Bonjourà tous je suis novax et j'ai été cas contact mon employeur me dit de rester chez moi et comme quoi je ne pourrais être payer car non vax c'est normal ? - Topic Besoin d'aide Covid et
TÉMOIGNAGES - Depuis le début de semaine, les mesures de confinement se multiplient dans les entreprises dont des salariés reviennent de zones touchées par le coronavirus. Des personnes contraintes de rester à la maison nous rentrée de vacances, elle a été priée de rentrer chez elle. Marie*, qui travaille dans un grand groupe français, n’est pas malade. Elle n’a pas posé de congés supplémentaires, et aurait bien aimé travailler. Mais voilà la semaine dernière, elle est partie en Toscane avec son conjoint et son bébé. "Les derniers jours de notre séjour en Italie, on a vu qu’il y avait des foyers contaminés en Lombardie et Vénétie, raconte-t-elle. Mais ce n’était pas en Toscane, cela ne nous a donc pas trop préoccupés. C’est mardi après-midi que j’ai vu l’alerte en Toscane, avec un cas à Florence. J’ai joué carte blanche, je suis allée voir ma supérieure, qui m'a renvoyée vers l’infirmerie." L’infirmière du travail lui donne alors un masque, et lui édicte les "mesures parapluie" "En gros, c’était prenez vos affaires, et rentrez chez vous, appelez le 15 et ils vous expliqueront la marche à suivre." Marie a ensuite un médecin au téléphone, qui lui dit d’abord de retourner travailler, munie d’un masque et d’un gel hydraulique. Mais son entreprise applique des consignes plus drastiques, en lien avec les recommandations édictées par le ministère de la Santé toutes les personnes qui reviennent de foyers contaminés doivent rester chez elles. Marie, un peu désemparée, tente de rappeler le Samu le soir. "J’ai mis deux heures à avoir un médecin qui, lui, m’a dit de me mettre en quarantaine."Confinement et paradoxesCar la fin des vacances et la propagation des foyers soumettent les entreprises à un défi qu'elles n'ont pas vu venir que faire, avec les salariés qui, pour le travail, ou parce qu’ils sont partis en vacances, ont été dans une zone qui s’est retrouvée touchée par le coronavirus ? Chaque entreprise est libre de ses décisions, les autorités demandant seulement de privilégier le les entreprises face au risque de contaminationSource TF1 InfoLire aussiCertaines, comme celles de Marie, optent pour les mesures drastiques elles prient les salariés qui ont fréquenté des lieux de foyer déclarés de rentrer chez eux, pendant 14 jours à compter de leur date de retour, soit le temps d’incubation de la maladie. Ce qui n’est d’ailleurs pas sans poser de problèmes… Serge* revenait ainsi d’un déplacement professionnel à Venise. Il est rentré lundi 17 février dernier. A l’époque, l’Italie n’avait pas encore de foyers de coronavirus déclarés. Il a donc repris le travail normalement. Mais c’est en ce début de semaine que son employeur a mis en place des mesures préventives, et qu’il a dû rentrer chez lui. "J’ai appelé le Samu, mais n’ayant aucun symptôme, pas d’arrêt de travail", dit-il. "Je suis donc considéré comme étant en télétravail." Sauf qu’il avoue n’avoir pas la moindre mission ou consigne. Et pour cause son job est difficilement faisable en télétravail. Il pourra revenir mardi prochain, le 15e jour après son retour de Venise. Et s’il n’a pour l’instant pas grand-chose à faire, il le vit "très bien" "C’est mercredi, je vais pouvoir m’occuper de mes enfants !"Marie, elle, vit moins bien la situation. "C’est compliqué car on navigue dans une espèce de flou, on ne sait pas très bien ce qu’il faut faire", raconte-t-elle. Son RH le lui a assuré au téléphone elle doit rester en isolement et ne revenir que le 10 mars. "Le seul problème, c’est que je n’ai pas d’arrêt de travail car le médecin a refusé de m’en donner, et que mon travail ne peut pas être fait à distance." D'ailleurs, elle a été remplacée en urgence sur son poste. Et avec les retours de vacances de février, la situation risque de continuer à prendre au dépourvu de nombreuses directions. Des grands groupes ont commencé à prévenir en interne leurs salariés, leur faisant suivre les mesures de précautions édictées par le ministère de la Santé. "Il va sans doute y avoir beaucoup d’autres cas comme moi", dit Marie. "Car il y a des foyers qui se déclarent une fois que tu es revenu, j’ai vu comme ça qu’il y en avait en Espagne… Tous les gens qui sont partis peuvent donc être contaminables ou contaminés." Le paradoxe est que, comme Serge, elle est tout de même venue travailler en début de semaine. "Si on voulait faire les choses bien, il faudrait confiner toute l’équipe avec laquelle je travaille. Mais alors ça devient compliqué pour l’entreprise !" Sur le plan du financement aussi. Un décret publié le 1er février prévoit jusqu’à 20 jours d’indemnités journalières pour les personnes contraintes de rester chez elles. Mais pour les salariés qui n’ont pas d’arrêt maladie, car pas de symptômes, et sont pour autant inutiles en télétravail, la situation est particulière et les RH font face à un véritable flou. D’après les témoignages recueillis, les salariés envoyés en quarantaine ont été assurés d’être payés. Mais tout tient en un échange de paroles. Avec un masque dans la rue, tu as des regards interrogateurs, qui se demandent si tu as vraiment quelque choseMarie, qui revient de ToscaneMarie découvre à mesure toutes les contraintes qu’impliquent cette vie en confinement. Il y a la nécessité de surveiller sa température deux fois par jour, de porter un masque en dehors du domicile, mais aussi dans le foyer. Et de réduire les activités "non indispensables", d’éviter les lieux publics. De tout cela découlent des conséquences en chaîne. Son compagnon est formateur, et travaille en indépendant. Il devait intervenir cette semaine dans une entreprise, à Caen. "Il a téléphoné au client, il a joué carte blanche. Ils se sont laissés l’après-midi de réflexion et lui ont dit "tu arrêtes la formation ce soir par précaution et tu rentres chez toi". Chômage technique. Cette affaire de masque, aussi, est compliquée. "J'ai un bébé de neuf mois. Je porte un masque, elle n’arrête pas de me l’enlever", dit Marie. "J'ai fait six pharmacies avant de trouver des masques, ils sont en rupture de stock". Quand elle a fini par en trouver, elle tique sur le prix "Six euros l'unité… Sachant que c’est sensé s’utiliser comme un kleenex, qu’il faut en changer tous les jours, cela représente un beau budget !"Tout prend des proportions énormesMarie, qui revient de ToscaneSurtout, Marie s’aperçoit que "tout prend des proportions énormes", et les questionnements se multiplient à l’infini "Mon compagnon a un fils qui n’est pas parti avec nous à Florence. Mais on l’a vu lundi, avant de savoir… Est-ce que du coup il doit continuer à aller à l’école ? Et puis il est venu avec un copain. J’ai dû appeler ses parents, pour prévenir. Le médecin du Samu nous a dit que ça ne posait pas de danger. Mais d'autres praticiens que je connais m’ont dit que potentiellement, comme ces enfants ont été en contact avec nous, ils ne devraient normalement pas aller à l’école… Donc on patauge, on faut comme un peu, c’est très compliqué." Marie fait aussi partie d’une compagnie de danse. Dimanche prochain, elle devait se produire lors d’un spectacle. "J'ai envoyé un texto au groupe en demandant ce que je faisais… Je pense que je vais m’exclure car normalement, je dois éviter tous les lieux de foule. Alors une scène de spectacle… !" Tout le monde tâtonne, partout, les directives sont différentes d'un interlocuteur à l'autre "Par exemple, la crèche. On les a prévenus, ils ont appelé le médecin référent, qui a dit 'si n’elle est pas revenue par Milan ou Venise, c’est bon'. Nous avons tout de même décidé de ne pas mettre notre fille à la crèche par mesure de précaution." Sauf que si chacun "joue le jeu" du confinement jusqu’au bout, cela peut devenir sans fin. "Le vrai problème, c’est qu’on en n’est qu’au début", dit Marie. "Des foyers sont en train de se déclarer un peu partout. Et cela va être très compliqué au niveau des entreprises de tenir ces systèmes de quarantaine à un moment donné, il n’y aura plus personne ! Mais tout le monde est dans une situation inédite, du coup c’est compliqué." * Les prénoms ont été LAURENTSur lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités 10Qu'est-ce qu'un "Impact Positif" ?Publié le 22 septembre 2020 à 16h48Voir plus d'actualitésLaprécision des motifs du licenciement. Par Jérémy Duclos, Avocat. Dans un arrêt du 29 juin 2022 (n° 20-22.220), publié au bulletin, la chambre sociale de la Cour de cassation a apporté une précision importante dans l’exercice de rédaction par l’employeur de la lettre de licenciement. Le litige concernait la contestation devant la juridiction prud’homale d’un "S’il y a une panne d’électricité au travail et que je suis donc techniquement dans l’impossibilité de travailler, puis-je rentrer chez moi ?" La réponse de Karin Buelens, conseillère chez SD Worx Puis-je rentrer chez moi ? Si l’électricité est coupée au travail et que vous êtes donc au "chômage technique", vous ne pouvez pas décider de vous-même de rentrer chez vous. Votre employeur peut d’abord vous demander de travailler temporairement autrement, dans un travail qui correspond à vos capacités. Dès que votre patron vous renvoie chez vous, vous pouvez quitter le travail. Le jour où vous serez renvoyé chez vous, votre employeur devra vous verser votre salaire habituel. > À lire aussi Puis-je prester des heures supplémentaires de ma propre initiative ? Chômage temporaire pour cause d’incident technique A certaines conditions et pourvu que vous ayez rempli un formulaire légal, votre employeur peut demander à l’ONEM de vous mettre temporairement au chômage temporaire pour cause d’incident technique. C’est seulement possible pour les ouvriers. Quand l’ONEM accepte l’incident technique, vous pouvez éventuellement en tant qu’ouvrier profiter d’allocations de chômage. Pour l’ONEM, on parle d’incident technique quand plusieurs conditions sont simultanément remplies. L’incident doit ainsi être un obstacle effectif qui rend vraiment impossible le fait de continuer à travailler. Il doit s’agir d’un cas de force majeure et l’incident technique doit se dérouler à l’intérieur de l’entreprise. De plus, les ouvriers peuvent seulement être considérés comme au chômage temporaire pour cause d’incident technique à partir du huitième jour. Les sept premiers jours doivent donc être payés par l’employeur. L’employeur ne doit pas payer de salaire si le travailleur refuse une offre de changement de travail. Ce remplacement doit bien sûr correspondre aux aptitudes physiques et intellectuelles de l’ouvrier et être compatible avec ses qualifications professionnelles. > À lire aussi 10 erreurs professionnelles… Et comment s’en sortir ! Conclusion S’il y a une coupure d’électricité au travail et que vous êtes par conséquent au chômage technique, vous ne pouvez pas décider de votre propre chef de rentrer à la maison. Vous pouvez seulement quitter votre travail lorsque votre patron vous renvoie chez vous. Ce jour-là , votre employeur doit vous payer normalement. > À lire aussi 15 pays où l’on vit mieux qu’en Belgique ! Si la panne d’électricité dure plus longtemps, vous pouvez en tant qu’ouvrier et selon certaines conditions avoir droit à des allocations de chômage à partir du huitième jour. Pour cela, votre employeur doit remplir quelques formulaires et les remettre à l’ONEM. > À la recherche d'un nouveau challenge professionnel ? lasalariée contrainte d’écrire et de signer sa lettre de démission par son employeur qui avait reconnu lui-même qu’il voulait que sa salariée démissionne (Cass. soc., 5 mars 1987, n o 84-43.181) ; le salarié qui démissionne après que son employeur lui a fait de vifs reproches injustifiés et l’a insulté en employant à son Quatrième volet de notre chronique, avec deux experts, Mes Hervé-Georges Bascou et Aurore Portefaix, avocats, docteurs en droit au cabinet Bascou-Cayez Associés. Par Rédaction Métropolitain Publié le 17 Mar 20 à 1429 Le recours au code du travail en cette crise sanitaire ©DR ©FacebookRetrouvez les 3 premiers volets ci-dessousCoronavirus patron, que dois-je répondre au salarié qui doit garder son enfant de moins de 16 ans ? Coronavirus Covid-19 quelles mesures pour éviter l’exercice légitime d’un droit de retrait ? Coronavirus et droit du travail le recours au chômage partiel pour éviter les licenciements économiques Maîtres Hervé-Georges Bascou et Aurore Portefaix sont experts en droit du travail et en contentieux URSSAF. Tous les jours, ils éclairent salariés et chefs d’entreprise sur les conséquences juridiques et économiques de la crise sanitaire liée au Coronavirus. Deux experts se penchent sur les questions de droit posées par la crise sanitaire. ©DRLe 16 mars 2020, Monsieur le Président de la République française a martelé que nous étions en guerre » et que nous devions rester chez nous pour réduire à leur plus strict minimum les contacts et les déplacements. Quoi de plus normal le principe est ainsi qu’un dispositif de confinement a été mis en place à compter du mardi 17 mars à 12 heures, pour quinze jours, a minima. Dispositif précisé par le décret n° 2020-260 du 16 mars 2020, publié le 17 mars 2020, portant réglementation des déplacements dans le cadre de la lutte contre la propagation du virus déplacement est donc interdit, sauf dans les cas suivants et uniquement à condition d’être munis d’une attestation de déplacement dérogatoire et d’une carte d’identité pour Faire ses achats de première nécessité dans les commerces de proximité autorisés par arrêté du ministre et pour réaliser des achats de fournitures nécessaires à l’activité professionnelle ; Se rendre auprès d’un professionnel de santé ; Se déplacer pour motif familial impérieux, pour la garde de ses enfants ou pour aider les personnes vulnérables à la stricte condition de respecter les règles barrières ; Faire de l’exercice physique uniquement à titre individuel, autour du domicile et sans aucun rassemblement ; Se rendre sur son lieu d’activité professionnel. Télétravail et obligation de présenceEn pratique, qu’en est-il pour les salariés doivent-ils rester chez eux ou aller travailler ?1ère situation les salariés pouvant télétravailler doivent rester chez eux A l’employeur de mettre en place ce en ce moment sur ActuS’il ne le fait pas alors que l’activité permet le recours au télétravail, à notre avis, le salarié peut exercer son droit de retrait et l’employeur engage sa responsabilité, sous réserve, bien entendu, de l’appréciation des situation pour les autres salariés, la situation est la suivante En application du décret du 16 mars 2016 n° 2020-260 sont autorisés les trajets entre le domicile et le ou les lieux d’exercice de l’activité professionnelle et déplacements professionnels insusceptibles d’être différés ».Si le télétravail n’est pas possible, le salarié peut donc se rendre au travail en transports en commun ou par ses propres moyens, munis d’une attestation de déplacement dérogatoire et d’une carte d’ est donc clair qu’une dérogation subsiste concernant les déplacements entre le lieu de vie et le lieu de la lecture du décret du 16 mars 2020, le salarié pour lequel le télétravail ne peut être mis en place doit donc se présenter à son poste de travail. Il ne semble pas qu’il puisse exercer le choix de ne pas la rédaction de l’attestation dérogatoire de déplacement mis à disposition par le gouvernement ne retient pas la même rédaction que celle du décret. Sur ce document, il est précisé déplacements entre le domicile et le lieu d’exercice professionnel, lorsqu’ils sont indispensables à l’exercice d’activités ne pouvant être organisées sous forme de télétravail sur justificatif permanent ou déplacements professionnels ne pouvant être différés ».Déplacements indispensablesLa lecture combinée du décret et de l’attestation dérogatoire de déplacement nous conduit à distinguer deux hypothèses Déplacements indispensables pour aller travailler En d’autres termes, tous les salariés qui ne peuvent effectuer du télétravail peuvent se déplacer pour aller travailler muni deleur attestation dérogatoire de déplacement ; l’attestation de l’employeur justifiant le déplacement professionnel intitulée précisément justificatif de déplacement professionnel » et de leur carte d’identité. Déplacements professionnels ne pouvant être différés Nous attendons des précisions sur cette notion extrêmement vague qui peut donner lieu à tout type d’interprétation. La clarté serait souhaitable pour éviter toute dérive motivée par des considérations strictement économiques mais non nous semble qu’à moins d’un cas de force majeure, l’employeur doit tout faire pour éviter les déplacements en mettant en œuvre notamment les de précautionQuoi qu’il en soit, tout employeur qui fait travailler ses salariés doit a minima Réunir quotidiennement les membres du CSE pour faire le point sur la situation et informer ensuite ses salariés en modifiant chaque jour son document uniquement d’évaluation des risques ; Prendre toutes les mesures de précaution tant en termes d’hygiène que comportementales afin d’éviter tout risque au sein de son activité et à ce titre, les mesures évoluent. Il est, en effet, responsable de la santé de ses salariés sur les lieux de travail, de sorte qu’il doit prendre toutes les mesures à la préserver. Comme nous l’avons déjà rappelé dans nos thématiques précédentes, ces principes généraux de prévention sont régis par les articles L. 4121-1 à L. 4121-5 du code du travail ; principes que tout chef d’entreprise doit tout salarié a le pouvoir de se retirer d’une situation de travail dès lors qu’il a un motif raisonnable de penser qu’elle présente un danger grave et imminent pour sa vie et sa santé. En pratique, tout va dépendre de son degré d’exposition au risque de contamination et des mesures de précaution prises par l’employeur. A noter le ministère du Travail estime que si l’employeur met en œuvre les recommandations du gouvernement les conditions d’exercice du droit de retrait ne sont pas réunies. En d’autres termes, le salarié ne peut partir de son lieu de travail si l’employeur a pris toutes les mesures idoines. Il se mettrait, à ce jour, en faute et pourrait être sanctionné. Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Métropolitain dans l’espace Mon Actu . 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Ilme dit que ce n'est pas la peine de rester à l'entreprise, qu'il ne souhaite pas m'y revoir et que je dois régler le reste avec le centre de formation. Je rentre chez moi et appelle immédiatement mon formateur, qui me dit que malgré un appel de mon patron avant les congés, il ne s'y attendait pas, et que rien n'a été fait de la part
Ça me paraÃt louche et je voudrais votre avis. Sans entrer dans les détails, je me suis retrouvé mardi au chômage technique car le client chez qui je bosse normalement a suspendu toutes les prestations. Pas de possibilité de télétravail, et de toute façon pas de boulot à faire physiquement non plus. Donc, mon employeur m'a dit de rester chez moi, en attendant d'en savoir plus sur le chômage partiel soi-disant - paraÃt qu'il doit y avoir un communiqué au Journal Officiel aujourd'hui mon employeur me recontacte pour me demander de poser des jours de congés, prétextant que ce sera plus avantageux pour moi que le chômage partiel. Comme je me méfie de mon employeur et comme je suis assez frileux à l'éventualité de poser le peu de congés dont je dispose, j'ai posé quelques questions pour essayer d'éclaircir ses explications vaseuses. Il m'a finalement dit que je pouvais refuser, ce que j'ai fait. Il n'a pas insisté davantage - je pense que je l'ai fatigué avec mes pensez-vous ? Ai-je eu raison de me méfier ? Si oui, pourquoi ?Merci d'avance.
Estce que mon employeur peut m'obliger à rester travailler à l'agence de PARIS en me laissant payer de ma poche mon logement et mes allers/retours vers mon domicile ou bien puis-je rentrer chez moi pendant mon inter contrat? D'autre part mon employeur me dit que les déplacements à PARIS pour faire le point avec les ingénieurs d'affaires
Afaaff est une Société par Actions Simplifiée SAS, au capital de 11623,30€ et est inscrite au registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro 814 387 585. Opérant sous la marque ekie, la société est régie par le Code des Assurances et est immatriculée au Registre ORIAS, sous le numéro 20008495.
Monpatron souhaite vendre une partie de sa clientèle pour garder seulement le second cabinet qui l a acheté il y a un an. Il va vendre le reste de sa clientèle a un autre expert comptable Il me propose ou de me vendre a l autre cabinet ou de me faire rupture conventionnelle ou de me faire un licenciement économique.
Bonjour à toutes et tous ; J'ai été embauchée dans une entreprise d'une trentaine de collaborateurs. Je suis dans une toute petite équipe où nous sommes 6 personnes. J'ai récemment été promue en tant que responsable éditoriale par le patron. Je m'interroge énormément sur ce dernier. Depuis mon retour au bureau après le déconfinement, il agit de manière très étrange avec moi. Il faut savoir qu'il aime plaire, c'est un séducteur. Il a eu plusieurs histoires avec des filles de la boîte, qui sont désormais parties. À chaque fois qu'il vient nous rendre visite, nous sommes assis en face, avec le bureau qui nous sépare. Et à chaque fois, c'est systématique, son pied vient frapper le mien ou ma jambe. Cela se produit une seule fois, au moment où il croise les jambes. Mais c'est à chaque fois et toujours de manière à ce que ça paraisse comme ne pas être fait exprès. Alors une fois, je veux bien, c'est un accident, deux fois, il va falloir faire attention, puis trois et ensuite à chaque fois, bon... Il ne s'excuse jamais. Il y a deux semaines, une soirée d'entreprise a eu lieu. Il était bien bourré. Il est venu s’asseoir à côté de moi, en bout de banquette, de manière à ce que je ne puisse pas m'échapper. On a discuté, mais il était vraiment très, très près et sa jambe était collée à la mienne. Son regard était également perturbant celui d'un séducteur. Il était complètement saoul, je n'en ai pas vraiment tenu compte. Dans ces paroles au quotidien, la sémantique du couple revient souvent lorsqu'il parle avec moi. Il me fait des compliments sur mon intelligence. Mais jamais sur mon physique. Je ne rentre surtout JAMAIS dans son jeu. Peut-être que je me fais des films. Mais si ce n'est pas le cas, je ne sais pas comment lui faire comprendre que je ne suis absolument pas intéressée. Il est vrai qu'il est très séduisant, charismatique, etc. Mais je suis son employée, il est le PDG de la boîte. Je ne souhaite aucun rapprochement physique ou affectif avec lui. À chaque fois qu'il me fait du pied, je me décale. J'ai peur qu'en le repoussant clairement, ça ne le vexe et qu'il ne se venge avec un ego blessé. Il a une psychologie bien particulière et une fierté mal placée. Je ne veux pas perdre mon emploi à cause d'un patron éconduit. Que me conseillez-vous ? Merci par avance ! $🙂
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