie Autorisations d’engagement CrĂ©dits de paiement DĂ©penses de fonctionnement 239 200 239 200 DĂ©penses de fonctionnement autres que celles de personnel 239 200 239 200 DĂ©penses d'intervention 168 916 134 169 375 756 Transferts aux entreprises 166 721 408 167 181 030 Transferts aux autres collectivitĂ©s 2 194 726 2 194 726 Total 169 155 334 169 614 956 DĂ©PENSES DE FONCTIONNEMENT COURANT AE = 239 200 € CP = 239 200 € Actions internationales AE = 200 000 € CP = 200 000 € Ces crĂ©dits financent les dĂ©placements des conseillers rĂ©gionaux aux affaires agricoles et les prestations nĂ©cessaires Ă  l’accueil de personnalitĂ©s et de dĂ©lĂ©gations Ă©trangĂšres les frais de traduction de documents officiels et d’interprĂ©tariat nĂ©cessaires lors de rencontres bilatĂ©rales ou multilatĂ©rales ainsi que les prestations relatives aux dĂ©placements, hĂ©bergement et restauration. Fonds pour les industries agroalimentaires AE = 39 200 € CP = 39 200 € Ces crĂ©dits sont destinĂ©s Ă  couvrir les frais de fonctionnement de l'opĂ©rateur Bpifrance relatifs Ă  l'action dĂ©crite en transfert aux entreprises ». TRANSFERTS AUX ENTREPRISES AE = 166 721 408 € CP = 167 181 030 € Actions internationales – promotion AE = 5 854 000 € CP = 5 854 000 € La France est le 5Ăšme exportateur agroalimentaire mondial. L’action du ministĂšre en charge de l’agriculture porte directement sur la promotion collective des produits français et sur l'image de l'agroalimentaire français sur les marchĂ©s extĂ©rieurs. Ces crĂ©dits financent des conventions annuelles passĂ©es avec des organismes ayant en charge la promotion Ă  l'Ă©tranger des technologies et du savoir-faire français des produits agricoles et de la culture alimentaire française - la SOPEXA par le financement de la dĂ©lĂ©gation de service public pour la promotion et la dĂ©fense de la culture alimentaire française et l’accompagnement des entreprises sur les marchĂ©s extĂ©rieurs ; - l’Association de dĂ©veloppement des Ă©changes internationaux de produits et techniques agricoles ADEPTA pour le financement de sa mission de promotion et de dĂ©fense du savoir-faire français dans les domaines agricole et agro-industriel ; - le Centre national des expositions et concours agricoles CENECA pour le financement du Salon International de l’Agriculture SIA et plus particuliĂšrement du Concours gĂ©nĂ©ral agricole CGA ; - Business France pour les statistiques de commerce extĂ©rieur et le financement d’études sur les marchĂ©s Ă  l’exportation. Promotion des signes de qualitĂ© AE = 4 000 000 € CP = 4 000 000 € Ces crĂ©dits sont consacrĂ©s au Fonds de structuration des filiĂšres biologiques Avenir Bio » pour le dĂ©veloppement de la production en agriculture biologique, créé en 2008 dans le cadre du plan de dĂ©veloppement de l'agriculture biologique Horizon 2012 ». Sa gestion a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă  l'Agence BIO. Le fonds vise Ă  financer des projets ayant pour objet de dĂ©velopper une offre de produits biologiques reliĂ©e au marchĂ©. Ces projets doivent coĂŻncider avec un engagement de plusieurs partenaires aux diffĂ©rents stades des filiĂšres et ĂȘtre de dimension nationale ou supra rĂ©gionale. Le fonds a permis, depuis le dĂ©but de sa mise en place, de financer 65 projets rĂ©unissant plus de 265 partenaires des filiĂšres biologiques et ce, sur l'ensemble du territoire. Le programme Ambition bio 2017 » a inscrit Ă  partir de 2014 le fonds Avenir bio » de l'Agence Bio comme un des leviers stratĂ©giques de son axe 2 structuration des filiĂšres ». C'est Ă  ce titre que la dotation du fonds a Ă©tĂ© renforcĂ©e pour atteindre un montant global de 4 M€. Il a pour objectif de renforcer les filiĂšres existantes mais Ă©galement de faire Ă©merger celles de taille plus modeste voire encore inexistantes mais rĂ©pondant nĂ©anmoins Ă  de fortes attentes dans les proches annĂ©es Ă  venir grandes cultures, etc.. Fonds pour les industries agroalimentaires AE = 3 945 800 € CP = 4 405 422 € Les industries alimentaires, y compris l'artisanat commercial, reprĂ©sentent environ 585 000 salariĂ©s et 178 milliards d'euros de chiffre d'affaires, constituant ainsi le premier secteur industriel au plan national. Ces entreprises crĂ©ent 14,7 % de la valeur ajoutĂ©e de l'industrie manufacturiĂšre. Les crĂ©dits de cette sous-action financent des opĂ©rations en faveur des entreprises de la filiĂšre alimentaire - en particulier des industries agroalimentaires – et des actions de soutien aux opĂ©rations collectives immatĂ©rielles, destinĂ©es Ă  accompagner le dĂ©veloppement rĂ©gional des industries alimentaires et l'animation des pĂŽles de compĂ©titivitĂ©. Ils financent Ă©galement la contribution du ministĂšre chargĂ© de l’agriculture Ă  la charte nationale de coopĂ©ration pour le soutien et l’accompagnement des entreprises de la filiĂšre alimentaire et de leurs salariĂ©s. Les crĂ©dits de paiement financent Ă©galement les restes Ă  payer du Fonds d'intervention stratĂ©gique des industries agroalimentaires FISIAA qui a permis de soutenir prĂšs de 64 dossiers d’investissement d’entreprises entre 2007 et 2011. Cette sous-action financera Ă  partir de 2016 la poursuite du partenariat entre Bpifrance et le ministĂšre de l’agriculture en faveur de l’innovation dans les industries agroalimentaires, qui relevait antĂ©rieurement du programme 142. Depuis 2007, cette collaboration a permis de soutenir 184 projets innovants de faisabilitĂ©, de recrutement de personnel de R&D et de partenariat technologique dans les PME agroalimentaires pour un montant de plus de 6 M€. Aides Ă  la filiĂšre canne Ă  sucre des dĂ©partements d’Outre-Mer AE = 86 400 000 € CP = 86 400 000 € La filiĂšre canne Ă  sucre constitue l'un des piliers de l’économie des dĂ©partements de la Guadeloupe, la Martinique et la RĂ©union. En 2013, la culture de la canne reprĂ©sentait 40 774 hectares, soit 33,8 % de la SAU surface agricole utile, dont 22 860 hectares Ă  la RĂ©union 54 % de la SAU, 14 000 hectares en Guadeloupe 49 % et 3 824 hectares Ă  la Martinique 16 %. Dans ces trois dĂ©partements, la filiĂšre assure environ 40 000 emplois, dont 22 000 emplois directs production + emplois industriels, voire 23 000 en incluant l'Ă©nergie. Ce soutien financier est donc essentiel au maintien de la filiĂšre canne-sucre dans les DOM dans la perspective de la libĂ©ralisation du marchĂ© du sucre et de la suppression des quotas sucriers au sein de l'UE Ă  compter du 1er octobre 2017. Le dispositif repose sur 3 aides - aide aux planteurs de canne Ă  sucre ; - aide au soutien logistique ; - complĂ©ment Ă  l’aide forfaitaire du Programme d'options spĂ©cifiques Ă  l'Ă©loignement et l'insularitĂ© POSEI. Ces dispositifs sont payĂ©s par l’ASP. Aides versĂ©es dans le cadre des dispositifs d’orientation des filiĂšres AE = 66 521 608 € CP = 66 521 608 € Les objectifs du programme en matiĂšre d’adaptation des filiĂšres, de valorisation des produits et de rĂ©gulation des marchĂ©s sont mis en Ɠuvre principalement par FranceAgriMer et l’ODEADOM, Ă  travers des dispositifs d'aides dĂ©clinĂ©s et mis en Ɠuvre par filiĂšre de production et notamment - des aides Ă  l'amĂ©lioration de l’organisation Ă©conomique des filiĂšres en vue de favoriser les investissements ; - une amĂ©lioration de la connaissance des marchĂ©s Ă©tudes, panels ; - le cas Ă©chĂ©ant, des mesures de crise, hors fonds d’allĂšgement des charges financiĂšres. FranceAgriMer AE = 25 421 608 € CP = 25 421 608 € FranceAgriMer met en Ɠuvre par ailleurs en 2016 des crĂ©dits en provenance - du compte d'affection spĂ©ciale DĂ©veloppement agricole et rural » CAS DAR pour financer des actions de recherche et d’expĂ©rimentation, de gĂ©nĂ©tique animale et d’appui technique. A cet Ă©gard, il est prĂ©vu d’allouer 32,6 M€ 16,85 M€ + 15,75 M€ au budget de FranceAgriMer au titre des actions de recherche, expĂ©rimentation et appui technique, dont 8 M€ au titre de la gĂ©nĂ©tique animale ; - du programme d’investissement d’avenir PIA versĂ© en 2014 Ă  hauteur de 120 M€ pour trois ans. Le montant des crĂ©dits nationaux dĂ©diĂ©s Ă  l’opĂ©rateur, en tenant compte de l’ensemble des programmes budgĂ©taires concernĂ©s P154, P775 et P776 et du PIA, s’établit donc en 2016 Ă  98,02 M€, ce qui permettra Ă  l’opĂ©rateur de poursuivre ses actions en faveur des filiĂšres avec notamment - aides Ă  l'amĂ©lioration de l’organisation Ă©conomique des filiĂšres ; - aides Ă  l’amĂ©lioration de la connaissance des marchĂ©s Ă©tudes, panels ; - le cas Ă©chĂ©ant, des mesures de crise, hors fonds d’allĂšgement des charges financiĂšres. ODEADOM AE = 6 100 000 € CP = 6 100 000 € L’ODEADOM oriente ses crĂ©dits vers la structuration de l’élevage, la diversification vĂ©gĂ©tale, la filiĂšre banane et la filiĂšre canne Ă  sucre – rhum au travers de plans sectoriels. Une partie importante de ces crĂ©dits est mobilisĂ©e sur les dispositifs cofinancĂ©s dans le cadre du FEADER. Mesures CIOM AE = 35 000 000 € CP = 35 000 000 € Le budget dĂ©diĂ© au dĂ©veloppement des productions agricoles endogĂšnes et Ă  l'organisation des filiĂšres dans les DOM constitue l’une des principales mesures initiĂ©es dans le cadre du Conseil interministĂ©riel de l'Outre-mer CIOM de novembre 2009. Ces crĂ©dits permettent essentiellement de complĂ©ter le financement des mesures concernant les primes animales, les importations d'animaux vivants, la structuration de l'Ă©levage et la diversification des productions vĂ©gĂ©tales du programme communautaire POSEI. Ces dispositifs sont rattachĂ©s Ă  la mesure du CIOM, Ă  savoir Permettre la diversification et le dĂ©veloppement de filiĂšres agricoles puissantes ». Ces crĂ©dits complĂštent Ă©galement le financement des programmes sectoriels mis en Ɠuvre par l’ODEADOM qui sont rattachĂ©s aux mesures II-3 et II-6 du CIOM, Accentuer les transferts de technologie et l'innovation dans les Outre-mer » et II-7, Faire Ă©voluer les approvisionnements des Outre-mer au bĂ©nĂ©fice de la production locale ». TRANSFERTS AUX AUTRES COLLECTIVITĂ©S AE = 2 194 726 € CP = 2 194 726 € Actions internationales – stratĂ©gie d’influence AE = 650 000 € CP = 650 000 € Ces crĂ©dits financent les actions d’influence et de coopĂ©ration internationale dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation et des espaces ruraux dont l’organisation de manifestations Ă  caractĂšre international sĂ©minaires, colloques, Ă©changes d’experts. Ils sont mis en Ɠuvre Ă  partir de 2016 par FranceAgriMer. Actions internationales – contributions aux organisations internationales et fonds fiduciaires auprĂšs des organisations internationales AE = 1 544 726 € CP = 1 544 726 € Ces crĂ©dits financent des contributions obligatoires de la France aux organisations suivantes Association internationale d’essai de semences ISTA, Union internationale pour la protection des obtentions vĂ©gĂ©tales UPOV, Organisation pour la coopĂ©ration et le dĂ©veloppement Ă©conomique OCDE, Office international de la vigne et du vin OIV, ComitĂ© consultatif du coton ICAC, Droit de paissance en Pays de Quint, ainsi que des contributions volontaires portant sur des thĂšmes particuliers auprĂšs de la Banque mondiale et de l’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture FAO. ACTION N° 12 0,2 % Gestion des crises et des alĂ©as de la production Titre 2 Hors titre 2 Total FDC et ADP attendus en 2016 Autorisations d’engagement 3 418 666 3 418 666 CrĂ©dits de paiement 3 958 666 3 958 666 L’action gestion des crises et des alĂ©as de production » fournit un appui financier Ă  des exploitations en difficultĂ© ou touchĂ©es par des Ă©vĂ©nements exceptionnels tels que des calamitĂ©s agricoles. Lors de la crise de l’élevage en 2015, suite aux annonces du Premier ministre, cette action a fait l’objet d’un abondement complĂ©mentaire. Créé par la loi de 1964 relative aux calamitĂ©s agricoles, le Fonds national de garantie des calamitĂ©s agricoles FNGCA, devenu le Fonds national de gestion des risques en agriculture FNGRA en 2010, est chargĂ© de financer l’indemnisation des dommages matĂ©riels causĂ©s aux exploitations agricoles par des alĂ©as climatiques exceptionnels, lorsque ces risques ne sont pas considĂ©rĂ©s comme assurables. L’État appuie par ailleurs le dĂ©veloppement des couvertures privĂ©es contre les risques climatiques dans le cadre du dispositif d’ assurance-rĂ©colte ». L’objectif est de renforcer le niveau de couverture des agriculteurs et de leur proposer des produits plus adaptĂ©s Ă  la situation particuliĂšre de leur exploitation. Suite Ă  la rĂ©forme issue du bilan de santĂ© de la PAC en 2009, le soutien au dĂ©veloppement de l’assurance-rĂ©colte a bĂ©nĂ©ficiĂ© de 2010 Ă  2014, d'un cofinancement communautaire de 75 % article 68 du rĂšglement CE 73/2009. Depuis la campagne 2015, ce dispositif est financĂ© Ă  100 % sur crĂ©dits communautaires dans le cadre du second pilier de la PAC, ce qui se traduit par l'absence de crĂ©dits nationaux dĂ©diĂ©s Ă  ce dispositif Ă  partir de 2016. Ă©lĂ©ments de la dĂ©pense par nature Titre et catĂ©gorie Autorisations d’engagement CrĂ©dits de paiement DĂ©penses d'intervention 3 418 666 3 958 666 Transferts aux entreprises 3 418 666 3 958 666 Total 3 418 666 3 958 666 TRANSFERTS AUX ENTREPRISES AE = 3 418 666 € CP = 3 958 666 € Aide en faveur du redressement des exploitations en difficultĂ© AE = 1 850 000 € CP = 1 850 000 € Le dispositif agriculteurs en difficultĂ© » AGRIDIFF est destinĂ© aux exploitations endettĂ©es et disposant d’un outil de travail insuffisamment adaptĂ© Ă  l’évolution des marchĂ©s. Une analyse technique et Ă©conomique permet de dĂ©terminer la capacitĂ© de redressement de l’exploitation. En fonction des rĂ©sultats de cette analyse, l’exploitation peut bĂ©nĂ©ficier d’une aide au redressement correspondant Ă  une prise en charge partielle des frais financiers bancaires des prĂȘts d’exploitation, hors prĂȘts fonciers plafond de 10 000 € par unitĂ© de travail non salariĂ© sur la durĂ©e du plan et d’un suivi technico-Ă©conomique plafond de 600 € par exploitation sur trois ans. La mise en Ɠuvre des dispositifs AGRIDIFF est conditionnĂ©e Ă  un engagement financier de l’exploitant, dont la contribution au plan doit reprĂ©senter au moins 25 % des coĂ»ts de restructuration. Environ 500 exploitations en moyenne bĂ©nĂ©ficient de ces dispositifs chaque annĂ©e. Ces dispositifs sont payĂ©s par l’ASP et, en Corse, par l’Office du dĂ©veloppement agricole rural de Corse ODARC. Fonds d’allĂšgement des charges FAC AE = 1 568 666 € CP = 1 568 666 € Le Fonds d’allĂšgement des charges des agriculteurs vise Ă  aider les exploitations les plus fragilisĂ©es par des crises conjoncturelles en prenant en charge une partie des intĂ©rĂȘts supportĂ©s par les exploitants agricoles prĂȘts bancaires professionnels Ă  moyen ou long terme, bonifiĂ©s ou non, hors foncier. Le FAC permet ainsi de traiter non seulement des alĂ©as exceptionnels d'origine sanitaire ESB – EncĂ©phalopathie spongiforme bovine, FAC – FiĂšvre catharale ovine mais Ă©galement des crises conjoncturelles de marchĂ© par exemple l'embargo russe ou climatiques plan grĂȘle Languedoc-Roussillon. Ce dispositif est payĂ© par FranceAgriMer. Lors de la crise de l’élevage en 2015, suite aux annonces du Premier ministre, ce dispositif a fait l’objet d’un abondement complĂ©mentaire. PrĂȘts de crise AE = 0 € CP = 540 000 € Ce dispositif visait Ă  aider les exploitants agricoles en pĂ©riodes de crise. Les crĂ©dits de paiement permettent de financer les dossiers engagĂ©s avant le 31 dĂ©cembre 2013. Compte tenu de la faiblesse des taux d'intĂ©rĂȘt depuis quelques annĂ©es, l'action de l’État en cas de crise a Ă©tĂ© rĂ©orientĂ©e sur un accompagnement en garantie par la BPI de mesures de restructuration des prĂȘts bancaires par les banques commerciales. ACTION N° 13 12,2 % Appui au renouvellement et Ă  la modernisation des exploitations agricoles Titre 2 Hors titre 2 Total FDC et ADP attendus en 2016 Autorisations d’engagement 169 250 000 169 250 000 CrĂ©dits de paiement 94 730 000 94 730 000 Cette action vise Ă  assurer la pĂ©rennitĂ© et la modernisation des exploitations agricoles. Elle contribue de ce fait au dĂ©veloppement des territoires ruraux. La politique d’aide Ă  l’installation des jeunes agriculteurs favorise le renouvellement des exploitations. Elle est une prioritĂ© essentielle de la politique agricole nationale. Les assises de l’installation conduites en 2013 ont permis de renforcer et de rĂ©nover cette politique. Depuis 1973, annĂ©e de la crĂ©ation de la dotation d'installation aux jeunes agriculteurs DJA, quelques 275 000 exploitants ont bĂ©nĂ©ficiĂ© des aides publiques Ă  l'installation. L'objectif de la DJA est de soutenir financiĂšrement le jeune agriculteur lors de son installation en lui versant une subvention sous conditions d'Ăąge, de formation et de viabilitĂ© du projet et en contrepartie d'engagements de sa part mise aux normes, maintien en activitĂ© pendant 5 ans. En outre, les jeunes agriculteurs peuvent bĂ©nĂ©ficier d'une majoration pouvant atteindre 20 points sur l’intensitĂ© des aides Ă  l'investissement. Des prĂȘts bonifiĂ©s, des exonĂ©rations fiscales et des aides Ă  l'accompagnement de l'installation viennent complĂ©ter ce dispositif. La majoritĂ© de ces aides est cofinancĂ©e par le fonds europĂ©en agricole pour le dĂ©veloppement rural FEADER. La modernisation des exploitations constitue un enjeu important pour l'agriculture. Depuis 2015 le plan de compĂ©titivitĂ© et d’adaptation des exploitations agricoles s'organise autour des quatre prioritĂ©s suivantes - la modernisation des Ă©levages ; - le secteur vĂ©gĂ©tal avec notamment la rĂ©duction et la maĂźtrise de l’utilisation des intrants ; - l'amĂ©lioration de la performance Ă©nergĂ©tique des exploitations ; - l'encouragement Ă  l’agro-Ă©cologie, en particulier via les groupements d’intĂ©rĂȘt Ă©conomique et environnemental GIEE. Ă©lĂ©ments de la dĂ©pense par nature Titre et catĂ©gorie Autorisations d’engagement CrĂ©dits de paiement DĂ©penses d'intervention 169 250 000 94 730 000 Transferts aux mĂ©nages 30 000 000 30 000 000 Transferts aux entreprises 139 250 000 64 730 000 Total 169 250 000 94 730 000 TRANSFERT AUX MENAGES AE = 30 000 000 € CP = 30 000 000 € IndemnitĂ© viagĂšre de dĂ©part IVD et complĂ©ment de retraite pour les chefs d’exploitation rapatriĂ©s AE = 30 000 000 € CP = 30 000 000 € Ces crĂ©dits financent les indemnitĂ©s et complĂ©ments de retraites souscrits avant 1990. Ces dispositifs ne comptent plus de nouveaux entrants depuis cette date. L’IVD est payĂ©e par la Caisse Centrale de la MutualitĂ© Sociale Agricole via l’ASP. Elle ne compte plus de nouveaux bĂ©nĂ©ficiaires depuis 1991. Pour les anciens affiliĂ©s Ă  la Caisse mutuelle agricole de retraite d’Alger, le complĂ©ment de retraite est payĂ© par la Caisse mutuelle autonome de retraites complĂ©mentaires agricoles CAMARCA pour le rĂ©gime ARRCO et la Caisse de retraite complĂ©mentaire des cadres de l’agriculture CRCCA pour le rĂ©gime AGIRC. TRANSFERT AUX ENTREPRISES AE = 109 250 000 € CP = 64 730 000 € Aide Ă  la cessation d’activitĂ© AE = 1 500 000 € CP = 1 500 000 € Cette rubrique regroupe trois dispositifs, payĂ©s par l’ASP, ou, en Corse, par l’ODARC. Aide Ă  la rĂ©insertion professionnelle ARP L’ARP permet de faciliter la reconversion professionnelle des agriculteurs contraints de cesser leur activitĂ© pour des motifs Ă©conomiques. Les exploitants agricoles ne cotisant pas Ă  un rĂ©gime d'assurance chĂŽmage, ils ne peuvent pas bĂ©nĂ©ficier d'un revenu de remplacement en cas de cessation d'activitĂ©. La mesure comporte une prime de dĂ©part forfaitaire de 3 100 €, augmentĂ©e de 50 % en cas de dĂ©mĂ©nagement. Elle est accordĂ©e Ă  l'exploitant, Ă  son conjoint et Ă©ventuellement Ă  l'aidant familial qui travaille sur l'exploitation, dans la limite de deux primes par exploitation qui cesse son activitĂ©. Pour les bĂ©nĂ©ficiaires qui ne peuvent obtenir de formation rĂ©munĂ©rĂ©e au plan rĂ©gional, une aide Ă  la formation s'ajoute Ă  la prime de dĂ©part. Paiement du solde des prĂ©retraites dans les DOM Le dispositif de prĂ©retraite dans les DOM s’est achevĂ© le 31 dĂ©cembre 2013, cette mesure n'Ă©tant pas reconduite dans le projet de rĂšglement de dĂ©veloppement rural 2014-2020. Les crĂ©dits de paiement permettent de financer les annuitĂ©s des dossiers engagĂ©s avant le 31 dĂ©cembre 2013. IndemnitĂ© de retrait volontaire IRV Cette aide spĂ©cifique Ă  la Guadeloupe et liĂ©e Ă  la restructuration fonciĂšre est destinĂ©e aux exploitants qui s'engagent Ă  libĂ©rer les parcelles qu'ils exploitent au profit d'un jeune agriculteur qui s'installe. Stages Ă  l’installation AE = 1 250 000 € CP = 2 500 000 € Ces stages s’inscrivent dans la politique de soutien Ă  l’installation visant Ă  assurer le renouvellement des gĂ©nĂ©rations en agriculture. Ces crĂ©dits financent le plan de professionnalisation personnalisĂ© PPP. Il constitue un ensemble de prĂ©conisations facultatives ou obligatoires qui doit permettre Ă  tout candidat Ă©ligible aux aides Ă  l’installation en agriculture de se prĂ©parer au mĂ©tier de responsable d’exploitation agricole. Ces dispositifs sont payĂ©s par l’ASP, ou, en Corse, par l’ODARC. PrĂȘts Ă  l’installation AE = 22 000 000 € CP = 9 290 000 € Ces crĂ©dits financent les charges de bonification relatives aux prĂȘts Ă  moyen et long termes destinĂ©s au financement de l’installation des jeunes agriculteurs prĂȘts MTS-JA ou d’autres bĂ©nĂ©ficiaires, tels que les groupements agricoles d’exploitation en commun GAEC ou les prĂȘts pour les jeunes agriculteurs non cofinancĂ©s, Ă  savoir les exploitants en aquaculture et Ă©quidĂ©s prĂȘts MTS-autres. Ils permettent d’aider les exploitants Ă  couvrir leurs besoins liĂ©s - Ă  la reprise, la mise en Ă©tat et l’adaptation hors matĂ©riel d’occasion du capital de l’exploitation nĂ©cessaire Ă  l’installation ; - au besoin en fonds de roulement pour la premiĂšre annĂ©e ; - Ă  l’achat de terres, lorsqu’elles amĂ©liorent la viabilitĂ© de l’exploitation ; - Ă  l’achat de parts sociales. Depuis 2014, le dispositif, payĂ© par l'ASP, est majoritairement cofinancĂ© Ă  80 % par le FEADER ; certains prĂȘts ne font toutefois l'objet d'aucun cofinancement. Dotation aux jeunes agriculteurs DJA AE = 26 000 000 € CP = 19 500 000 € La DJA est destinĂ©e Ă  faciliter la premiĂšre installation de porteurs de projet qui satisfont Ă  des conditions d’ñge et de capacitĂ© professionnelle et qui ont Ă©laborĂ© un plan de dĂ©veloppement de leur exploitation. La DJA constitue une aide Ă  la trĂ©sorerie qui permet au bĂ©nĂ©ficiaire de couvrir les premiĂšres dĂ©penses liĂ©es Ă  son installation. Ce dispositif, cofinancĂ© Ă  80 % par le FEADER depuis 2014, bĂ©nĂ©ficie d’un budget maintenu Ă  26 M€ par rapport Ă  2015. Ce dispositif est payĂ© par l’ASP et, en Corse, par l’ODARC. PrĂȘts de modernisation AE = 2 500 000 € CP = 1 700 000 € Ces crĂ©dits financent les charges de bonification des prĂȘts Ă  moyen terme spĂ©ciaux aux coopĂ©ratives pour l'utilisation de matĂ©riels agricoles MTS-CUMA, des prĂȘts fonciers » dans les DOM et des prĂȘts spĂ©ciaux de modernisation PSM. Pour les deux derniĂšres catĂ©gories, il n’y a plus d’engagement. Pour les prĂȘts MTS-CUMA, les derniers engagements ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s en 2015 il n 'est dĂ©sormais plus possible de solliciter de nouveaux prĂȘts MTS-CUMA. Ce dispositif a pris fin le 1er mai 2015 et sera remplacĂ© par un dispositif d’aide au conseil et Ă  l’investissement dans les CUMA. L'ensemble de ces dispositifs est payĂ© par l'ASP. Modernisation des exploitations AE = 86 000 000 € CP = 30 240 000 € Ces crĂ©dits financent le plan de compĂ©titivitĂ© et d’adaptation des exploitations agricoles PCAE. Ce plan doit permettre aux exploitations de faire face aux enjeux - d’amĂ©lioration de la compĂ©titivitĂ© Ă©conomique des exploitations, notamment dans un contexte de concurrence internationale ; - d’adaptation des systĂšmes de production, avec notamment la nĂ©cessitĂ© de mises aux normes ou la fin des quotas laitiers ; - de recherche de la performance Ă©conomique et environnementale, dans le cadre du projet agro-Ă©cologique pour la France ; - de diminution des charges d’exploitation notamment par la recherche de rĂ©duction de l'utilisation d'intrants, d’économies d’énergie et l’utilisation d’énergies renouvelables ; - d’amĂ©lioration des conditions de travail et de la sĂ©curitĂ© des travailleurs. Ce dispositif est cofinancĂ© par le FEADER Ă  hauteur de 63 % dans les rĂ©gions de transition et de 53 % dans les autres rĂ©gions. Ce plan bĂ©nĂ©ficie de financements renforcĂ©s de l'Etat suite aux annonces du PrĂ©sident de la RĂ©publique Ă  Cournon Ă  l'automne 2013, mais Ă©galement de financements communautaires, de contributions des collectivitĂ©s territoriales et des agences de l'eau, pour atteindre un soutien total de plus 200 M€. Suite Ă  l’engagement du Premier ministre de septembre 2015, l’enveloppe 2015, l’enveloppe 2016 a Ă©tĂ© augmentĂ©e de +30 M€ afin d’accompagner la filiĂšre Ă©levage dans le contexte de crise. Ce plan constitue un outil primordial pour la compĂ©titivitĂ© et la mise en Ɠuvre de la dĂ©marche agro-Ă©cologique qui prĂ©voit d'un renforcement concomitant des performances Ă©conomique, environnementale et sociale. Ce dispositif est payĂ© par l’ASP, ou, en Corse, par l’ODARC. ACTION N° 14 56,3 % Gestion Ă©quilibrĂ©e et durable des territoires Titre 2 Hors titre 2 Total FDC et ADP attendus en 2016 Autorisations d’engagement 782 547 326 782 547 326 CrĂ©dits de paiement 769 007 326 769 007 326 Cette action vise Ă  favoriser l’attractivitĂ© et la gestion Ă©quilibrĂ©e des territoires ruraux. Cela passe par le maintien de la population notamment agricole sur ces territoires, le dĂ©veloppement de l’emploi, la diversification des activitĂ©s, l’identification et la valorisation de pratiques innovantes via le rĂ©seau rural français et l'amĂ©lioration des pratiques agricoles respectueuses de l'environnement. Les collectivitĂ©s territoriales, de nombreuses associations ainsi que les syndicats et organisations professionnelles agricoles participent, en particulier au niveau local, Ă  la mise en Ɠuvre de cette action aux cĂŽtĂ©s de l’État. Cette action s’articule autour des dispositifs suivants Interventions en faveur du monde rural Ces interventions prennent la forme d’une contribution financiĂšre au rĂ©seau rural français, au niveau national et rĂ©gional, contribution cofinancĂ©e par le FEADER. Cette obligation initiĂ©e par le rĂšglement europĂ©en relatif au dĂ©veloppement rural pour la pĂ©riode 2007-2013 est maintenue dans le cadre de la programmation 2014-2020. DorĂ©navant, ce rĂ©seau est structurĂ© autour de deux niveaux - copilotĂ© par le ministĂšre en charge de l’agriculture, le Commissariat gĂ©nĂ©ral Ă  l’égalitĂ© des territoires CGET et l’association des rĂ©gions de France ARF, le rĂ©seau national regroupe une centaine de tĂȘtes de rĂ©seaux associations, organismes consulaires, organismes de recherche, experts, etc. reprĂ©sentatifs du monde rural et finance des actions d’envergure inter-rĂ©gionale ou nationale sur des thĂ©matiques transversales ; - les rĂ©seaux rĂ©gionaux copilotĂ©s par le prĂ©fet de rĂ©gion et le prĂ©sident du conseil rĂ©gional, qui regroupent les organismes rĂ©gionaux ou infrarĂ©gionaux et financent des actions d’intĂ©rĂȘt local ou rĂ©gional. Ce rĂ©seau vise Ă  dĂ©cloisonner les relations entre acteurs du monde rural, Ă  faciliter la conception de projets intĂ©grĂ©s et Ă  amĂ©liorer la qualitĂ© des projets et leur valorisation. Les actions financĂ©es sont les suivantes l’inventaire et l’analyse des bonnes pratiques identifiĂ©es en milieu rural, l’organisation d’échanges d’expĂ©riences et de savoir-faire via le financement de diffĂ©rents outils d’animation, la mise en Ɠuvre de programmes de formation et le dĂ©veloppement d’actions de coopĂ©ration entre les groupes d’action locale GAL, dans le cadre de la dĂ©marche Leader et le dĂ©veloppement de dĂ©marches d’innovation dans le cadre du partenariat europĂ©en pour l’innovation PEI agriculture productive et durable ». Gestion durable de l’eau et des sols Le Conseil de modernisation des politiques publiques CMPP du 11 juin 2008 a actĂ© le transfert des biens des sociĂ©tĂ©s d'amĂ©nagement rĂ©gional SAR de l’État aux rĂ©gions, et mis fin au financement des travaux d'hydraulique par le ministĂšre chargĂ© de l'agriculture. Toutefois, l’entretien des ouvrages domaniaux de l’État, ainsi que les opĂ©rations programmĂ©es par la Compagnie d’amĂ©nagement des coteaux de Gascogne au titre de la concession d’État biens non transfĂ©rĂ©s en l'absence d'accord des rĂ©gions concernĂ©es, continuent Ă  ĂȘtre financĂ©s par les crĂ©dits du programme 154. Les crĂ©dits de l’action permettent enfin de financer des Ă©tudes dans le domaine de la gestion quantitative et qualitative de l'eau irrigation, pollutions diffuses, de la connaissance des sols, de la prĂ©servation de la biodiversitĂ© en lien avec les activitĂ©s agricoles, de l'Ă©nergie, du changement climatique pour ses deux volets adaptation et attĂ©nuation, de la qualitĂ© de l'air et de la bioĂ©conomie. Ces travaux prennent toute leur dimension avec le projet agro-Ă©cologique qui constitue l'orientation forte pour le dĂ©veloppement de l'agriculture et des territoires ruraux. La filiĂšre Ă©quine, facteur de dĂ©veloppement des territoires Le cheval est une composante importante du dĂ©veloppement des territoires ruraux, la base d'une filiĂšre crĂ©atrice d'emplois et le support d'activitĂ©s sportives, sociales et culturelles. On compte ainsi 1 000 000 Ă©quidĂ©s, 38 000 personnes ou entreprises qui en font naĂźtre, prĂšs de 250 hippodromes la moitiĂ© du parc europĂ©en, prĂšs de 700 000 licenciĂ©s en Ă©quitation 3Ăšme fĂ©dĂ©ration française et prĂšs de 180 000 emplois dĂ©pendant directement ou en lien avec la filiĂšre Ă©quine. La politique du cheval vise ainsi Ă  assurer le dĂ©veloppement durable d'activitĂ©s dans les territoires. Entretien des paysages et amĂ©lioration des pratiques agricoles L’action 14 a Ă©galement pour objectif d'assurer une occupation Ă©quilibrĂ©e du territoire, un entretien de l'espace et des paysages et une amĂ©lioration des pratiques agricoles respectueuses de l'environnement, en prioritĂ© dans les zones Natura 2000 et Ă  enjeu eau ». Les mesures agroenvironnementales et climatiques MAEC donnent lieu Ă  un contrat de cinq ans entre un exploitant agricole, l'État et les rĂ©gions autoritĂ©s de gestion pour le FEADER. Elles consistent Ă  rĂ©munĂ©rer les surcoĂ»ts et les manques Ă  gagner liĂ©s Ă  la mise en Ɠuvre de pratiques plus respectueuses de l'environnement. Les MAEC s’articulent autour de deux types de mesures ayant vocation Ă  ĂȘtre ouvertes sur diffĂ©rents territoires de la rĂ©gion - des dispositifs dits systĂšmes d'exploitation» conçus pour s’appliquer au mode de gestion global de l'exploitation et aux pratiques culturales qu'elle met en Ɠuvre ; - des dispositifs Ă  la parcelle combinant des types d'opĂ©rations conçus pour rĂ©pondre Ă  des problĂ©matiques environnementales plus spĂ©cifiques au territoire oĂč elles sont situĂ©es. Le soutien Ă  l'agriculture biologique aide Ă  la conversion et aide au maintien, financĂ© jusqu’en 2014 Ă  100 % sur crĂ©dits communautaires dans le cadre du premier pilier de le PAC, est mis en Ɠuvre dans le cadre du second pilier de la PAC depuis 2015 et nĂ©cessite de ce fait un cofinancement national Ă  hauteur de 25 %. Le maintien de l’activitĂ© agricole dans les zones Ă  handicaps naturels ou dĂ©favorisĂ©es s'appuie sur le dispositif des indemnitĂ©s compensatoires de handicap naturel ICHN. Cette aide est versĂ©e dans les zones de montagne et les autres zones dĂ©favorisĂ©es, afin de compenser les surcoĂ»ts liĂ©s aux handicaps. D’autres mesures Ă  caractĂšre environnemental permettent de rĂ©pondre Ă  des problĂ©matiques spĂ©cifiques. Il s’agit des mesures de prĂ©vention contre les grands prĂ©dateurs ours, loup, de l’aide Ă  l’animation biologique et des opĂ©rations groupĂ©es d’amĂ©nagement foncier OGAF mises en Ɠuvre dans les collectivitĂ©s d’outre-mer. ExonĂ©ration des cotisations sociales pour l’emploi de salariĂ©s saisonniers Le dispositif d’exonĂ©ration pour l’emploi de travailleurs occasionnels et de demandeurs d’emploi prĂ©voit une exonĂ©ration des cotisations patronales de sĂ©curitĂ© sociale hors accidents du travail pour l’emploi de travailleurs occasionnels agricoles et des cotisations patronales conventionnelles obligatoires retraite complĂ©mentaire, prĂ©voyance, formation professionnelle
, Ă  l’exception de l’assurance chĂŽmage. Les employeurs bĂ©nĂ©ficient ainsi de l’exonĂ©ration de cotisations de sĂ©curitĂ© sociale et de cotisations conventionnelles pendant une durĂ©e maximum de 119 jours ouvrĂ©s consĂ©cutifs ou non par annĂ©e civile pour un mĂȘme salariĂ©, que ce soit en qualitĂ© d’employeur ou en qualitĂ© d’adhĂ©rent Ă  un groupement d’employeurs. Le dispositif a Ă©tĂ© modifiĂ© en 2013 afin de recentrer ses effets sur les bas salaires et de supprimer l'exonĂ©ration de cotisations d'accident du travail dans un souci de responsabilisation des employeurs, puis en 2015 en excluant les entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers ETARF, Ă©ligibles au CICE et aux allĂšgements de prĂ©lĂšvements obligatoires prĂ©vus dans le Pacte de responsabilitĂ© et de solidaritĂ©. Ce dispositif concerne toutes les activitĂ©s saisonniĂšres liĂ©es au cycle de la production animale et vĂ©gĂ©tale. Ă©lĂ©ments de la dĂ©pense par nature Titre et catĂ©gorie Autorisations d’engagement CrĂ©dits de paiement DĂ©penses de fonctionnement 40 000 40 000 DĂ©penses de fonctionnement autres que celles de personnel 40 000 40 000 DĂ©penses d'investissement 260 000 260 000 DĂ©penses pour immobilisations corporelles de l’État 260 000 260 000 DĂ©penses d'intervention 782 247 326 768 707 326 Transferts aux entreprises 349 974 167 336 434 167 Transferts aux collectivitĂ©s territoriales 320 000 320 000 Transferts aux autres collectivitĂ©s 431 953 159 431 953 159 Total 782 547 326 769 007 326 DĂ©PENSES DE FONCTIONNEMENT COURANT AE = 40 000 € CP = 40 000 € Expertise technique eau, sols, Ă©nergie, biomasse, bioĂ©conomie et changement climatique AE = 40 000 € CP = 40 000 € Ces crĂ©dits financent la rĂ©alisation d'Ă©tudes dans le domaine de la gestion quantitative et qualitative de l'eau irrigation, pollutions diffuses
, de la connaissance des sols, de la prĂ©servation de la biodiversitĂ© en lien avec les activitĂ©s agricoles, de l’énergie, du changement climatique pour ses deux volets adaptation et attĂ©nuation, de la qualitĂ© de l’air et de la bioĂ©conomie. En fonction des modalitĂ©s pratiques de mise en Ɠuvre de ces Ă©tudes, une partie des crĂ©dits sera exĂ©cutĂ©e en dĂ©penses d’intervention. immobilisations corporelles de l’état ae = 260 000 € Cp = 260 000 € Hydraulique agricole AE = 260 000 € CP = 260 000 € Ces crĂ©dits sont consacrĂ©s aux ouvrages domaniaux canaux d’irrigation, barrages, etc. dont l’État est propriĂ©taire. Ils permettent de financer les travaux d’entretien et de mise aux normes de ces ouvrages notamment canal de Cassagnac Gers, canal de la Hardt Alsace, canal de Beauregard Martinique, canaux de Calvi et digues du Golo en Haute-Corse, canaux en Provence-Alpes-CĂŽte-d’Azur. En fonction des modalitĂ©s pratiques de mise en Ɠuvre de ces crĂ©dits, une partie pourra ĂȘtre exĂ©cutĂ©e en dĂ©penses d’intervention. TRANSFERT AUX ENTREPRISES AE = 349 974 167 € CP = 336 434 167 € Hydraulique agricole AE = 1 211 500 € CP = 1 211 500 € En application de la dĂ©cision du troisiĂšme Conseil de modernisation des politiques publiques CMPP du 11 juin 2008, le financement des travaux d’hydraulique par le ministĂšre en charge de l’agriculture, aprĂšs apurement des dettes et respect des engagements, est arrĂȘtĂ© depuis le 31 dĂ©cembre 2008. Il n’y a plus de nouvel engagement dans ce domaine, seuls sont maintenus les engagements pour des opĂ©rations sur des ouvrages dont l'État demeure propriĂ©taire - rĂ©novation et entretien des ouvrages domaniaux d'hydraulique agricole dont l’État est propriĂ©taire ; - investissements nĂ©cessaires Ă  l'entretien ou Ă  la rĂ©novation des rĂ©seaux de distribution et de transfert d'eau engagĂ©s par la Compagnie d'amĂ©nagement des coteaux de Gascogne CACG dans le cadre de la concession d'État dont elle bĂ©nĂ©ficie 0,5 M€ en AE. A ce jour, les rĂ©gions Midi-PyrĂ©nĂ©es et Aquitaine n’ont pas souhaitĂ© bĂ©nĂ©ficier du transfert des biens de la concession d'État. En fonction des modalitĂ©s pratiques de mise en Ɠuvre de ces crĂ©dits, une partie pourra ĂȘtre exĂ©cutĂ©e en dĂ©pense d’investissement. Actions nationales en faveur du cheval AE = 5 021 000 € CP = 5 021 000 € Le cadre d'intervention des actions nationales en faveur du cheval a Ă©voluĂ© en 2015 avec la mise en Ɠuvre de la nouvelle rĂ©glementation communautaire relative aux aides d'Etat lignes directrices de l'Union europĂ©enne concernant les aides d'État dans les secteurs agricole et forestier et dans les zones rurales 2014-2020 2014/C 204/01 et rĂšglement UE n° 702/2014 de la Commission du 25 juin 2014 dĂ©clarant certaines catĂ©gories d'aides, dans les secteurs agricole et forestier et dans les zones rurales, compatibles avec le marchĂ© intĂ©rieur, en application des articles 107 et 108 du traitĂ© sur le fonctionnement de l'Union europĂ©enne parus au JOUE du 1er juillet 2014. Ces crĂ©dits financent pour l’essentiel des aides Ă  la filiĂšre pour encourager l’amĂ©lioration gĂ©nĂ©tique des Ă©quidĂ©s, des actions de formation, d'information des Ă©leveurs et des actions de promotion s'inscrivant dans les rĂ©gimes d'aides correspondants. Ils sont essentiellement mis en Ɠuvre par les associations nationales des races Ă©quines et asines. Ces actions sont destinĂ©es Ă  soutenir l’amĂ©lioration, le dĂ©veloppement et la promotion de l'Ă©levage français d'Ă©quidĂ©s et le dĂ©veloppement des activitĂ©s Ă©questres et d'insertion par le cheval. Ces aides permettent Ă©galement l'attribution de subventions aux organisateurs de concours d'Ă©levage pour des Ă©preuves d'importance participant Ă  l'amĂ©lioration des races ou d'autres manifestations Ă©questres d'envergure. Ils accompagnent aussi quelques opĂ©rations de vulgarisation ou d'actions ciblĂ©es autour des diffĂ©rentes fonctions du cheval et des activitĂ©s socio-Ă©conomiques qui lui sont associĂ©es, y compris la veille juridique dans le domaine du cheval. Ils permettent Ă©galement de soutenir des actions de recherche et dĂ©veloppement dans les domaines scientifique et Ă©conomique et d'amĂ©liorer la connaissance micro et macroĂ©conomique de la filiĂšre. Appui aux SAFER AE = 4 341 667 € CP = 4 341 667 € Ces crĂ©dits financent le soutien apportĂ© Ă  certaines catĂ©gories d'opĂ©rations rĂ©alisĂ©es par les SociĂ©tĂ©s d’amĂ©nagement foncier et d’établissement rural SAFER, eu Ă©gard aux surcoĂ»ts qu'elles induisent installations d'agriculteurs, agrandissements d'exploitations petites ou moyennes, opĂ©rations dans des pĂ©rimĂštres de protection environnementaux. Ce dispositif est payĂ© par l’ASP pour les SAFER de mĂ©tropole, seules visĂ©es par le dispositif de l'arrĂȘtĂ© du 10 mai 2001. Les subventions aux SAFER des DOM et Ă  l'ASP en tant qu'opĂ©rateur foncier Ă  Mayotte, objets d'un rĂ©gime d'attribution diffĂ©rent, transitent obligatoirement par les prĂ©fets. Les Ă©ventuels soutiens aux SAFER en difficultĂ©, dans le cadre de plans de restructuration ou de redressement, procĂšdent nĂ©cessairement de conventions, dĂ©sormais annuelles, et les crĂ©dits correspondant sont Ă©galement dĂ©lĂ©guĂ©s via les prĂ©fets. Les nouvelles dispositions introduites par la LAAF rĂ©affirment le rĂŽle des SAFER et renforcent leurs moyens d’action avec notamment un Ă©largissement de leur information sur les cessions de parts sociales de sociĂ©tĂ©s Ă  objet principalement agricole et celles sur les usufruits et les nues-propriĂ©tĂ©s dans le cadre des dĂ©membrements de propriĂ©tĂ©. Leur droit de prĂ©emption est Ă©galement Ă©tendu Ă  la cession de la totalitĂ© des parts d’une sociĂ©tĂ© Ă  objet principalement agricole ainsi qu’à celle de droits dĂ©membrĂ©s de propriĂ©tĂ© pour reconstituer la pleine propriĂ©tĂ© du bien. L’article 113 de la loi n° 2015-990 du 6 aoĂ»t 2015 pour la croissance, l’activitĂ© et l’égalitĂ© des chances Ă©conomiques introduit Ă©galement la possibilitĂ© pour les SAFER de prĂ©empter sur des cessions entre vifs Ă  titre gratuit, tout en rĂ©servant un ensemble d’exclusions. L’ensemble de ces mesures devrait conduire Ă  l’accroissement de l’activitĂ© des SAFER, du fait d’une meilleure information sur le marchĂ© foncier agricole et d’un meilleur contrĂŽle des cessions Ă  titre onĂ©reux et gratuites. Ces dispositions lĂ©gislatives appuient et renforcent la politique fonciĂšre du MAAF notamment en ce qui concerne la transmission des exploitations agricoles, l'installation, la consolidation des exploitations en leur donnant la possibilitĂ© d'obtenir une taille Ă©conomique viable, et la prise en compte des enjeux liĂ©s Ă  la protection de l'environnement. PMPOA AE = 0 € CP = 1 000 000 € Les crĂ©dits dĂ©lĂ©guĂ©s Ă  l’Agence de services et de paiement ASP financent le solde des dossiers du programme de maĂźtrise de la pollution d'origine agricole PMPOA dont les engagements ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s le 31 dĂ©cembre 2006. IndemnitĂ©s compensatoires de handicaps naturels ICHN AE = 256 000 000 CP = 256 000 000 € Les indemnitĂ©s compensatoires de handicaps naturels ICHN visent au maintien des exploitations agricoles durables dans les zones dĂ©favorisĂ©es simples ou de montagne. L’ICHN permet d’indemniser les agriculteurs pour tout ou partie des coĂ»ts supplĂ©mentaires et de la perte de revenu rĂ©sultant des contraintes de ces zones pour la production agricole. Cette aide est cofinancĂ©e par le Fonds europĂ©en agricole pour le dĂ©veloppement rural FEADER avec un taux de 75 %. Afin de respecter l'enveloppe prĂ©vue par la de loi de finances LFI, un mĂ©canisme de stabilisateur budgĂ©taire rĂ©gional pourra ĂȘtre mis en place, ajustant de maniĂšre linĂ©aire le montant reçu par les bĂ©nĂ©ficiaires pour assurer le respect de l’enveloppe rĂ©gionale. Depuis 2014, l'ICHN est progressivement revalorisĂ©e selon des Ă©tapes successives augmentation de +15 % des montants unitaires et intĂ©gration de la fraction Ă©conomique de la prime herbagĂšre agroenvironnementale PHAE. La revalorisation de l’ICHN se poursuit en 2016 pour atteindre une enveloppe de 256 M€. Ce dispositif est payĂ© par l’ASP, ou, en Corse, par l’ODARC. Boisement des terres agricoles BTA AE = 0 € CP = 310 000 € Ces crĂ©dits financent le solde des dossiers de la prime annuelle destinĂ©e Ă  compenser la perte de revenus dĂ©coulant du boisement de la superficie agricole, dont la durĂ©e d'attribution varie de 7 Ă  15 ans. Les engagements ont pris fin en fĂ©vrier 2004. Ce dispositif est payĂ© par l’ASP. Mesures agroenvironnementales et climatiques MAEC et aides Ă  l’agriculture biologique AE = 71 900 000 € CP = 57 050 000 € MAEC AE = 55 650 000 € CP = 28 050 000 € Ces crĂ©dits financent des mesures agroenvironnementales et climatiques MAEC destinĂ©es Ă  accompagner les exploitations agricoles dans l’objectif d’une agriculture plus respectueuse de l’environnement au travers de dispositifs contractuels proposĂ©s aux exploitants. Elles permettent Ă©galement Ă  l'État de respecter les engagements pris auprĂšs des instances communautaires sur la qualitĂ© de l'eau et la biodiversitĂ©. Ces mesures sont souscrites pour 5 ans au travers d’un engagement agroenvironnemental. En contrepartie du respect d’un cahier des charges de la mesure souscrite, le bĂ©nĂ©ficiaire perçoit une aide annuelle pendant la durĂ©e de son engagement. Les niveaux d’aide ont Ă©tĂ© dĂ©finis Ă  partir du calcul des surcoĂ»ts ou pertes de revenus engendrĂ©s par les pratiques agroenvironnementales. L'ensemble de ces mesures permet principalement la mise en Ɠuvre des engagements communautaires liĂ©s aux volets agricoles de la directive habitats naturels Natura 2000 et de la directive-cadre sur l'eau DCE. L’annĂ©e 2016 est la deuxiĂšme annĂ©e de mise en Ɠuvre de la programmation 2015-2020 pour laquelle les RĂ©gions sont autoritĂ©s de gestion. Les mesures sont de deux types d’une part, les MAEC systĂšme d'exploitation » concernent l’ensemble de l’exploitation engagĂ©e afin de conforter ou dĂ©velopper ses pratiques environnementales, d’autre part, les MAEC localisĂ©es qui sont conçues pour rĂ©pondre Ă  des problĂ©matiques environnementales territorialisĂ©es plus spĂ©cifiques. Ces financements de l’Etat sont complĂ©tĂ©s, de maniĂšre importante, par les collectivitĂ©s territoriales et les agences de l'eau dont l'action porte sur la reconquĂȘte de la qualitĂ© de l'eau au titre de la directive-cadre sur l'eau DCE. Aides Ă  l’agriculture biologique AE = 16 250 000 € CP = 29 000 000 € Depuis 2015, les aides Ă  l'agriculture biologique qui jusqu'Ă  prĂ©sent Ă©taient financĂ©es sur le 1er pilier de la PAC sont mises en Ɠuvre dans le cadre du 2nd pilier. Elles recouvrent d'une part les aides Ă  la conversion destinĂ©es aux agriculteurs qui s'engagent pour 5 ans Ă  convertir leur exploitation en totalitĂ© ou partie Ă  l'agriculture biologique, et d'autre part les aides au maintien de ce type d'agriculture pour les exploitations dĂ©jĂ  converties. Les MAEC et les aides Ă  l'agriculture biologique sont cofinancĂ©es par le FEADER Ă  hauteur de 75 %. Ces dispositifs sont payĂ©s par l’ASP, ou, en Corse, par l’ODARC. Autres actions environnementales et pastoralisme AE = 11 500 000 € CP = 11 500 000 € Ces crĂ©dits financent plusieurs dispositifs - mesure grands prĂ©dateurs » 7,4 M€, destinĂ©e Ă  accompagner les Ă©leveurs dans les zones de prĂ©dation du loup, et cofinancĂ©e par le FEADER Ă  hauteur de 50 %. Les crĂ©dits financent essentiellement du gardiennage, des clĂŽtures, des chiens de protection et des analyses de vulnĂ©rabilitĂ©. Le montant moyen versĂ© aux Ă©leveurs est de 7 000 € par an. Le coĂ»t de la mesure de protection des troupeaux suit la zone d'extension de la population du loup. Depuis 2011, la zone de prĂ©sence du prĂ©dateur est en constante augmentation de la zone alpine initiale elle s'Ă©tend maintenant au nord Franche-ComtĂ©, Bourgogne, Lorraine et au sud, vers le sud du massif central ArdĂšche, Haute-Loire et LozĂšre et vers l’est du massif pyrĂ©nĂ©en Aude et PyrĂ©nĂ©es-Orientales. Les attaques progressent malgrĂ© le dĂ©veloppement des mesures de protection dont l'efficacitĂ© est pourtant dĂ©montrĂ©e. - soutiens Ă  l’animation en agriculture biologique et Ă  l’animation des territoires MAEC » 1,7 M€, destinĂ©s Ă  encourager les initiatives liĂ©es Ă  l’animation des filiĂšres et des marchĂ©s, en lien avec l’agriculture biologique et la contractualisation en MAEC ; - plan 2007-2013 de soutien Ă  l’économie agro-sylvo-pastorale 1,5 M€, prolongĂ© depuis 2014. DestinĂ© Ă  favoriser le pastoralisme avec des mesures spĂ©cifiques de soutien Ă  l’économie de montagne dans les PyrĂ©nĂ©es, cette action bĂ©nĂ©ficie d’un budget de 1,5 M€, cofinancĂ© par le FEADER Ă  hauteur de 53 % ; - opĂ©rations groupĂ©es d'amĂ©nagement foncier OGAF » 0,7 M€, destinĂ©es aux collectivitĂ©s d'outre-mer et permettant de concentrer dans un pĂ©rimĂštre donnĂ©, pendant un temps donnĂ©, des moyens d'intervention des diffĂ©rentes collectivitĂ©s dans l'objectif de mettre en place un plan de dĂ©veloppement agricole de ces territoires. Ces dispositifs sont payĂ©s par l’ASP. TRANSFERT AUX COLLECTIVITĂ©S territoriales AE = 320 000 € CP = 320 000 € Agence de DĂ©veloppement Rural et d’AmĂ©nagement Foncier AE = 320 000 € CP = 320 000 € Ces crĂ©dits financent des opĂ©rations fonciĂšres achats de terre, rĂ©trocessions de terres, opĂ©rations de dĂ©veloppement rural rĂ©alisĂ©es par l'Agence de dĂ©veloppement rural et d'amĂ©nagement foncier de Nouvelle CalĂ©donie ADRAF. ConstituĂ©e en 1988, aprĂšs les accords de Matignon, l'ADRAF a pour rĂŽle essentiel de rĂ©pondre aux revendications fonciĂšres des clans mĂ©lanĂ©siens, par le biais de rĂ©trocessions gratuites de terres acquises auprĂšs de particuliers. L'ADRAF dispose du droit de prĂ©emption Ă  cette fin. TRANSFERT AUX AUTRES COLLECTIVITĂ©S AE = 431 887 680 € CP = 431 887 680 € Formation et information des syndicats agricoles AE = 5 708 000 € CP = 5 708 000 € Ces crĂ©dits sont destinĂ©s Ă  la formation des travailleurs appelĂ©s Ă  exercer des responsabilitĂ©s dans des organisations syndicales ou professionnelles. La promotion collective agricole se fonde sur l’article du code du travail et l’article du code rural et de la pĂȘche maritime. Ces articles autorisent, dans le cadre de conventions, le concours de l’État au financement de la formation des responsables syndicaux reprĂ©sentant les exploitants agricoles, les salariĂ©s des exploitations, les aides familiaux, ainsi que les salariĂ©s et non-salariĂ©s des secteurs para-agricoles et agroalimentaires. Animation et dĂ©veloppement rural national et rĂ©gional AE = 1 100 000 € CP = 1 100 000 € En application du rĂšglement UE n° 1305/2013 du Parlement europĂ©en et du Conseil relatif au soutien au dĂ©veloppement rural par le FEADER, la dĂ©clinaison de l'obligation faite Ă  chaque Etat membre de se doter d'un rĂ©seau rural tient compte de la dĂ©centralisation de la gestion des fonds europĂ©ens. Elle prend la forme d'un programme spĂ©cifique du rĂ©seau rural national PSRRN dont l'autoritĂ© de gestion est assurĂ©e par le ministĂšre en charge de l'agriculture et, le cas Ă©chĂ©ant, d'actions complĂ©mentaires conduites au niveau rĂ©gional dans le cadre de chaque programme de dĂ©veloppement rural rĂ©gional PDRR dont l'autoritĂ© de gestion est gĂ©nĂ©ralement le conseil rĂ©gional de la rĂ©gion concernĂ©e, le conseil gĂ©nĂ©ral dans le cas de la RĂ©union et le PrĂ©fet dans le cas de Mayotte. Les crĂ©dits du MAAF viennent en contrepartie des crĂ©dits FEADER inscrits pour le rĂ©seau rural au titre de ces programmes et se rĂ©partissent en deux sous-actions - dans le cadre du rĂ©seau rural national copilotĂ© par le ministĂšre en charge de l’agriculture, le Commissariat gĂ©nĂ©ral Ă  l'Ă©galitĂ© des territoires, et l'Association des RĂ©gions de France ARF le rĂ©seau national regroupe une centaine de tĂȘtes de rĂ©seaux associations, organismes consulaires, organismes de recherche, experts
 reprĂ©sentatifs du monde rural ; les crĂ©dits financent directement ou sous forme de subventions Ă  des bĂ©nĂ©ficiaires des actions d’envergure nationale ou inter-rĂ©gionale rĂ©pondant aux objectifs du programme spĂ©cifique tel que soumis Ă  l'approbation de la Commission europĂ©enne ; - dans le cadre des programmes de dĂ©veloppement rural rĂ©gionaux les crĂ©dits du MAAF s'inscrivent dans les actions du PDRR pour soutenir certains projets stratĂ©giques pour l'Etat au niveau rĂ©gional, en particulier les actions de coopĂ©ration Ă  l'Ă©chelle rĂ©gionale ou infrarĂ©gionale, ou qui permettent de dĂ©cliner en rĂ©gion les prioritĂ©s gouvernementales telles que le projet agro-Ă©cologique ou encore les circuits alimentaires de proximitĂ©. Expertise technique eau, sols, biodiversitĂ©, Ă©nergie, biomasse, bioĂ©conomie et changement climatique AE = 860 000 € CP = 860 000 € Ces crĂ©dits financent la rĂ©alisation d'Ă©tudes expertises techniques dans le domaine de la gestion quantitative et qualitative de l'eau irrigation et pollutions diffuses, de la connaissance des sols, de la prĂ©servation de la biodiversitĂ© en lien avec les activitĂ©s agricoles, de l’énergie, du changement climatique pour ses deux volets adaptation et attĂ©nuation, de la qualitĂ© de l’air et de la bioĂ©conomie. Les rĂ©sultats de ces Ă©tudes et leur large diffusion contribuent Ă  concilier performance Ă©conomique et environnementale des exploitations agricoles et Ă  favoriser l'attractivitĂ© des territoires ruraux. Ils permettent d'orienter les choix dĂ©cisionnels au niveau central ou dans les services dĂ©concentrĂ©s, d'appuyer la construction des dispositifs rĂ©glementaires liant agriculture et performance environnementale, notamment s'agissant des politiques de l'eau, et de prĂ©parer et d'appuyer les positions françaises au niveau communautaire voire international climat, biomasse, contentieux, .... Ces travaux permettent de consolider les actions engagĂ©es par le ministĂšre pour la mise en Ɠuvre du projet agro-Ă©cologique qui constitue l'axe majeur de la politique agricole dĂ©clinĂ©e notamment par les nouvelles orientations prises dans le cadre de la PAC pour la pĂ©riode 2014-2020 et dans le cadre du projet de loi d'avenir pour l'agriculture, l'alimentation et la forĂȘt. Ces dĂ©penses correspondent Ă  des conventions passĂ©es avec les organismes prestataires de service dans ce domaine INRA, France Nature Environnement, IRSTEA, COMIFER, COOP de France, Ademe, bureaux d'Ă©tudes
. En fonction des modalitĂ©s pratiques de mise en Ɠuvre de ces Ă©tudes, une partie des crĂ©dits pourra ĂȘtre exĂ©cutĂ©e en dĂ©penses de fonctionnement. Autres soutiens aux syndicats AE = 13 268 853 € CP = 13 268 853 € Ces crĂ©dits sont destinĂ©s au fonctionnement des syndicats agricoles conformĂ©ment aux dispositions de la loi n°2001-1275 article 124. Les crĂ©dits sont rĂ©partis chaque annĂ©e entre les syndicats, selon une clef de rĂ©partition rĂ©visĂ©e par le dĂ©cret n°2013-306 du 11 avril 2013, modifiant le dĂ©cret n° 2002-451 du 2 avril 2002 relatif au financement des organisations syndicales d'exploitants agricoles. Cette clef s'appuie sur les rĂ©sultats obtenus lors du dernier scrutin des chambres d'agriculture de 2013. RĂ©glementation et sĂ©curitĂ© au travail AE = 360 750 € CP = 360 750 € Ces crĂ©dits visent Ă  amĂ©liorer la prĂ©vention des risques professionnels des travailleurs ruraux, par la rĂ©alisation d’études prospectives, la mise en Ɠuvre de mesures d'amĂ©liorations techniques et organisationnelles. Des campagnes de communication peuvent aussi ĂȘtre financĂ©es pour donner aux usagers l’accĂšs aux connaissances des normes rĂ©glementaires et des techniques de protection. Les mesures ainsi financĂ©es entrent dans le cadre des actions programmĂ©es dans le plan santĂ© au travail pour la pĂ©riode 2015-2019 PST3 et auquel contribue le Ministre chargĂ© de l'agriculture en qualitĂ© de Ministre du travail des professions agricoles, ce plan ayant fait l'objet d'une large consultation du Conseil d'orientation sur les conditions de travail COCT, installĂ© en 2009. Par ailleurs, la Commission europĂ©enne a proposĂ© de simplifier la lĂ©gislation communautaire sur les vĂ©hicules agricoles et forestiers, tracteurs, remorques et matĂ©riel tractĂ©. A cette occasion, le renforcement de la sĂ©curitĂ© de ces vĂ©hicules est prĂ©vu. En fonction des modalitĂ©s pratiques de mise en Ɠuvre de ces Ă©tudes, une partie des crĂ©dits est exĂ©cutĂ©e en dĂ©penses de fonctionnement. ExonĂ©rations de charges sociales AE = 410 655 556 € CP = 410 655 556 € Ces crĂ©dits correspondent Ă  la compensation, par l’État, des moindres recettes perçues par les organismes de sĂ©curitĂ© sociale, principalement la Caisse centrale de la mutualitĂ© sociale agricole CCMSA. Ces moindres recettes rĂ©sultent de la mise en Ɠuvre de mesures d’exonĂ©ration de charges sociales ciblĂ©es en faveur du secteur agricole, Ă  savoir la mesure d’exonĂ©ration de charges patronales pour l’embauche de travailleurs occasionnels TO-DE. Ce dispositif prĂ©voit que les employeurs relevant du rĂ©gime agricole et employant des travailleurs occasionnels pour des tĂąches temporaires liĂ©es au cycle de la production animale et vĂ©gĂ©tale, et aux activitĂ©s de transformation, de conditionnement et de commercialisation de produits agricoles, lorsque ces activitĂ©s, accomplies sous l’autoritĂ© d’un exploitant agricole, constituent le prolongement direct de l’acte de production, bĂ©nĂ©ficient d’une exonĂ©ration dĂ©gressive de charges sociales patronales. Le coĂ»t de cette mesure, qui bĂ©nĂ©ficie Ă  environ 75 000 entreprises et 845 000 contrats, est Ă©valuĂ© Ă  411 M€. L’exonĂ©ration est totale pour les rĂ©munĂ©rations Ă©gales ou infĂ©rieures Ă  1,25 fois le montant mensuel du salaire minimum interprofessionnel de croissance SMIC puis devient dĂ©gressive au-delĂ  jusqu’à s’annuler pour les rĂ©munĂ©rations Ă©gales ou supĂ©rieures Ă  1,5 SMIC. CatĂ©gorie Établissements Contrats Heures Masse salariale Cultures spĂ©cialisĂ©es 15 985 278 790 76 Mh 799 M€ Cultures et Ă©levages non spĂ©cialisĂ©s 20 537 127 878 19 Mh 206 M€ Viticulture 27 952 362 952 41 Mh 444 M€ Autres secteurs 10 376 75 312 13 Mh 148 M€ Total TO-DE 74 850 844 932 149 Mh 1 597 M€ Production – tous contrats 159 509 1 544 141 620 Mh 7 536 M€ Rapport TO-DE/tous contrats 47 % 55 % 24 % 21 % Source CCMSA. DonnĂ©es de l’annĂ©e civile 2014 ACTION N° 15 19,1 % Moyens de mise en oeuvre des politiques publiques et gestion des interventions Titre 2 Hors titre 2 Total FDC et ADP attendus en 2016 Autorisations d’engagement 266 087 250 266 087 250 CrĂ©dits de paiement 266 087 250 266 087 250 Cette action regroupe les moyens de fonctionnement des opĂ©rateurs chargĂ©s de la mise en Ɠuvre, pour le compte de l'État et de l'Union europĂ©enne, des actions en faveur des entreprises agricoles et agroalimentaires. Il s’agit de - l'Institut français du cheval et de l’équitation IFCE, chargĂ© de mener des actions en faveur du dĂ©veloppement de la filiĂšre Ă©quine ; - l’Institut national de l’origine et de la qualitĂ© INAO, chargĂ© de la gestion de l’ensemble des signes d’identification, de la qualitĂ© et de l’origine ; - l’Agence nationale pour le dĂ©veloppement et la promotion de l’agriculture biologique Agence BIO ; - l'Établissement national des produits de l'agriculture et de la mer FranceAgriMer, chargĂ© de l'adaptation des filiĂšres et des marchĂ©s. Il est organisme payeur des aides communautaires des aides de marchĂ©s ; - l'Office de dĂ©veloppement de l'Ă©conomie agricole des dĂ©partements d'outre-mer ODEADOM, chargĂ© de l'adaptation des filiĂšres et des marchĂ©s ultramarins. Il est organisme payeur d'aides communautaires des aides spĂ©cifiques du FEAGA ; - l'Agence de services et de paiement ASP, organisme payeur de diverses aides nationales et de la plupart des aides communautaires des 1er et 2Ăšme piliers de la PAC, chargĂ© de mettre en place les procĂ©dures de gestion et de suivi de paiement des dossiers et de procĂ©der aux contrĂŽles nĂ©cessaires ; - l'Office de dĂ©veloppement agricole et rural corse ODARC, chargĂ© de la mise en Ɠuvre, pour la collectivitĂ© territoriale de Corse, des actions en faveur de l'agriculture corse. L’IFCE, l’INAO, l’Agence BIO, FranceAgriMer, l’ODEADOM et l’ASP Ă©tant des opĂ©rateurs de l’État, des descriptions plus dĂ©taillĂ©es de leurs missions figurent dans le chapitre OpĂ©rateurs » du projet annuel de performance. Ă©lĂ©ments de la dĂ©pense par nature Titre et catĂ©gorie Autorisations d’engagement CrĂ©dits de paiement DĂ©penses de fonctionnement 263 003 316 263 003 316 Subventions pour charges de service public 263 003 316 263 003 316 DĂ©penses d'intervention 295 480 295 480 Transferts aux entreprises 295 480 295 480 DĂ©penses d'opĂ©rations financiĂšres 2 788 454 2 788 454 Dotations en fonds propres 2 788 454 2 788 454 Total 266 087 250 266 087 250 SUBVENTION POUR CHARGES DE SERVICE PUBLIC AE = 263 003 316 € CP = 263 003 316 € IFCE AE = 43 162 300 € CP = 43 162 300 € L'IFCE, Ă©tablissement public administratif placĂ© sous les tutelles des ministĂšres en charge de l'agriculture et des sports, est l'opĂ©rateur public unique pour accompagner la professionnalisation de la filiĂšre Ă©quine. Issu de la fusion entre les Haras nationaux et l'École nationale d'Ă©quitation ENE en 2010, l’IFCE a vocation Ă  permettre de procĂ©der au recentrage des activitĂ©s issues des Haras nationaux sur les seules missions relevant du service public. Ces crĂ©dits sont destinĂ©s Ă  assurer le financement des dĂ©penses de personnel et de fonctionnement de l’institut. INAO AE = 17 134 973 € CP = 17 134 973 € L'INAO, Ă©tablissement public administratif, sous la tutelle du ministĂšre en charge de l'agriculture, est chargĂ© de la mise en Ɠuvre de la politique française relative aux produits sous signes officiels d'identification de l'origine et de la qualitĂ© appellation d'origine AO, indication gĂ©ographique protĂ©gĂ©e IGP, label rouge, spĂ©cialitĂ© traditionnelle garantie STG et agriculture biologique AB. Ces crĂ©dits sont destinĂ©s Ă  assurer le financement des dĂ©penses de personnel et de fonctionnement de l’institut. Agence BIO AE = 1 478 339 € CP = 1 478 339 € L'Agence BIO est un groupement d'intĂ©rĂȘt public GIP en charge du dĂ©veloppement et de la promotion de l'agriculture biologique. Ces crĂ©dits sont destinĂ©s Ă  assurer le financement des dĂ©penses de personnel et de fonctionnement du GIP. FranceAgriMer AE = 91 515 046 € CP = 91 515 046 € FranceAgriMer, Ă©tablissement public administratif sous la tutelle du ministĂšre en charge de l’agriculture, concourt Ă  la mise en Ɠuvre des interventions Ă©conomiques du ministĂšre et de l'Union europĂ©enne en faveur des filiĂšres agricoles. Il est Ă©galement un lieu d’échanges entre les filiĂšres de l’agriculture et de la pĂȘche, rassemblĂ©es depuis avril 2009 au sein d’un Ă©tablissement unique, en lieu et place des anciens offices d'intervention. Ces crĂ©dits sont destinĂ©s Ă  assurer le financement des dĂ©penses de personnel et de fonctionnement de l’établissement. ODEADOM AE = 4 526 581 € CP = 4 526 581 € L'ODEADOM, Ă©tablissement public administratif, sous les tutelles des ministĂšres en charge de l’agriculture et de l’Outre-mer, Ɠuvre au dĂ©veloppement durable de l'Ă©conomie agricole des cinq dĂ©partements d'outre-mer Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte et RĂ©union et de trois collectivitĂ©s d'outre-mer Saint-BarthĂ©lemy, Saint-Martin et Saint-Pierre-et-Miquelon. Ces crĂ©dits sont destinĂ©s Ă  assurer le financement des dĂ©penses de personnel et de fonctionnement de l’office. ASP AE = 105 186 077 € CP = 105 186 077 € L’ASP, Ă©tablissement public administratif, sous les tutelles des ministĂšres en charge de l’agriculture et de l’emploi, contribue Ă  la mise en Ɠuvre de politiques publiques notamment dans les secteurs de l’agriculture, l’aquaculture, la forĂȘt et la pĂȘche. Il est l’organisme payeur des aides du premier et du deuxiĂšme pilier hors Corse. Ces crĂ©dits sont destinĂ©s Ă  assurer le financement des dĂ©penses de personnel et de fonctionnement de l’agence. TRANSFERTS AUX ENTREPRISES AE = 295 480 € CP = 295 480 € ODARC AE = 295 480 € CP = 295 480 € L’ODARC, Ă©tablissement public Ă  caractĂšre industriel et commercial, sous la tutelle de la CollectivitĂ© territoriale de Corse CTC, est agréé pour la pĂ©riode 2014-2020 comme organisme payeur des fonds europĂ©ens agricoles pour la totalitĂ© des mesures inscrites au Plan de dĂ©veloppement rural de la Corse PDRC. Ces crĂ©dits sont destinĂ©s Ă  assurer une partie du financement des dĂ©penses de personnel et de fonctionnement de l’office. DOTATION EN FONDS PROPRES AE = 2 788 454 € CP = 2 788 454 € ASP AE = 2 788 454 € CP = 2 788 454 € En 2016, une dotation exceptionnelle de 2,8M€ est prĂ©vue en vue de couvrir les investissements nĂ©cessaires Ă  la mise en Ɠuvre de la nouvelle PAC.
\n\n \n\n \n convention collective nationale de la production agricole et cuma
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