Cequi est trĂšs interpelant, c’est que, dans ce dernier rapport, la CIA n’imagine mĂȘme pas que les USA risquent de se voir dĂ©trĂŽnĂ©s de la premiĂšre place Ă©conomique dans le
France Culture Émotions, habitudes, politique, gĂ©opolitique le "monde d'aprĂšs" sera-t-il si diffĂ©rent du nĂŽtre ? France Culture Comment penser la science aprĂšs le confinement ? France Culture Philippe Aghion France Culture La pensĂ©e Ă  l’épreuve de la pandĂ©mie France Culture Rue de Rivoli, le 22 mars 2020 France Culture Dans le monde d'aprĂšs, la culture s'effondre. Et si dans le monde de demain, nous la repensions comme une page blanche ou un rĂȘve Ă©veillĂ© ? France Culture et si l'histoire de l'Ă©nergie s'Ă©tait Ă©crite autrement... France Culture Un argentin porte un masque aux couleurs de son pays - 22/04/2020 France Culture Le laurĂ©at du Prix Goncourt Mathias Enard est l'invitĂ© des Matins France Culture Que sera l'AprĂšs confinement ImagineDemain France Culture Demain des coronapistes partout ? Kezako ? Des amĂ©nagements d’urgence, pour trouver une alternative aux transports en commun, dans la perspective du dĂ©confinement... France Culture AprĂšs le temps de la sidĂ©ration, le temps du "dĂ©gel" France Culture A quoi ressemble un "imaginaire dĂ©sirable" ? France Culture Info20 avril 2020 France Culture La crise actuelle pourrait voir le passage du leadership mondial de Washington Ă  PĂ©kin. Ou pas... France Culture dans le monde d'aprĂšs, mieux vaut savoir bricoler France Culture Travailleurs migrants, New Delhi, Inde 28 mars 2020 France Culture La prĂ©vision est un art difficile, surtout en ce qui concerne l’avenir. Pierre Dac France Culture La prĂ©sidente de la Commission europĂ©enne Ursula von der Leyen et le prĂ©sident du Conseil europĂ©en Charles Michel donnent une confĂ©rence de presse aprĂšs une vidĂ©oconfĂ©rence des dirigeants du G7 sur la COVID-19, Bruxelles, le 16 mars 2020. France Culture Info9 avril 2020 France Culture Il existe deux types de crises celles auxquelles nous ne pouvions pas nous prĂ©parer car personne ne les avait imaginĂ©es, et celles auxquelles nous aurions dĂ» ĂȘtre prĂ©parĂ©s car elles Ă©taient attendues. France Culture Lutter seul contre le Covid-19 est-il possible ? La crise sanitaire semble remettre le multilatĂ©ralisme sur le devant de la scĂšne. France Culture Retrouverons-nous le chemin des centres commerciaux dĂšs que le confinement des populations prendra fin ? France Culture Info6 avril 2020 France Culture Le "monde d’aprĂšs", tout le monde a sa petite idĂ©e sur la forme qu'il prendra... France Culture Comment sortir du tunnel ? Aussisubtil, clair et vivant que leur prĂ©cĂ©dent rapport (Le Rapport de la CIA. Comment sera le monde en 2020 ?, Robert Laffont, 2005), ce document est aussi Ă©tonnamment diffĂ©rent. Il dĂ©crit un monde transformĂ© et avance des hypothĂšses qui ne manqueront pas de faire parler. Ainsi les États-Unis imaginent-ils pour la premiĂšre fois leur futur affaiblissement et la fin

. RĂ©fĂ©rence C-658-786 ISBN-10 2221105303 ISBN-13 9782221105306 Format BrochĂ© Pages 268 B Bon Petites traces de pliure sur la couverture. RÉSUMÉ " Il vaut mieux ne pas croire aveuglĂ©ment Michael Moore la classe dirigeante actuelle des Etats-Unis n'est pas composĂ©e de brutes analphabĂštes incapables de saisir les complexitĂ©s du monde... Pour s'en convaincre, il suffit de lire ce rapport produit par le Conseil national du renseignement amĂ©ricain National Intelligence Council pour la CIA. Un texte dense, articulĂ© et subtil qui propose un examen en profondeur des grandes tendances du monde de demain. Dans tous les domaines - politique, Ă©conomie, environnement, religion, terrorisme -, c'est une rĂ©flexion passionnante sur les forces et sur les dangers en mĂȘme temps qu'un ensemble trĂšs prĂ©cis d'indications qui orienteront la politique des Etats-Unis dans les prochaines annĂ©es... C'est pourquoi il nous faut examiner sans passion ni prĂ©jugĂ©s cette " cartographie du futur " dont nous n'avons pas l'Ă©quivalent aujourd'hui en Europe. " Le terrorisme va-t-il s'amplifier ? Verra-t-on l'effondrement de l'hĂ©gĂ©monie amĂ©ricaine ? Les pleins pouvoirs iront-ils Ă  l'Asie ? S'appuyant sur des sources et des hypothĂšses extrĂȘmement sĂ©rieuses, les auteurs se livrent aussi Ă  de trĂšs rĂ©alistes scĂ©narios de politique-fiction. Ainsi la lettre du petit-fils de Ben Laden Ă  sa famille proclamant l'instauration d'un nouveau califat ou le dialogue sous forme de SMS entre trafiquants d'armes nuclĂ©aires et chimiques... Ce rapport, Ă©crit par vingt-cinq experts internationaux sur la base de donnĂ©es jusqu'ici secrĂštes, nous dit comment sera la monde en 2020. 2,83€ dont 0,28 € reversĂ©s au partenaire donateur et 0,14 € reversĂ©s Ă  nos partenaires caritatifs.

LeRapport De La Cia | Comment Sera Le Monde En 2020 ? Alexandre Adler, Alexandre Alder. 3.45. 56 ratings 4 reviews. Want to Read. Buy on Amazon. Rate this book. Book details & editions. About the author. Alexandre Adler 65 books 7 followers. Ratings & Reviews. What do you think? Rate this book. Write a Review. Friends & Following. Create a free account to see what your
Le rapport de la CIACe document est exceptionnel, unique mĂȘme. Pour la premiĂšre fois, le public a accĂšs aux recherches et aux analyses des meilleurs gĂ©opoliticiens de la CIA. Quelle sera la carte du monde dans dix ans ? dans trente ans ? Quelle sera l'issue de la guerre mondiale diffuse que nous vivons actuellement ? Le terrorisme va-t-il s'amplifier ? La montĂ©e de la Chine et de l'Inde sera-t-elle progressive ou violente ? Verra-t-on l'effondrement de l'hĂ©gĂ©monie amĂ©ricaine ? La mondialisation, apparemment irrĂ©versible, imposera-t-elle le modĂšle occidental ? Entre alarmisme et espĂ©rance, les auteurs de ce rapport - historiens, militaires, diplomates - proposent la lecture la plus fine, lucide et vraisemblable du monde de d'occasion Ă©crit par Alexandre Adler, Johan-FrĂ©dĂ©rik Hel-Guedj Traducteurparu en 2006 aux Ă©ditions Pocket, POLITIQUES, GEOPOLITIQUE, GEOPOLITIQUE265 pages, BrochĂ©Code ISBN / EAN 9782266165426La photo de couverture n’est pas contractuelle.
Pocket- Acheter notre livre d'occasion pas cher "Le nouveau rapport de la CIA - Comment sera le monde de demain ?" Alexandre Adler - Livraison gratuite dĂšs 20€ - " Avec une crise financiĂšre sans prĂ©cĂ©dent, au moins depuis 1929,
Le Nouvel Observateur/France Culture. Peut-on dire aujourd’hui que l’avenir du monde et de la paix se joue au Moyen-Orient? Alexandre Je le pense tout Ă  fait. Le Moyen-Orient a toujours Ă©tĂ© une rĂ©gion importante mais depuis les annĂ©es 60, il est devenu le problĂšme gĂ©opolitique numĂ©ro un de la planĂšte. A mon sens, nous avons encore franchi rĂ©cemment une Ă©tape avec l’élection iranienne, l’évolution de la politique pĂ©troliĂšre, la stabilitĂ© de l’Arabie saoudite et la question du conflit israĂ©lo-palestinien. Ce n’est pas un hasard si Obama a fait au Caire son premier grand discours de politique Ă©trangĂšre. Hubert Je ne dirai pas que tout l’avenir du monde se joue dans cette rĂ©gion parce que je pense que l’évolution des rapports entre les principaux pĂŽles du monde multipolaire de demain – qui ne sera pas stable mais verra une compĂ©tition entre les divers pĂŽles -, commande tout le reste. D’autre part, la question de savoir si le monde arrive ou non Ă  passer d’une Ă©conomie prĂ©datrice folle Ă  ce qu’on appelle le dĂ©veloppement durable», est encore plus vitale, globale et grave. Mais dans la gĂ©opolitique d’aujourd’hui, ma rĂ©ponse est oui oui, les problĂšmes les plus aigus, se posent dans ce que Brzezinski appelait il y a quelques annĂ©es l’arc de crise», qui va du Proche-Orient jusqu’à l’Asie centrale en passant par l’Afghanistan-Pakistan. C’est lĂ  oĂč ça se joue et d’abord au Proche Orient. Je trouve Obama courageux d’entrer d’emblĂ©e dans le vif du sujet et d’avoir rompu avec ce que les droites israĂ©lienne et amĂ©ricaine ont prĂ©tendu depuis quinze Ă  vingt ans la question palestinienne est secondaire. Il pense qu’il ne pourra pas rĂ©tablir le leadership amĂ©ricain dans le monde, mĂȘme relatif, sans dĂ©passer l’antagonisme avec 1 milliard 300 millions de musulmans et donc sans se focaliser sur ce point. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas toute une sĂ©rie d’autres problĂšmes accrochĂ©s en chapelet. Le 4 juin dernier, Barack Obama a prononcĂ© au Caire un discours de rĂ©conciliation Ă  l’intention des musulmans. Comment ont Ă©tĂ© reçues ses invitations au rassemblement? Quel est le poids vĂ©ritable de ses mots et quels changements concrets peut-on en attendre? A. Selon l’expression consacrĂ©e, cela allait sans dire, mais cela va mieux en le disant». Obama a trouvĂ© des mots – et pas seulement de la rhĂ©torique -, et citĂ© des versets du Coran pour s’adresser au cƓur de ces musulmans qui, dans le monde, ont le sentiment qu’ils sont les laissĂ©s-pour-compte de la mondialisation. Des musulmans persuadĂ©s qu’on a envers eux un systĂšme de double valeur, oĂč ce qui est rĂ©servĂ© aux peuples non seulement du Nord mais mĂȘme de l’Asie, comme la Chine, leur est interdit; qu’ils sont les mal-aimĂ©s de cette Ă©poque. Il y a bien entendu de l’exagĂ©ration, parfois de la mauvaise foi, mais il y a un noyau indĂ©niable. Le monde musulman a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© ces derniĂšres annĂ©es par l’ensemble des puissances occidentales, Russie comprise, plutĂŽt comme le problĂšme que la solution. Et tout d’un coup, Obama – Yes, we can» – a eu les mots qu’il fallait pour montrer qu’au fond la politique amĂ©ricaine n’était ni cynique, ni machiavĂ©lienne, ni manipulatrice. Et il l’a fait Ă  un moment oĂč se jouait en Iran l’élection prĂ©sidentielle la plus importante de toute la rĂ©gion. Comme je l’ai dĂ©jĂ  Ă©crit, aprĂšs la Turquie, l’Iran entre dans la voie de la dĂ©mocratie. Et Obama, avec le discours du Caire et en me mettant pas de prĂ©alable Ă  la nĂ©gociation avec la RĂ©publique islamique, a tout fait tout pour que les modĂ©rĂ©s et les progressistes rassemblĂ©s derriĂšre Moussavi l’emportent sur Ahmadinejad. En tout cas, on ne pourra pas lui reprocher d’avoir sabotĂ© cette insurrection de la libertĂ© dans le peuple iranien, qui est un facteur absolument essentiel. Je voudrais aussi rĂ©pondre Ă  Hubert VĂ©drine sur la question de savoir si la question palestinienne est secondaire ou non. Bien entendu, elle n’est pas secondaire. Notamment pour les IsraĂ©liens et les Palestiniens. Mais mon sentiment est que souvent on traite cette question comme si rien ne s’était jamais passĂ©; comme si l’AutoritĂ© palestinienne n’avait pas Ă©tĂ© créée par les accords d’Oslo c’est quand mĂȘme un quasi-Etat; comme si Yasser Arafat n’était pas revenu sur sa terre; comme si des nĂ©gociations approfondies n’avaient pas eu lieu Ă  plusieurs reprises; comme si des moments de normalitĂ© n’avaient pas Ă©tĂ© créés. Or c’est ce capital sur lequel on peut faire fond. Mais je ne peux pas m’empĂȘcher de penser que la complication de la situation – mĂȘme si on voit bien les maladresses ou la mauvaise foi israĂ©lienne qui sourd de temps Ă  autre -, vient pour l’essentiel non pas du peuple palestinien mais de son environnement gĂ©opolitique. Dans une vague islamiste trĂšs violente qui a dĂ©bouchĂ© sur le 11 Septembre, Yasser Arafat n’a pas cru devoir franchir le pas de la nĂ©gociation au moment oĂč celle-ci Ă©tait trĂšs largement ouverte en l’an 2000. Ensuite, bien sĂ»r les choses ont eu leur propre logique. Je suis donc d’accord avec Hubert VĂ©drine il faut rĂ©soudre ce problĂšme, pas Ă  la fin du mandat d’Obama mais au dĂ©but. Mais il faut savoir que la rĂ©solution de la question israĂ©lo-palestinienne est intimement liĂ©e, par toutes sortes de fibrillations, au reste de la rĂ©gion. Et que si par exemple l’Iran d’Ahmadinejad, ou hier l’Irak de Saddam Hussein ont pesĂ© de tout leur poids pour empĂȘcher une solution, cela fait partie Ă©videmment de l’équation. On ne peut pas uniquement la rĂ©duire Ă  un face-Ă -face israĂ©lo-palestinien. H. Je reviendrai sur la question israĂ©lo-palestinienne et les Ă©vĂ©nements des derniĂšres annĂ©es, y compris l’annĂ©e 2000, dont j’ai une lecture tout Ă  fait diffĂ©rente de celle d’Alexandre Adler. En revanche, je le rejoins sur le discours du Caire. C’est un discours trĂšs important. Nous savions qu’Obama, depuis son Ă©lection, avait l’intention il l’avait mĂȘme dit avant d’adresser un discours au monde musulman. Certains membres de son Ă©quipe le lui avaient dĂ©conseillĂ© en lui disant il ne faut pas enfermer le monde musulman dans une dĂ©finition culturaliste. Il a balayĂ© Ă  juste titre cet argument, car il est clair que si l’avertissement de Huntington sur le risque de clash entre les civilisations a un sens, c’est bien entre l’islam et l’Occident. Mais cette mise en garde a fait tellement peur Ă  tellement de gens qu’ils l’ont niĂ©e, par une sorte de politique de l’autruche. Il faut comprendre le discours d’Obama comme un Ă©lĂ©ment fort dans un processus d’ensemble. C’est un accompagnement symphonique de la politique qu’il va mener au Proche-Orient, en Irak, en Iran, en Afghanistan-Pakistan, et dans l’ensemble du monde arabo-musulman. Autre point dĂ©terminant il en attend un impact sur les opinions publiques de la rĂ©gion. Car c’est un leader qui attache plus d’importance, on le voit, aux opinions qu’au copinage avec les dirigeants. Il sait parler aux opinions. Il l’a fait magnifiquement avec l’opinion amĂ©ricaine, l’opinion turque, l’opinion arabo-musulmane, sans doute en pensant dĂ©jĂ  Ă  l’opinion iranienne; comme certainement un jour il saura parler Ă  l’opinion israĂ©lienne, dont une majoritĂ© accepte l’idĂ©e d’un Etat palestinien depuis maintenant des annĂ©es. La fermetĂ© de la Maison Blanche Ă  l’égard du gouvernement israĂ©lien sur les implantations illĂ©gales comme sur la crĂ©ation d’un Etat palestinien, est un fait inĂ©dit dans l’histoire des relations israĂ©lo-amĂ©ricaines. IsraĂ«l fera-t-il les frais de la nouvelle donne amĂ©ricaine au Moyen-Orient? H. Il y a depuis 1967 une opposition en IsraĂ«l entre ceux qui considĂšrent qu’il ne faudra jamais lĂącher les territoires occupĂ©s pour des raisons Ă©conomiques, religieuses ou de sĂ©curitĂ©, et ceux qui considĂšrent que le peuple juif ne s’est pas dotĂ© d’un Etat pour pratiquer cette cruelle politique d’occupation, qui ne correspond plus Ă  une stratĂ©gie de sĂ©curitĂ©, et qu’il faudra bien un jour accepter la solution qui passe par la crĂ©ation d’un Etat palestinien. Conclusion Ă  laquelle Rabin Ă©tait arrivĂ©, et vers laquelle se dirigeait Sharon. Ça fait maintenant longtemps que l’opinion israĂ©lienne est prĂȘte Ă  accepter cette solution, mais sauf quand surgit un Itzhak Rabin, le systĂšme politico-Ă©lectoral l’entrave du fait des effets dĂ©vastateurs de son systĂšme Ă©lectoral Ă  la proportionnelle intĂ©grale, qui permet Ă  n’importe quel groupe extrĂ©miste de tout bloquer ou de pratiquer du chantage o tout propos. Olmert a dit, Ă  la fin de son mandat, avec une franchise que je salue ça fait quarante ans que nous employons sans cesse tous les prĂ©textes pour ne jamais faire aucune concession aux Palestiniens. Ce n’est plus possible, ça ne peut plus durer. Il faut accepter des concessions sur le plan territorial, y compris JĂ©rusalem. Et mĂȘme Barak, ministre de la DĂ©fense actuel a dit, lui aussi dans un moment de franchise on a eu bien tort de jouer le Hamas contre l’OLP. Dont acte. Les IsraĂ©liens se sont enferrĂ©s eux-mĂȘmes dans un piĂšge. Ils savent trĂšs bien que la situation est dĂ©testable pour eux-mĂȘmes sur le plan sĂ©curitaire, et abominable pour les Palestiniens. Ils ne peuvent pas s’en sortir seuls. La seule puissance au monde qui puisse les y aider, avec un mĂ©lange de fermetĂ©, d’amitiĂ© et d’engagement de sĂ©curitĂ©, c’est l’AmĂ©rique. Je regrette de dire cela en tant qu’ancien ministre français des Affaires Ă©trangĂšres, mais c’est l’évidence mĂȘme. J’ai trouvĂ© tragique que la droite israĂ©lienne – et au-delĂ  – rĂ©ussisse Ă  terroriser si longtemps les EuropĂ©ens qui du coup ont renoncĂ© Ă  toute pression utile et toute initiative. Et j’ai trouvĂ© nĂ©faste l’alignement de la politique Ă©trangĂšre amĂ©ricaine sous Bush sur cette droite israĂ©lienne qui n’avait d’autre perspective que de perpĂ©tuer le statu quo. Je trouve par contraste extraordinairement courageuse et intelligente la politique d’Obama, qui se saisit d’emblĂ©e du sujet sans attendre son deuxiĂšme mandat pour essayer de rĂ©soudre ce problĂšme si dangereux. Il me semble aussi qu’il y a un dĂ©but d’évolution, au sein de la communautĂ© juive amĂ©ricaine, peut ĂȘtre Ă©galement de la communautĂ© juive française et dans l’intelligentsia juive mondiale par rapport au conflit. Qu’il y a un consensus pour dire oui, maintenant il faut bouger. A condition bien sĂ»r que la sĂ©curitĂ© d’IsraĂ«l soit clairement garantie et surgarantie». Si un prĂ©sident amĂ©ricain arrive Ă  parrainer une solution juste entre IsraĂ©liens et Palestiniens, il jouira d’un prestige immense, son pays avec lui, dans le monde arabo-musulman et l’Europe en profitera. Cela sera le coup le plus terrible portĂ© aux extrĂ©mistes. Mais il va se heurter Ă  des obstacles Ă©normes. Parce qu’au fond, beaucoup de forces Ă©taient trĂšs Ă  l’aise avec la politique de Bush il n’y avait pas que la droite israĂ©lienne, il y avait aussi les rĂ©gimes iraniens, le Hamas, le Hezbollah, les extrĂ©mistes de toutes sortes qui prospĂ©raient face Ă  cet Occident manichĂ©en, commode repoussoir pour leur propagande. Ils sont maintenant dĂ©stabilisĂ©s par la politique d’Obama d’oĂč des rĂ©actions Ă  prĂ©voir. On voit dĂ©jĂ  les problĂšmes en IsraĂ«l, en Iran, mais Obama sera patient et tenace. Pourtant les derniĂšres Ă©lections israĂ©liennes donnent plutĂŽt le sentiment inverse. A. Les derniĂšres Ă©lections israĂ©liennes sont complexes. Parce que le parti parvenu en tĂȘte, Kadima, a pris nettement position, avec Olmert et Tzipi Livni, pour la crĂ©ation de cet Etat palestinien. Et devant l’effondrement de la vieille idĂ©ologie socialiste, c’est en fait Kadima, un parti de centre-gauche aujourd’hui dont Shimon Peres est adhĂ©rent encore en thĂ©orie, qui regroupe, avec le Parti travailliste, avec l’extrĂȘme gauche israĂ©lienne et les Arabes d’IsraĂ«l qui sont 20 % de la population, une majoritĂ© potentielle. Or cette majoritĂ© n’est pas une majoritĂ© politique. Mais il n’en reste pas moins qu’un homme aujourd’hui a la responsabilitĂ© de changer, de bouger c’est Bibi Netanyahu. Netanyahu, en effet, est un homme d’une trĂšs grande complexitĂ©, parce qu’il symbolise la vĂ©ritable Ă©volution de l’opinion israĂ©lienne. La gauche israĂ©lienne, depuis longtemps, avec Itzhak Rabin, Ă©tait d’accord pour crĂ©er cet Etat palestinien. Je dirais mĂȘme qu’elle l’était bien avant, puisque Ben Gourion pensait qu’il fallait rendre ces territoires avant sa mort, donc dĂšs le dĂ©but des annĂ©es 1970. Mais ce qui est intĂ©ressant, c’est de voir comment Tzipi Livni et Ehud Olmert, qui viennent du cƓur du nationalisme intransigeant, du Erout de Begin, ont fait ce chemin. Sharon, qui venait de la gauche mais qui ensuite a incarnĂ© l’esprit militaire israĂ©lien, avait fait ce mĂȘme chemin. Et Netanyahu ne l’a pas encore fait, mais il est trĂšs embarrassĂ©. D’abord parce qu’il est de culture amĂ©ricaine. Il a Ă©tĂ© diplĂŽmĂ© de Harvard, il a vĂ©cu adolescent aux Etats-Unis, il connaĂźt l’AmĂ©rique. Et pour lui, Ă©motionnellement, le fait de faire un bras de fer avec les AmĂ©ricains ne lui convient absolument pas. Yitzhak Shamir Ă©tait un vieil agent soviĂ©tique qui Ă©tait revenu Ă  ses amours pour Moscou Ă  la fin de sa vie. Lui, les AmĂ©ricains, ça ne l’impressionnait pas. Netanyahu, oui. Mais il doit rompre avec le credo de son pĂšre, qui est un homme influent, important, un intellectuel fanatique; de sa mĂšre, qui lui a dĂ©jĂ  dit, lorsqu’il a abandonnĂ© Hebron, qu’il reniait son frĂšre aĂźnĂ©, qui Ă©tait dans les commandos israĂ©liens, et qui est mort pour IsraĂ«l. C’est beaucoup plus encore qu’une rupture politique, c’est une rupture Ă©motionnelle, et n’est pas le gĂ©nĂ©ral de Gaulle qui veut. Beaucoup de gens l’estiment en IsraĂ«l pour son passage au ministĂšre des Finances. Il apparaĂźt comme un homme rationnel, ouvert. Je lui ai parlĂ© une fois dans ma vie. Il Ă©tait passionnĂ© par Singapour. Il avait Ă©tudiĂ© avec soin le cas de ce mini-Etat, qui avait tirĂ© son Ă©pingle du jeu entre ses deux grands voisins l’IndonĂ©sie et la Malaisie. C’est pour cela qu’il parle toujours d’une solution Ă©conomique» pour la question palestinienne, mais elle n’est pas rĂ©aliste sans l’Etat palestinien. Il doit maintenant franchir le Rubicon. S’il ne le franchit pas, il est condamnĂ© par l’histoire. Parce que l’Etat d’IsraĂ«l Ă©tant ce qu’il est ne va pas maintenant jouer l’intransigeance vis-Ă -vis des Etats-Unis. C’est impensable. Ce qui se passe aussi – Hubert VĂ©drine l’a trĂšs finement remarquĂ© -, c’est une OPA amicale de la diaspora. Les finances israĂ©liennes sont dĂ©jĂ  entre les mains de Stanley Fischer, l’ancien directeur adjoint du Fonds monĂ©taire international, qui apprend Ă  ses heures l’hĂ©breu, mais pas tant que ça. Et puis, j’ai l’impression qu’il y a un second Premier ministre d’IsraĂ«l aujourd’hui qui, aux cĂŽtĂ©s d’Obama, commence Ă  dire les choses c’est Rahm Emanuel. Le fait que le SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la Maison-Blanche ait la double nationalitĂ© israĂ©lienne et amĂ©ricaine, qu’il ait servi dans l’armĂ©e israĂ©lienne le rend insoupçonnable aux yeux de l’opinion israĂ©lienne lorsqu’il exige, en tapant du poing sur la table, parfois plus Ă©nergiquement qu’Obama lui-mĂȘme, la crĂ©ation de l’Etat palestinien. Je ne suis pas si pessimiste que ça, parce que de beaucoup d’endroits du Proche-Orient nous parviennent des signaux positifs du Liban, dont l’élection a permis d’endiguer l’influence du Hezbollah; de l’Irak, oĂč la pacification manifestement avance; et de l’Iran, oĂč on a vu l’ampleur du mouvement rĂ©formateur derriĂšre Moussavi et le sursaut de la sociĂ©tĂ© civile. Obama est trĂšs ferme sur l’exigence d’arrĂȘt complet de la colonisation des territoires occupĂ©s. Peut-il ĂȘtre entendu?A. La croissance naturelle d’implantations n’a aucun sens. Comment ignorer que la crĂ©ation d’un Etat palestinien implique l’évacuation d’un bon tiers des habitants des colonies. H. J’ai tendance Ă  penser que le jour oĂč les IsraĂ©liens se seront collectivement convaincus que la solution est lĂ , avec des garanties de sĂ©curitĂ© amĂ©ricaines renforcĂ©es, ils iront au bout du processus; y compris avec les colons mĂȘme si une minoritĂ© d’entre eux est prĂȘte Ă  tout pour ne pas Ă©vacuer, mĂȘme si une petite partie d’entre eux créée une sorte d’OAS
 A. Nous avons connu ça Ă  la fin de la guerre d’AlgĂ©rie. H. Mais finalement, s’il fallait faire un pari, je pense que les IsraĂ©liens arriveront bon grĂ© mal grĂ© Ă  la fin des fins, Ă  maĂźtriser tout ça. Propos recueillis par Gilles Anquetil et François Armanet
Jesouhaite de bonnes relations entre le Maroc et IsraĂ«l [Interview avec Alexandre Adler]. Hier lundi 23 juillet, s’est tenue Ă  Casablanca la 2Ăšme Ă©dition de la ConfĂ©rence Ă©conomique organisĂ©e par le groupe Attijariwafa Bank sur le thĂšme «Évolutions de l’économie
Dans trente ans, peut-ĂȘtre achĂštera-t-on, aprĂšs avoir signĂ© un contrat de propriĂ©tĂ© limitĂ©e Ă  quelques annĂ©es, un appartement aux piĂšces agencĂ©es selon ses souhaits, avec fenĂȘtres et thermostats autonomes, dans une tour faite d’un matĂ©riau qui s’autorĂ©gulera, avec laverie, salle de sport et jardin partagĂ©s ? Tel est le genre de bĂątiment que l’on peut imaginer, si l’on rĂ©unit architectes, ingĂ©nieurs, entrepreneurs et spĂ©cialistes de la domotique, comme l’a fait la septiĂšme Ă©dition des rencontres 2049, organisĂ©e par l’Obs » le mercredi 25 septembre au Pavillon de l’Arsenal Ă  tous les Ă©vĂ©nements Ă  Paris et en rĂ©gionRevivez l’intĂ©gralitĂ© de la confĂ©rence en vidĂ©o La suite aprĂšs la publicitĂ© Le visionnage de ce contenu mutimĂ©dia est susceptible d'entraĂźner un dĂ©pĂŽt de cookies de la part de l'opĂ©rateur de la plate-forme vers laquelle vous serez dirigĂ©e. Compte-tenu du refus du dĂ©pĂŽt de cookies que vous avez exprimĂ©, afin de respecter votre choix, nous avons bloquĂ© la lecture de ce contenu. Si vous souhaitez continuer et lire ce contenu, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. direct 2049 habitatMatĂ©riaux du futur et constructions automatisĂ©esMĂȘme si les trois quarts des bĂątiments de 2049 sont dĂ©jĂ  sortis de terre, la ville, oĂč vivront 75 % des humains en 2049 », rappelle l’ingĂ©nieur des matĂ©riaux et chimiste TimothĂ©e Boitouzet, Ă©voluera d’abord grĂące Ă  des techniques et des matĂ©riaux nouveaux. Sa sociĂ©tĂ© Woodoo, fondĂ©e il y a trois ans, a mis au point un bois d’un nouveau genre, en extrayant la lignine, sorte de colle naturelle entre les fibres, pour la remplacer par un polymĂšre extrapuissant. RĂ©sultat le bois devient aussi rĂ©sistant que le bĂ©ton, mais avec une empreinte carbone trois fois moindre. Imaginer comme matĂ©riau du futur ce bois armĂ© » qui n’a pour l’instant Ă©tĂ© utilisĂ© que dans les intĂ©rieurs de voiture, c’est choisir une ressource renouvelable pour construire les gratte-ciel de demain, et prĂ©server les stocks de sable et d’eau dĂ©vorĂ©s par le quoi ressemblera la maison de demain ? Revivez notre confĂ©rence en vidĂ©oUn circuit court que Gilles Retsin, designer et architecte belge basĂ© Ă  Londres, utilise lui aussi pour ses projets de constructions futuristes, entiĂšrement modulaires et automatisĂ©es. Il explique Depuis 1947, les techniques de construction n’ont pas Ă©voluĂ© ! Le bĂątiment est l’un des secteurs Ă©conomiques les moins numĂ©risĂ©s. Or, nous sommes capables de programmer des robots qui construiront nos maisons, en empilant des Ă©lĂ©ments comme on assemble des briques de Lego. Cette automatisation rendra la construction beaucoup moins onĂ©reuse, avoir une belle maison ne sera plus un privilĂšge. »L’automatisation sera Ă©galement au cƓur du fonctionnement quotidien de l’habitat. FrĂ©dĂ©ric Potter, fondateur de Netatmo groupe Legrand, phosphore sur les objets connectĂ©s et rappelle que l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique, le confort et la sĂ©curitĂ© passeront par l’internet des objets. Le chauffage collectif, avec des radiateurs bloquĂ©s et une seule solution – ouvrir la fenĂȘtre, lorsqu’on a trop chaud –, ce n’est plus acceptable quand on sait que 40 % des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre proviennent du chauffage des bĂątiments. »Penser de nouvelles façons d’habiterMais les mutations de l’habitat ne concernent pas seulement l’infrastructure, elles s’appuient sur les changements dĂ©mographiques la longĂ©vitĂ©, la cohabitation de quatre Ă  cinq gĂ©nĂ©rations, la durĂ©e des Ă©tudes
 et l’évolution des modes de vie. Les sĂ©parations, la recomposition des familles imposent de penser de nouvelles façons d’habiter. Guillaume Pasquier, directeur du dĂ©veloppement des fonciĂšres de La Française, promeut ainsi la flexi-propriĂ©tĂ© ». Il propose de devenir propriĂ©taire des biens neufs 30 Ă  40 % moins cher, mais pour une durĂ©e limitĂ©e, cinquante ans au plus ». DurĂ©e pendant laquelle le propriĂ©taire sera libre d’habiter, de louer ou de vendre son bien pour le temps restant du contrat. En Ă©tant certain que ce bien lui sera Ă©ventuellement rachetĂ©, s’il le souhaite avant la date butoir par les fonciĂšres, Ă  un prix préétabli. La suite aprĂšs la publicitĂ©A quoi ressemblera l’habitat en 2049 ?Benjamin Aubry, architecte urbaniste et fondateur de la start-up Iudo, lui, s’emploie Ă  faire cohabiter les gĂ©nĂ©rations par l’autopromotion immobiliĂšre ». Une façon de valoriser des piĂšces inoccupĂ©es lorsque les enfants sont partis plus de la moitiĂ© des propriĂ©taires de pavillons ont plus de 55 ans, en les transformant en chambres d’étudiants, en bureau ou en petits appartements ».Son objectif est de densifier les zones pavillonnaires, en conservant le style ancien des bĂątiments, pour Ă©viter de grignoter les terrains autour des villes. Ces zones entrent alors dans une Ăšre collaborative et deviennent des nouveaux faubourgs » oĂč activitĂ©s et gĂ©nĂ©rations se cĂŽtoient. Rien de bien nouveau pour la sociologue de l’habitat Monique Eleb, qui rappelle que dans les annĂ©es 1930, certains immeubles empilaient commerces, bureaux, petits et grands appartements et mĂȘme maisons sur des toits-terrasses ! Le visionnage de cette vidĂ©o est susceptible d'entraĂźner un dĂ©pĂŽt de cookies de la part de l'opĂ©rateur de la plate-forme vidĂ©o vers laquelle vous serez dirigĂ©e. Compte-tenu du refus du dĂ©pĂŽt de cookies que vous avez exprimĂ©, afin de respecter votre choix, nous avons bloquĂ© la lecture de cette vidĂ©o. Si vous souhaitez continuer et lire la vidĂ©o, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. La diffĂ©rence, c’est qu’aujourd’hui, on exige davantage de fonctions se reposer, travailler, rencontrer
 non plus dans le mĂȘme immeuble, mais dans le mĂȘme logement. Celui-ci peut ĂȘtre pensĂ© comme une petite sociĂ©tĂ© », explique l’architecte Sophie Delhay. La notion d’intimitĂ© a changĂ© car nous sommes tous connectĂ©s quand on est en ville, on se sent chez soi et dans notre chambre, on peut se connecter au monde. »Cette ouverture du foyer, qui trouve son paroxysme avec le tĂ©lĂ©travail, modifie la destination des suite aprĂšs la publicitĂ©Transgresser les codes en vigueurErwan Soquet, directeur de la marque Leroy Merlin, explique comment ses clients rĂ©inventent leurs lieux de vie La moitiĂ© d’entre eux font autre chose que garer leur voiture dans le garage ou cuisiner devant leurs fourneaux la cuisine est devenue une piĂšce oĂč l’on reçoit
 mais aussi oĂč l’on travaille. »Pour anticiper l’habitat de demain, son groupe a créé le rĂ©seau Source, au sein duquel une quarantaine de chercheurs de diverses disciplines partagent leurs Delaux, fondateur de Habx pour Habitat ExpĂ©rience, qui conçoit des maisons sur mesure, explique que parce que nous sommes Ă  une Ă©poque oĂč l’on se trouve sans cesse en contact avec l’extĂ©rieur, nous investissons encore plus notre logement, pour qu’il nous ressemble. C’est pourquoi les architectes cherchent Ă  donner de plus en plus de libertĂ© Ă  leurs cette tour d’Aubervilliers, on vit comme dans une maisonSophie Delhay dessine ainsi des appartements formĂ©s de piĂšces de 14 mÂČ, qui peuvent communiquer, ou non, et dont chaque habitant dĂ©cide de la destination. Un pĂšre qui reçoit sa fille tous les quinze jours a ainsi excentrĂ© son sĂ©jour pour en faire un lieu spĂ©cial oĂč, quand ils se retrouvent, ils sortent ensemble, tout en restant chez eux ». Sachant que pour tous, la pire ennemie de l’habitat de demain, c’est la voiture. Commencer un immeuble par les sous-sols, c’est faire partir toute la composition des dimensions d’une place de parking », dĂ©plore Sophie Delhay. La sociologue Monique Eleb rappelle d’ailleurs que la sociĂ©tĂ© est souvent en retard sur les propositions des urbanistes et architectes, qui doivent transgresser » les codes en vigueur pour avancer. L’habitat modulable pourrait aider Ă  prendre soin des populations fragiles » Transgression », c’est le mot d’ordre repris par l’architecte et scĂ©nographe Patrick Bouchain, qui a ƓuvrĂ© toute sa vie Ă  la dĂ©mocratisation de l’urbanisme. Il rappelle que la premiĂšre fonction d’une ville heureuse, c’est de loger et nourrir tout le monde, en maintenant la population ouvriĂšre en son sein ». Pour lui, l’habitat en 2049 doit repenser le logement social, le rendre plus accessible Ă  la propriĂ©tĂ©. Et, avant de chercher Ă  construire encore, rĂ©parer, entretenir, accompagner ».
En2009, l’historien et journaliste Alexandre Adler participait Ă  un ouvrage prĂ©monitoire. Dans Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde en 2025 ? (Robert Laffont), l’hypothĂšse d’une pandĂ©mie est dĂ©crite avec des dĂ©tails annonciateurs de la crise sanitaire actuelle.
ï»żSociĂ©tĂ© Dans un ouvrage intitulĂ© “Le nouveau rapport de la CIA, comment sera le monde de demain“, le journaliste, gĂ©opoliticien et istorien Alexandre Adler dĂ©crivait en 2005 sur la base d’un rapport de l’agence de renseignement amĂ©ricaine, comment le monde pourrait ĂȘtre bouleversĂ© par la survenue d’une pandĂ©mie nĂ©e en Chine et appelĂ©e Coronavirus du SRAS. Interview exclusive de son auteur pour Valeurs actuelles. PubliĂ© le 21 mars 2020 Ă  10h02 Alexandre Adler. Photo © JEAN-PIERRE MULLER / AFP Valeurs actuelles. Que pensez-vous de l’efficacitĂ© des mesures de confinement prises par Emmanuel Macron ? Beaucoup de Français se sont sentis perdus dans ces annonces. Le en mĂȘme temps » macronien peut-il fonctionner en cas de crise comme celle-ci ? Alexandre Adler. Il gĂšre la situation avec beaucoup de sang-froid et de pĂ©dagogie en prenant en considĂ©ration l’affect d’une population dĂ©boussolĂ©e. Ce n’était de toute façon pas la peine de cĂ©der Ă  la panique en agitant le spectre d’une danse macabre ! Les Français sont par essence rebelles. Ils ne supportent pas qu’on leur impose quoi que ce soit. Et des mesures drastiques immĂ©diates auraient provoquĂ© des rĂ©actions de dĂ©sobĂ©issance civile, de fraude. Le gouvernement a imposĂ© un confinement progressif, graduel au grĂ© de l’évolution de la situation sanitaire. En Italie, face Ă  l’incurie d’un systĂšme gangrenĂ© par des mafias, le gouvernement n’avait pas d’autre choix que d’imposer d’emblĂ©e un rĂ©gime strict. DĂ©sormais, les Français ont compris la gravitĂ© d’une situation Ă  laquelle ils se croyaient immunisĂ©s. Pour preuve, les grandes gueules » comme les humoristes et les politiques se sont d’ailleurs toutes tues. Au fur et Ă  mesure de l’évolution de l’épidĂ©mie, le gouvernement imposera un confinement plus strict allant jusqu’à l’isolement complet, la seule maniĂšre d’obtenir des rĂ©sultats. Les mesures drastiques prises en Chine comme en CorĂ©e du Sud ou Ă  Taiwan pour Ă©radiquer la pandĂ©mie ne seraient donc pas applicables en France ? Jamais en France nous ne serions capables d’une telle discipline ! Mais en mĂȘme temps en Chine, leur modĂšle alimentaire c’est l’anarchie totale ! Ils partent vraiment de loin dans l’application des rĂšgles Ă©lĂ©mentaires de sĂ©curitĂ© sanitaire. Les chinois sont sales, ne se lavent pas les mains, mangent partout et de tout, comme le pangolin Ă  l’origine de la pandĂ©mie, ne suivent aucune rĂšgle d’abattage
 Il n’y a pas de jugement, cela vient du fait que ce peuple a vĂ©cu des famines et des pĂ©riodes de grandes pĂ©nuries. Avec ces successions de pandĂ©mie, le pays se convertit peu Ă  peu Ă  la propretĂ©. Les Ouighours, du fait de leur religion musulmane, suivent bien des rĂšgles d’abattage, excluent de leur alimentation certains animaux, font leur ablution. Cela viendra pour le reste de la population. Cela dit, je ne suis absolument pas surpris que l’origine de la pandĂ©mie se trouve Ă  Wuhan c’est le point crucial de l’économie chinoise, lĂ  oĂč se croisent les lignes ferroviaires reliant les points cardinaux du pays et au-delĂ , la route de la soie, le TranssibĂ©rien, l’Asie centrale, le Tibet
 Dans un ouvrage paru il y a quinze ans et intitulĂ© Le nouveau rapport de la CIA, comment sera le monde de demain », vous dĂ©criviez, prophĂ©tique, les risques d’une dĂ©stabilisation du monde par la survenue d’une pandĂ©mie d’ici Ă  2026. Nous y sommes donc
 Dans ce livre je n’ai fait que commenter un des rapports de la CIA comme il y en a eu beaucoup. L’agence amĂ©ricaine Ă©tudie rĂ©guliĂšrement les possibles scĂ©narios de grande crise, comme par exemple le regain du soviĂ©tisme, le retour de la dictature en Russie, etc. Au lendemain du SRAS, ils avaient fait alors des prospectives en cas de pandĂ©mie planĂ©taire et ses consĂ©quences sur les grands Ă©quilibres du monde. Dans le classement des possibles maladies, ils avaient prophĂ©tiquement envisagĂ© le Coronavirus
 Ce qu’il en ressortait, c’est la trop forte dĂ©pendance des USA Ă  l’égard de la Chine sous prĂ©texte de baisser les coĂ»ts de production, les amĂ©ricains ont abandonnĂ© leur savoir-faire Ă  la Chine, et ce dans un grand nombre de domaine comme la fabrication des mĂ©dicaments. Certes, les AmĂ©ricains gardaient les plans des usines, mais les chinois s’occupaient de la production. Au vu de la division du travail, ils devenaient tellement dĂ©pendants de la Chine qu’ils prenaient le risque in fine d’ĂȘtre les victimes d’un chantage. Et en cas d’épidĂ©mie, leur guĂ©rison finirait par dĂ©pendre du bon vouloir chinois. J’avais donc Ă  l’époque alertĂ© sur l’urgence de rapatrier la production aux USA, de rĂ©industrialiser de maniĂšre gĂ©nĂ©rale les pays occidentaux, et ce quitte Ă  accepter l’implantation de grandes usines sur notre territoire et surtout Ă  payer plus cher la main d’Ɠuvre ! Evidemment, rien n’a Ă©tĂ© fait dans ce sens. Nous allons donc tout droit vers une remise en cause du modĂšle libĂ©ral, de la mondialisation de maniĂšre gĂ©nĂ©rale ? Non bien sĂ»r. Mais pour autant, nous nous dirigeons vers l’adoption de mesures de plus en plus de protectionnistes. Alors disons que chaque mesure protectionniste qui sera prise, devra ĂȘtre compensĂ©e par une libre-Ă©changiste. Je crois que le monde va retrouver un rapport de force plus Ă©quilibrĂ©, et que les Ă©changes se feront entre les grandes rĂ©gions du monde, qui toutes tendront Ă  avoir une certaine autonomie. Nous aurons ainsi quatre grandes rĂ©gions ou blocs les Etats-Unis, l’Europe, la Russie et la Chine. L’Europe n’a pour le moment qu’un toit sa monnaie unique. Mais elle se dirigera inexorablement vers plus de coopĂ©ration et trĂšs certainement la fin des critĂšres de Maastricht. Aux USA, la grande victoire de Trump est d’avoir insufflĂ© Ă  l’AmĂ©rique l’idĂ©e qu’elle peut se suffire dans une moindre mesure Ă  elle-mĂȘme. Pour autant, quel que soit son degrĂ© de climato-scepticisme, il va lui falloir rĂ©amĂ©nager le territoire amĂ©ricain afin de cesser d’abandonner des rĂ©gions entiĂšres, crĂ©er des villes Ă  taille plus humaine, quitter la dĂ©pendance Ă  l’avion et dĂ©velopper le ferroviaire. La Russie de son cĂŽtĂ© devra composer avec ses voisins ukrainiens et polonais. Quant Ă  la Chine, elle sortira de cette crise en Ă©tant plus confucĂ©enne et moins taoĂŻste ! Autrement dit, elle sera plus respectueuse des autres, des rĂšgles. Plus modeste aussi, la pandĂ©mie leur aura au moins fait comprendre que leur puissance est relative. A quoi pourrait ressembler l’ aprĂšs » que Macron a Ă©voquĂ© dans son allocution ? L’aprĂšs ne sera pas la nĂ©gation du monde d’avant, mais sa double nĂ©gation. Autrement dit, la nĂ©gation de la nĂ©gation. DĂ©jĂ , l’histoire nous a montrĂ© les limites du tout libĂ©ral, de l’individualisme forcenĂ©, du capitalisme exacerbĂ©. Comme elle nous a montrĂ© celles de l’étatisme, des vagues de nationalisations. En France, nous sauterons par consĂ©quent ces deux Ă©tapes, pour trouver un nouvel Ă©quilibre qui devrait se solder par le rĂ©veil des rĂ©gions, le retour de leur autonomie face au pouvoir parisien ! L’heure du girondisme triomphant est venue ! AlexandreAdler Le nouveau rapport de la CIA: Comment sera la monde de demain ? Pocket Book – March 1 2010 French edition by Alexandre Adler (Author), Claude Farny (Author), Johan-FrĂ©dĂ©rik Hel Guedj (Author), 479 ratings Kindle Edition $21.99 Read with Our Free App Paperback $15.50 2 Used from $15.50 5 New from $28.19 Pocket Book Pour ses 100 ans d’existence, l’Union Des Annonceurs UDA dresse le bilan concernant les tendances de la communication de demain. De ce fait, elle a fait appel Ă  Kantar Media pour mener une Ă©tude auprĂšs de 280 annonceurs français. Les nouvelles tendances de la communication se rĂ©sument en trois grands concepts communication digitale, personnalisĂ©e et humaine. Les chiffres clĂ©s de la communication de demain Placer le client au centre de la stratĂ©gie de communication D’aprĂšs l’enquĂȘte susmentionnĂ©e, 48 % des personnes interrogĂ©es affirment que l’écoute et la comprĂ©hension des consommateurs constituent le principal apport de l’humain en termes de marketing. S’adapter aux nouveaux usages des clients L’entreprise de demain devrait rediriger son investissement vers ses propres outils de communication. Pourtant, 27 % des annonceurs seulement envisagent de mettre en place des campagnes 100 % mobile dans les 12 prochains mois. Miser sur les rĂ©seaux sociaux 66 % des personnes interrogĂ©es affirment que les rĂ©seaux sociaux constituent le canal privilĂ©giĂ© des entreprises pour communiquer. Seulement 12 % d’entre eux sont prĂȘts Ă  consacrer plus de 20 % de leur budget aux nouveaux moyens de communication tels que les rĂ©seaux sociaux, les applications mobiles, les messageries. Tandis que 37 % choisissent les plateformes vidĂ©o et 34 % optent pour les applications mobiles. De la technologie Ă  la relation humaine Quand les entreprises hĂ©sitent entre performances technologiques et relation humaine, 35 % d’entre elles optent pour la relation humaine, contre 16 % pour la technologie. De mĂȘme, 52 % des dĂ©cideurs prĂ©fĂšrent la communication personnalisĂ©e avec leurs collĂšgues, contre 11 % pour une communication automatisĂ©e. Organiser le travail La moitiĂ© des dĂ©cideurs optent pour un systĂšme de management privilĂ©giant le travail en mode projet en interne. Dans un premier temps 39% d'entre eux affirment qu'il faut optimiser la communication de demain. Le but sera d'intĂ©grer des compĂ©tences externes comme nous pouvons le voir aujourd'hui Ă  travers le digital. Pour 33% d'entre eux, le dĂ©veloppement de l’entreprenariat sera primordial pour gĂ©nĂ©rer de nouvelles ressources. Enfin 26% des dĂ©cideurs, pensent que la collaboration avec un rĂ©seaux externe sera le moteur d'une nouvelle organisation du travail. Opter pour la Smart data Comme le dĂ©finit le blog le smart data est la nouvelle approche du traitement des donnĂ©s. Il se sert des nombreuses donnĂ©es issues du Big Data pour en dĂ©gager les informations les plus pertinentes. Suite Ă  l'enquĂȘte menĂ©e par l'UDA, 30% des sondĂ©es ont rĂ©pondu que l'avenir du marketing tirera sa force de la data. Pour 20% d'entre-eux la communication de demain passera par l'innovation stratĂ©gique et le fait de se dĂ©marquer de la concurrence. MalgrĂ© ces envies, la gĂ©nĂ©ration de data restera primordiale. Ce seront la masse de ces donnĂ©es qui permettront Ă  la smart data d'ĂȘtre la plus utile et la plus efficace. Toutefois, plus de la moitiĂ© des dĂ©cideurs 51 % s’accordent Ă  dire qu'ils opteront pour cette nouvelle approche plutĂŽt que de faire du Big Data. Ce qu’il faut retenir Parmi les tendances Ă©mergentent de cette enquĂȘte, on constate l’adaptation de la communication aux nouveaux canaux utilisĂ©s par les consommateurs. Parmi les canaux les plus privilĂ©giĂ©s, il y a les rĂ©seaux sociaux, les vidĂ©os et le mobile. Autre constat important Ă©manant de cette Ă©tude, c’est l’avĂšnement du customer centric ». Il s'agit de baser sa stratĂ©gie sur l’écoute et la comprĂ©hension du client. Avec l'ensemble des donnĂ©es que vous possĂ©dez sur vos clients il sera possible de cibler prĂ©cisĂ©ment les attentes de celui-ci. Cela passera par l'individualisation de la communication qui privilĂ©gie l'humain avant la technologie. Enfin, l'Ă©tude rĂ©vĂšle la prĂ©dominance de la data, tout en dĂ©montrant l'impact de la smart data sur l'avenir et les actions de communication. Et vous, comment voyez-vous la communication de demain ? Si cet article vous a plu, consultez notre page dĂ©diĂ©e Ă  la gĂ©nĂ©ration de leads ou Ă  consulter d’autres articles sur ce thĂšme. Vous souhaitez ĂȘtre accompagnĂ©s dans votre dĂ©marche d’amĂ©lioration pour l’augmentation de vos leads ? Nous vous invitons Ă  contacter nos Ă©quipes pour plus d’informations.
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Auteurde l'article SERA. Croyant, je dis : Il est au-dessus des religions. Non-croyant, je dis : prouver Son inexistence est aussi impossible que l'inverse, honnĂȘtement. Ses billets de blog Voir tous Polar " Le ver dans la soie " de Marie-ThĂ©rĂšse Ferrisi Il s'agit de mon deuxiĂšme roman policier... "Le monde qui marchait sur la tĂȘte... Coline Serreau Texte poignant de Coline Serreau qui ne mĂąche pas ses mots face aux ravages de l'Ă©pidĂ©mie Covid 19 ... Dimanche 22 mars. Coline Serreau, rĂ©alisatrice de Trois hommes et un couffin, mais aussi de films visionnaires, Ă©colos, humanistes et gĂ©nĂ©reux comme La belle verte ou La crise. Un terme "Corona" Interview d'Alexandre Adler Rebecca Fitoussi " En 2005, Alexandre Adler prĂ©façait... Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde demain »... Cette crise du Covid-19, les experts l’avaient prĂ©dite avec une prĂ©cision saisissante. A. Adler revient sur ce rapport et se projette dans l’aprĂšs-crise. Selon lui, cette Ă©pidĂ©mie sera un tournant pour l’avenir du monde et annonce de profondes transformations " AlgĂ©rie Emmanuel Macron s'exprime sur TSA Le prĂ©sident français, Emmanuel Macron lance un signal fort au gouvernement algĂ©rien, en accordant une entrevue au site TSA - Tout sur l'AlgĂ©rie, qui subi de la censure. Regardez son entrevue. Naomi Klein "Le sort des Etats-Unis a Ă©tĂ© scellĂ© par l'Ă©lite de Davos" Solidaire "Le choix inconditionnel du nĂ©olibĂ©ralisme par Hillary Clinton a Ă©tĂ© catastrophique. La seule rĂ©ponse dĂ©sormais consiste Ă  s'en prendre aux milliardaires" C’est ce qu’écrit la journaliste et militante canadienne Naomi Klein dans une chronique publiĂ©e le 9 novembre dans The Guardian, oĂč elle analyse la victoire de Donald Trump. Ses articles d'Ă©dition Voir tous Édition De la parole aux actes Etre et Avoir.. Une autre grammaire ! Loin des vieux livres de grammaire, Écoutez comment un beau soir, Ma mĂšre m'enseigna les mystĂšres Du verbe ĂȘtre et du verbe avoir. Édition De la parole aux actes Du manuscrit Ă  la publication "Le trident d'argent", une aventure Le dire et le faire ne se mesurent pas que dans l'Ă©cart qui inscrit la parole dans l'acte, mais aussi par le message envoyĂ© qui a atteint ou pas son destinataire dans l'interprĂ©tation qui lui sera donnĂ©e. Un livre, une histoire pour que l'aventure de la vie puisse continuer. Édition Immigration un autre regard J'irai mourir chez vous Vincent Lahouze Je donnerais ma vie pour ĂȘtre un migrant, ça a l'air tellement gĂ©nial Ă  vivre comme nouvelle tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ©. Je t'explique, attends. T'es lĂ  tranquille dans ton pays, tu entends le bruit des balles, tu te demandes de qui entre toi et ton voisin sera Ă©liminĂ© en premier sans prime time. Édition Immigration un autre regard Eloge de la bienveillance "Nous trois ou rien" Si certaines critiques dĂ©finissent les acteurs du film comme "les apĂŽtres de la tolĂ©rance", j'ai choisi un mot de nos jours trop galvaudĂ© la "bienveillance" Une histoire vraie qui se dĂ©roule en Iran oĂč la chute d'une dictature celle du Shah est remplacĂ©e par une autre, celle de l'Ayatollah Khomeini. Hibat Tabib, avocat iranien milite pour les forces dĂ©mocratiques Ă  TĂ©hĂ©ran et choisit l'exode. Édition De la parole aux actes L'Ă©valuation comme seul critĂšre de la valeur Roland Gori Roland Gori psychanalyste propose une analyse des rĂ©percutions de l'Ă©valuation du "faire" dans tous les domaines d'exercice professionnel au dĂ©triment de la valeur de "l'humain" oĂč la quantitĂ© efface la qualitĂ©. Des citations de JaurĂšs, de Simone Veil, de Karl Marx viennent Ă©tayer son approche pragmatique de la "chosification" de l'individu et des rĂ©percutions sur la culture, l'Ă©ducation.. bxENsV.
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