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Lechapitre 1052 de One Piece. est intitulé « Nouveau Matin « . Sur la page de couverture du chapitre, nous voyons Germa 66 rencontrer César. Comme les frontiÚres restent fermées, il semble que Zunesha ait quitté Wano, ce qui suggÚre que Carotte restera avec les Chapeaux de paille pendant un certain temps.
ThĂ©rĂšseRaquin rĂ©sumĂ© : Chapitre 1 : Dans la rue de GuĂ©nĂ©gaud, il y a un passage qui sâappelle « le pont neuf » qui va de la rue Mazarine Ă la rue de Seine. A gauche de la rueParfois, les Ă©tudiants ont lâimpression quâils sont tropensemble. Si vous n'avez pas eu le temps de lire plusieurs chapitres volumineux du livre, une nouvelle rĂ©daction vous aidera. Ceci s'applique Ă©galement au roman "To Kill a Mockingbird". Le rĂ©sumĂ© du travail sera une vraie bouĂ©e de sauvetage, si vous avez besoin de comprendre en 10 minutes en quoi consiste ce travail structure et le dĂ©but du livreLe roman To Kill a Mockingbird», dont vous allez apprendre tout de suite le rĂ©sumĂ©, a Ă©tĂ© inventĂ© par l'Ă©crivain anglais Harper Lee. Il a Ă©tĂ© publiĂ© pour la premiĂšre fois en livre se compose de 31 chapitres et est divisĂ© en 2 parties. Le premier comprend les chapitres 1 Ă 11 et le second, les chapitres 12 Ă dit que les avocats ont Ă©galement Ă©tĂ© une foisCe nâest pas un hasard, car le centre du rĂ©cit est la famille de lâavocat Attikus Finch et de ses enfants - lâaĂźnĂ© Jim et la plus jeune fille Louise, que tout le monde a surnommĂ©s premier chapitre du livre "To Kill a Mocking Bird",Un rĂ©sumĂ© dont vous avez lu le rĂ©cit, nous apprenons qu'au dĂ©but de l'histoire, le garçon avait environ 10 ans et la fille environ six ans. Les enfants n'avaient pas de mĂšre, elle est morte quand Louise a eu 2 ans. Elle a Ă©tĂ© remplacĂ©e par leur pĂšre et frĂšre Atticus Finch, aidĂ© par la femme de chambre noire de l'Ă©pouvantail RadleyCet Ă©tĂ© pour eux dans la petite ville de Maycomb, Ă voisin, arrivĂ© neveu Dill. Il a dit qu'il avait 7 ans. Les enfants sont rapidement devenus amis, Jim et Glazier ont parlĂ© Ă une nouvelle connaissance de la maison de l'Ă©pouvantail Radley. Selon la rumeur, un mauvais esprit y vivait, qui sortait la nuit et commettait des crimes mineurs. Ils ont Ă©galement dit que lorsque Radley Ă©tait adolescent, il se retrouvait dans une mauvaise compagnie. Ensuite, les jeunes hommes de ce groupe sont allĂ©s Ă l'Ă©cole, ont fait leurs Ă©tudes et le pĂšre de Radley l'a enfermĂ© Ă la maison et ne l'a plus lĂąchĂ©e fois l'Ă©pouvantail, dont le vrai nom est Arthur,il a dĂ©coupĂ© des images avec des ciseaux, son pĂšre est passĂ©. Le fils plongea les ciseaux dans sa jambe, les sortit et continua Ă faire son travail, comme si de rien n'Ă©tait. L'aĂźnĂ© Radley n'a pas appelĂ© la police, mais a pu parler Ă son fils de telle sorte qu'il a cessĂ© de sortir du tout et que personne ne l'ait vu depuis 15 Ă©tait tellement choquĂ©e par ces rumeurs qu'il se disputaitcouru Ă la porte, se prĂ©cipita chez Radley et courut en arriĂšre. Avec cela, il prouva Ă ses nouveaux amis qu'il Ă©tait courageux. Ceci conclut le premier chapitre du roman de Harper Lee, To Kill a Mocking Bird, un bref rĂ©sumĂ© du travail que nous passons au sont les chapitres 2, 3 et 4 chapitresAu dĂ©but de septembre, Dill est rentrĂ© chez lui et Glazastik est passĂ©e en premiĂšre annĂ©e. Le premier jour, ce nâĂ©tait pas sans incidents, mais ils tĂ©moignaient de la gentillesse dâune Ă la rĂ©crĂ©ation les enfants ont le petit dĂ©jeuneramenĂ© de chez lui, Walter Cunningham est un enfant mal habillĂ© qui n'a rien mangĂ©. Le professeur voulait lui prĂȘter de l'argent pour le dĂ©jeuner, mais il ne l'a pas pris, a-t-elle insistĂ©. Ensuite, Louise a essayĂ© d'expliquer Ă l'enseignant que le garçon du clan Cunningham Ă©tait pauvre, qu'ils ne pouvaient pas donner de l'argent et que l'enseignant n'avait pas besoin de broussailles. Louise pensait qu'ils ne pourraient payer qu'avec des produits naturels, mais Mlle Caroline, l'enseignante mĂ©contente, frappa lĂ©gĂšrement la fille sur ses mains avec une rĂšgle. C'Ă©tait une n'Ă©tait pas douloureux, mais offensivement, alors les grands yeuxa volĂ© Ă la rĂ©crĂ©ation sur Walter et a commencĂ© Ă fourrer son nez dans le sol. SauvĂ© Kaningema Jim, qui l'a appelĂ© Ă dĂźner. AprĂšs avoir mangĂ©, les enfants sont retournĂ©s Ă l'Ă©cole. Mais Louise nâa pas aimĂ© cela lĂ -bas, car lâenseignante a dit quâelle lisait de maniĂšre incorrecte, bien que cette fille ait Ă©tĂ© instruite par son pĂšre apprenons cela du chapitre 3 de la premiĂšre partie du livre."Pour tuer un oiseau moqueur." Le rĂ©sumĂ© passe immĂ©diatement au quatriĂšme. Elle raconte que la fillette a commencĂ© Ă trouver des cadeaux petits mais agrĂ©ables dans le creux de l'arbre - chewing-gum, de vieilles piĂšces de monnaie dans une boĂźte, et plus tard au chapitre 7 - des poupĂ©es en bois, l'une Ă©tait comme elle, la seconde Ă©tait comme un frĂšre. En fin de compte, nous apprenons ce que le monstre leur a au huitiĂšme chapitresAu chapitre cinq, nous rencontrons un autre - Miss Modi. Elle leur a dit quel homme Atticus, brave et respectĂ©. Avant cela, Gelazier ne savait pas qu'il Ă©tait un tireur d'Ă©lite trĂšs sixiĂšme chapitre porte des astucesles enfants qui se trouvaient encore dans le jardin de Radley, tandis que Jim laissait le pantalon sous la clĂŽture quand il l'escaladait. Quelle a Ă©tĂ© la surprise de son frĂšre et de sa soeur, quand le lendemain matin ils ont trouvĂ© un pantalon que quelqu'un cousait, caressait et soigneusement suspendu Ă la Ă la fin, nous apprendrons que le bon lâa En attendant, nous nous tournons vers les Ă©vĂ©nements suivants du livre "To Kill a Mockingbird". Un rĂ©sumĂ© des chapitres est venu Ă la 7Ăšme partie, qui dit que Louise est entrĂ©e en 2e annĂ©e. La huitiĂšme dira Ă quel point la neige est tombĂ©e si rare dans ces endroits et les enfants en ont sculptĂ© la neige et la 9-11Au chapitre 9, Louise apprend pour la premiĂšre fois que son pĂšre estle tribunal dĂ©fendra le nĂšgre et beaucoup ne lâapprouvĂšrent pas. La jeune fille dĂ©fendit le nom de son pĂšre, comme elle le pouvait, battant Ă coups de poing contre des camarades qui insultaient Attikus. Le dixiĂšme chapitre expliquera comment il pourrait tirer de loin et se faire piĂ©ger par un chien enragĂ© afin de sauver les habitants de la chapitre 11, le pĂšre enseignait les bonnes - il a dit que Jim, qui avait piĂ©tinĂ© les camĂ©lias de Mme Dubose, allait maintenant la lire tous les jours. Le garçon l'a fait parce qu'elle a Ă©galement parlĂ© du pĂšre de son pĂšre. Lorsque la vieille femme en phase terminale est dĂ©cĂ©dĂ©e, une boĂźte de camĂ©lia a Ă©tĂ© remise Ă Jim. Ceci termine le chapitre 11 et la partie 1 de Harper's Kill a Mocking Bird. RĂ©sumĂ© parle de la deuxiĂšme partie du romanLes lecteurs apprendront que le nĂšgre Tom RobinsonaccusĂ© d'avoir violĂ© la fille Mayella. MĂȘme au moment de l'enquĂȘte, son pĂšre, Bob Ewell, a persuadĂ© les deux hommes, qui sont arrivĂ©s au poste de police pour engager des poursuites. Mais le courageux Atticus Finch a dĂ©couvert le complot et a dĂ©cidĂ© d'ĂȘtre de service. Jim et Louise sont venus en secret aprĂšs le pĂšre. La fille immĂ©diate a sauvĂ© Atticus. Elle a vu Walter Cunningham dans la foule et a dit qu'elle Ă©tudiait avec son fils dans la mĂȘme classe, qu'elle Ă©tait amie et qu'il Ă©tait Ă leur dĂźner. Elle a pu toucher le cĆur d'un homme, il a dit aux pirates de l'air de rentrer chez par hasard, les enfants sont allĂ©s au tribunal. Mon pĂšre ne voulait pas cela, car le sujet nâest pas destinĂ© aux oreilles des enfants. Un avocat avisĂ© a rĂ©ussi Ă dĂ©truire tous les arguments de l'accusation et Ă prouver que Tom Robinson n'Ă©tait pas en il ne pouvait pas pardonner Ă Bob Ewell. Il a attaquĂ© les enfants de l'avocat alors qu'ils sortaient du bal costumĂ© de l'Ă©cole et les ont attaquĂ©s. Louise a Ă©tĂ© sauvĂ©e par son costume de citrouille inconfortable, mais plutĂŽt durable, et par Jim Felishen Redley. Au combat, Ewell a Ă©tĂ© tuĂ©, mais le shĂ©rif n'a pas engagĂ© de procĂ©dure, il a dit Ă tout le monde que Bob Ă©tait tombĂ© sur son travail se termine de maniĂšre trĂšs Ă©mouvante - la jeune fille prend la main de leur sauveur, le Peur de Radley, l'escorte chez elle et parle comme un vieil termine la relecture du livre "To Kill a Mockingbird". RĂ©sumĂ© en anglais, les Ă©tudiants peuvent faire eux-mĂȘmes, il suffit de traduire cet article.
LesTrois Mousquetaires est le plus célÚbre des romans d'Alexandre Dumas pÚre, initialement publié en feuilleton dans le journal Le SiÚcle de mars à juillet 1844, puis édité en volume dÚs 1844 aux éditions Baudry et réédité en 1846 chez J. B. Fellens et L. P. Dufour avec des illustrations de Vivant Beaucé.Il est le premier volet de la trilogie romanesque
Le rĂ©sumĂ© trĂšs dĂ©taillĂ© de Vendredi ou la vie sauvage chapitre par chapitre Vous pouvez commander Vendredi ou la vie sauvage sur amazon dĂšs maintenant ! Si vous prĂ©fĂ©rez un rĂ©sumĂ© de Vendredi ou la vie sauvage moins dense, je vous conseille dâaller lire la liste des Ă©vĂšnements principaux du livre. CHAPITRE 1 Une terrible tempĂȘte prĂ©cipite la galiote Virginie » sur laquelle voyage Robinson. Le bateau se trouve dans la rĂ©gion de lâArchipel Juan Fernandez, au large des cĂŽtes du Chili. Le capitaine Van Deysel et Robinson sont en train de jouer aux cartes. Naufrage. CHAPITRE 2 Robinson est le seul survivant et a mal Ă lâĂ©paule. Il reprend connaissance et constate quâil est sur une Ăźle dĂ©serte. Il rencontre un bouc qui semble Ă©tonnĂ©, le bouc baisse la tĂȘte et grogne. Triste et fatiguĂ©, il sâendort aprĂšs avoir mangĂ© un ananas. CHAPITRE 3 Robinson est rĂ©veillĂ© par les premiers rayons du soleil et fait cuire le cadavre du bouc qui il a tuĂ© la veille. CHAPITRE 4 Changement dâattitude, Robinson visite la Virginie et prend tout le matĂ©riel dont il aura besoin pour construire une embarcation assez importante pour rejoindre le Chili et la nomme par avance LâEvasion ». Il trouve une bible dans la cabine du second en plus des outils. CHAPITRE 5 Robinson se met au travail sans oublier de surveiller lâhorizon en espĂ©rant la survenue dâun navire. Le bateau est terminĂ© mais comme il est lourd, il ne peut le dĂ©placer. CHAPITRE 6 DĂ©couragĂ© par lâĂ©chec de LâEvasion », Robinson sâenfonce dans la boue comme les pĂ©caris et les Ă©manations lui troublent lâesprit. Il fait des hallucinations, il voit sa sĆur morte depuis deux ans sur une galĂšre imaginaire. CHAPITRE 7 Robinson comprend quâil doit sâhabituer Ă vivre sur lâĂźle, alors il dĂ©cide de construire une petite maison et dâĂ©lever des animaux domestiques de la forĂȘt et il est heureux de retrouver Tenn, le chien de la Virginie. Il se sert de lâencre contenue dans le ventre dâun poisson pour Ă©crire son journal. CHAPITRE 8 Le hĂ©ros donne des lois Ă lâĂźle quâil baptise Speranza » sur un livre rĂ©cupĂ©rĂ© Ă bord de la Virginie. Robinson reçoit ses premiers visiteurs, des Indiens redoutable qui sont venus pour tuer lâun dâeux qui est responsable dâun malheur qui a frappĂ© la tribu. AprĂšs avoir terminĂ© les Indiens quittent lâĂźle. CHAPITRE 9 Robinson se prĂ©pare contre les attaques qui pourraient ĂȘtre effectuĂ©es par des Ă©trangers. En parallĂšle Ă ces opĂ©rations militaires, Robinson effectue des rĂ©parations et fait la rĂ©colte des cĂ©rĂ©ales pour manger son premier pain sur lâĂźle. Mais lâabondance des cĂ©rĂ©ales lâoblige Ă lutter contre les rats quâil arrive Ă vaincre. CHAPITRE 10 Robinson se sent seul et triste, il ne parvient plus Ă sourire mais il peut compter que lâaide de Tenn qui le lui rĂ©apprend. CHAPITRE 11 Robinson organise et civilise son Ăźle. Il a Ă©galement de nombreuses tĂąches quotidiennes Ă remplir. CHAPITRE 12 Robinson dĂ©cide dâaller explorer le fond de la grotte oĂč il met ce quâil a de prĂ©cieux. Suite Ă la disparition de la lumiĂšre il trouve un trou dans une cheminĂ©e oĂč il sâĂ©tait glissĂ© aprĂšs sâĂȘtre frottĂ© le corps avec du lait caillĂ©. Il y perd la notion du temps car il imagine quâil est prĂšs de sa famille et câest lĂ quâil comprend quâil doit sortir du trou. CHAPITRE 13 Robinson entame la fabrication dâune clepsydre, horloge qui donne lâheure grĂące Ă de lâeau et un contenant graduĂ©. Il attaque Ă©galement la mise en place dune riziĂšre. Il voit Ă©galement la fumĂ©e blanche dans le ciel, signe dâune nouvelle victime indienne et il comprend quâil doit faire face Ă la deuxiĂšme visite des indiens. Lâindien arrive Ă sâenfuir de ses bourreaux et se dirige vers Robinson. Tenn attire lâattention en aboyant et Robinson tire un coup de feu qui tue un indien et provoque la fuite de ses congĂ©nĂšres. Lâindien rescapĂ© sâincline devant Robinson en signe de soumission. CHAPITRE 14 Robinson et lâIndien se repose aprĂšs une nuit fatigante. Le lendemain lâespoir revient et Robinson montre son bateau Ă lâindien. Mais lĂ , dĂ©ception le radeau sâĂ©croule, mangĂ© par les termites. CHAPITRE 15 Le hĂ©ros nomme lâIndien Vendredi du nom du jour durant lequel il fut sauvĂ©. Robinson lui apprend lâanglais et lui donne de diverses tĂąches Ă faire. En Ă©change, Vendredi est payĂ© avec les piĂšces de monnaie trouvĂ©es sur lâĂźle. Afin de visiter lâĂźle, Vendredi construit une pirogue. CHAPITRE 16 Vendredi entreprend dâĂ©lever et dâapprivoiser un couple de rats, cela ne convient pas Ă Robinson qui sâen dĂ©barrasse. Lâindien fabrique Ă©galement un bouclier avec la carapace dâune tortue et Ă©lĂšve aussi un vautour abandonnĂ© en faisant tout son possible pour le nourrir et le sauver. CHAPITRE 17 Robinson sâennui mĂȘme avec deux autres compagnons ce qui le pousse Ă se diriger vers la grotte pendant que Vendredi habille les cactus. Maintenant que lâindien est libre il sâamuse avec Tenn et fait toutes sortes de bĂȘtises quâil ne peut pas faire en prĂ©sence de Robinson. Suite Ă ces jeux, le chien sâembourbe dans la riziĂšre et Vendredi doit ouvrir la vanne afin de faire baisser le niveau dâeau. CHAPITRE 18 A la sortie de la grotte oĂč seul Tenn lâattend fidĂšlement devant le seuil, Robinson apprend ce qui sâest passĂ© et devient furieux. Quant Ă Vendredi il a dĂ©jĂ construit une petite habitation Ă lâaide de lâherbe et de feuilles sĂšches avec un hamac, câest son repĂšre secret. Robinson le trouve dans son repĂšre. CHAPITRE 19 Vendredi trouve un nouveau loisir la pipe. En fumant en cachette Vendredi jette la pipe de Robinson dans la grotte ce qui cause lâexplosion de quarante tonneaux de poudre quâavait stockĂ© Robinson dans la grotte Ă lâabri de la pluie. Cela entraĂźne la mort de Tenn. CHAPITRE 20 Lâexplosion a dĂ©truit toutes les constructions sur lâĂźle et les bouleversements sont nombreux les chĂšvres sont libĂ©rĂ©es et reviennent Ă lâĂ©tat sauvage, la grotte est maintenant inaccessible. Ils retrouvent Ă©galement le cadavre du chien. CHAPITRE 21 Suite Ă ces changements, Robinson change de mentalitĂ© et câest le dĂ©but dâune nouvelle vie sans rĂšgles. Vendredi mĂšne maintenant le jeu, il profite de sa libertĂ© en sâamusant Ă confectionner des arcs et des flĂšches. CHAPITRE 22 Vendredi montre la cuisine Ă©trange de sa tribu Ă Robinson. CHAPITRE 23 Les deux habitants de lâĂźle se disputent Ă cause dâun plat de Vendredi que Robinson refuse de manger et Robinson en rĂ©action donne un coup de pied dans lâassiette de Vendredi . Lâindien, fou de rage, le quitte quelques instants puis revient accompagnĂ© dâune poupĂ©e qui reprĂ©sente Robinson. Robinson fait la mĂȘme chose et dessine le corps de Vendredi sur le sable. CHAPITRE 24 Vendredi trouve un autre jeu encore plus amusant, il se dĂ©guise en Robinson et se prĂ©sente Ă lui. Alors ce dernier comprend quâil doit faire la mĂȘme chose. Ce jeu fait du bien Ă Vendredi et mĂȘme Ă Robinson qui a un peu de remords dâavoir Ă©tĂ© un maĂźtre dur pour Vendredi. CHAPITRE 25 Vendredi retrouve un des deux tonneaux de poudre que Robinson avait enterrĂ©s. Robinson est surpris de le voir si heureux. Comme il nây a plus de fusil Vendredi invite Robinson Ă sâamuser en mettant un peu de poudre dans le feu ce qui donne des flammes vertes. CHAPITRE 26 AprĂšs la catastrophe Vendredi connaĂźt suffisamment lâanglais pour comprendre les ordres de Robinson. Un jour Vendredi montre Ă Robinson la ressemblance quâil trouvait dans les choses comme le galet et la lune, les larmes et la pluie, et cela devient un jeu de mot amusant entre les deux amis. CHAPITRE 27 Un matin Vendredi est rĂ©veillĂ© par la voix de son ami qui lâappelle par son nom. Lâappel retentit Ă nouveau, ce sont des perroquets qui sont venus prendre leurs Ćufs. Pour Ă©viter le bruit des bĂȘtes Robinson et Vendredi communiquent avec des gestes jusquâĂ ce que les oiseaux quittent lâĂźle. CHAPITRE 28 Lâindien trouve un nouveau jeu qui consiste Ă se battre avec les boucs et Ă nouer une liane autour du cou des vaincus. Il trouve une petite chĂšvre qui a une patte cassĂ©e et la soigne. Vendredi et Anda la chĂšvre deviennent insĂ©parables, ce qui rend Robinson jaloux. Un jour Vendredi cherche le roi des chĂšvres Andoar, mais ce dernier le fait tomber du haut dâun rocher. AprĂšs ĂȘtre guĂ©ri Vendredi revient dans la forĂȘt pour battre le bouc et retrouver Anda qui avait disparu. LâIndien ne met pas beaucoup de temps pour retrouver Andoar et le combat commence. CHAPITRE 29 A lâaide de sa longue-vue Robinson a observĂ© la chute des deux adversaires. Quand il vient les rejoindre il dĂ©couvre le cadavre dâAndoar sous Vendredi, le bouc est mort en le sauvant. CHAPITRE 30 AprĂšs quelques jours Vendredi revient Ă la dĂ©pouille du bouc et la tranche, conserve ses intestins et lui enlĂšve la peau afin dâen faire un cerf-volant. CHAPITRE 31 Comme Robinson est sujet aux vertiges depuis son enfance, il dĂ©cide de sâen dĂ©barrasser en escaladant lâaraucaria, lâun des plus grands arbres de lâĂźle. CHAPITRE 32 Vendredi voulant faire voler Andoar, il attache le cerf-volant fabriquĂ© avec la peau du bouc Ă lâarriĂšre de la pirogue. CHAPITRE 33 Vendredi promet mystĂ©rieusement Ă Robinson quâil va faire chanter Andoar, pour cela, il se saisit de sa tĂȘte pour en faire un instrument de musique. Une tempĂȘte fait jouer de lâinstrument de musique. CHAPITRE 34 Vendredi et Robinson reçoivent des visiteurs anglais avec lâarrivĂ©e dâun voilier, le Whitebird », ces derniers apprennent Ă Robinson quâils sont en 1787, cela rendit Robinson Ă©mu, il a vĂ©cu 28 ans dans cette ile et il est maintenant ĂągĂ© de 50 ans mais il se sent encore plus jeune. Les visiteurs et notamment le commandant William Hunter invitent les habitants de lâĂźle pour dĂ©jeuner. LâĂ©quipage du bateau dĂ©truit et incendie lâĂźle. En consĂ©quence, Robinson ne veut pas quitter lâĂźle car il retrouve sur le bateau la mĂ©chancetĂ© des gens qui reflĂšte ce qui se passe dans le monde civilisĂ©. Robinson rencontre Ă©galement Jean, le mousse. Le Whitebird » repart sans Robinson, ni Vendredi. CHAPITRE 35 Robinson, en se rĂ©veillant, va trouver Vendredi mais il nâest pas dans son hamac. Ses objets prĂ©fĂ©rĂ©s ont disparu, ainsi que Anda, la chĂšvre. Robinson fait le tour de lâĂźle pour le retrouver mais ne le trouve pas. Il comprend que Vendredi lâa trahi, il est parti Ă bord du Whitebird ». Il pleure toutes les larmes de son corps. Finalement il sâaperçoit quâil nâest pas tout seul, Jean est restĂ© sur lâĂźle pour lâaccompagner. Robinson le nomme Dimanche. Maintenant que vous avez fini la lecture de ce rĂ©sumĂ© de Vendredi ou la vie sauvage, je vous invite Ă aller faire un tour sur les autres rubriques du site analyse des personnages Robinson et Vendredi questionnaire sur Vendredi ou la vie sauvage Recherches qui ont permis de trouver cet article rĂ©sumĂ© trĂšs dĂ©taillĂ© de vendredi ou la vie sauvageresumĂ© sur vendredi ou la vie sauvagevendredi ou la vie sauvage de michel tournierrĂ©sumĂ© du chapitre 1 de vendredi ou la vie sauvageresume vendredi ou la vie sauvage 5emevendredi ou la vie sauvage chapitre 1vendredi ou la vie sauvage rĂ©sumĂ© courtvendredi ou la vie sauvage rĂ©sumĂ© 5eme Chapitre1 et 2. Le premier chapitre tourne autour des origines du personnage de Gargantua. Pour ce faire, Rabelais nous renvoie Ă son roman Pantagruel. Lâauteur Ă©voque les origines des gĂ©ants trouvĂ©s dans un tombeau de bronze. Rabelais Ă©voque le traitĂ© â Les Bulles dâair immunisĂ©es â trouvĂ© dans ce tombeau. Chapitre I La Vesphalie, le paradis Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes pour le jeune Candide, docile et ingĂ©nu. Le baron de Thunder-ten-tronckh, lâ un des plus puissants seigneurs de la Vestphalie », et probablement son oncle, lâa accueilli dans un chĂąteau protĂ©gĂ© et clos, qui fait rempart Ă toute violence extĂ©rieure. Candide est secrĂštement amoureux de CunĂ©gonde, la fille du baron et de la baronne. La fĂ©licitĂ© est absolue, jusquâau drame Candide et CunĂ©gonde sont surpris par le baron dans leurs Ă©bats, Candide est chassĂ© du paradis, et lâaventure commence. Candide nâaura de cesse de retrouver CunĂ©gonde, objet dâune quĂȘte qui le rĂ©vĂ©lera peu Ă peu Ă lui-mĂȘme. Ă travers les yeux de Candide, le chĂąteau protecteur renvoie Ă un Ăąge dâor oĂč lâabondance et lâĂ©quilibre apparents dispensent dâune rĂ©flexion plus aboutie que la philosophie de Pangloss, prĂ©cepteur de la maison. Ce paradis se rĂ©vĂšle cependant artificiel lâexclusion du hĂ©ros ouvre la boĂźte de Pandore, et lâidĂ©ologie qui animait cet univers ne rĂ©siste pas longtemps aux tempĂȘtes. Voltaire inscrit dâemblĂ©e le conte dans une rĂ©fĂ©rence commune quâil va sâappliquer Ă dĂ©construire Ă travers un voyage oĂč le hĂ©ros se trouve successivement confrontĂ© Ă tous les malheurs du monde, puis aux turpitudes de lâĂąme humaine. Chapitre II Seul et dĂ©semparĂ©, Candide rencontre dans la ville voisine de Valdberghoff-trarbk-dikdorff, Ă la porte dâun cabaret, deux recruteurs de lâarmĂ©e du roi des Bulgares qui lâenrĂŽlent aussitĂŽt, au seul motif que Candide mesure cinq pieds cinq pouces de haut ». AprĂšs des dĂ©buts difficiles, Candide, peu au fait des usages militaires, dĂ©serte avant dâĂȘtre rattrapĂ© et conduit au cachot. Un choix lui est offert ĂȘtre fustigĂ© trente-six fois par tout le rĂ©giment, ou recevoir Ă la fois douze balles de plomb dans la cervelle ». Candide choisit le fouet, puis les balles, avant dâĂȘtre sauvĂ© par le roi des Bulgares, sensible Ă ce jeune mĂ©taphysicien fort ignorant des choses de ce monde ». Chapitre III En Hollande, la guerre Candide, sĂ©duit dans un premier temps par le spectacle de la bataille, se met Ă trembler devant ce qui, Ă ses yeux, devient vite une boucherie hĂ©roĂŻque » qui conduit le hĂ©ros Ă se cacher avant de sâenfuir en enjambant les cadavres. Il arrive en Hollande, tente de mendier pour manger, et rencontre, aprĂšs quelques Ă©changes malheureux sur la religion, lâanabaptiste Jacques qui le nourrit et lui propose un travail dans une manufacture dâĂ©toffes. Il va croiser un gueux tout couvert de pustules »⊠Câest avec une ironie grinçante que Voltaire propose une reprĂ©sentation de la guerre qui dĂ©nonce la brutalitĂ© et lâinconsĂ©quence militaires, tout autant que le dĂ©sastre dâun systĂšme de pensĂ©e en total dĂ©calage avec le monde qu'il tente d'expliquer. Le sujet est dâactualitĂ©, alors mĂȘme que la guerre de Sept Ans 1756-1763 fait rage en Europe et dans les colonies dâAmĂ©rique du Nord les dommages humains considĂ©rables conduiront Ă une rĂ©organisation des forces en prĂ©sence. Chapitre IV Le gueux tout couvert de pustules » se rĂ©vĂšle ĂȘtre Pangloss, Ă bout de forces, malade de la vĂ©role et dans lâincapacitĂ© de se soigner. Il informe Candide de la destruction du chĂąteau aprĂšs son dĂ©part, de la mort du baron, de la baronne, de leur fils, et, surtout, de CunĂ©gonde. Le paradis nâest plus. Candide sâinterroge Ah ! Meilleur des mondes, oĂč ĂȘtes-vous ? », tout en restant fidĂšle aux certitudes de Pangloss qui sâĂ©vertue Ă justifier jusquâĂ la vĂ©role qui le tue. Jacques, le bon anabaptiste, parvient Ă guĂ©rir Pangloss et le prend avec Candide Ă son service. Ils embarquent ensemble pour Lisbonne et affrontent une terrible tempĂȘte Ă lâapproche du port. Lâoptimisme du philosophe est confrontĂ© Ă lâĂ©preuve des faits. Les personnages sâobstinent cependant, ce nâest que le dĂ©but du voyage⊠Chapitre V Lisbonne, au nom de Dieu Les catastrophes sâenchaĂźnent la tempĂȘte anĂ©antit le vaisseau et ses passagers ; lâanabaptiste Jacques pĂ©rit dâavoir aidĂ© un matelot qui le laisse se noyer. Seuls Pangloss et Candide survivent, pour ĂȘtre aussitĂŽt exposĂ©s au tremblement de terre qui dĂ©truit Lisbonne et Ă©crase ses trente mille habitants. Quelle peut ĂȘtre la raison suffisante de ce phĂ©nomĂšne ? » sâinterroge Pangloss. Voltaire met en scĂšne le tremblement de terre de Lisbonne survenu le 1er novembre 1755 lâĂ©vĂ©nement bouleverse profondĂ©ment les mentalitĂ©s. Capitale dâun pays rĂ©putĂ© pour sa foi catholique, Lisbonne ne semblait pas mĂ©riter ce chĂątiment. Pourquoi une pareille catastrophe le jour dâune fĂȘte catholique ? La philosophie du XVIIIe siĂšcle ne s'explique pas une telle manifestation de colĂšre divine. LâInquisition sâacharne, en vain, Ă chercher des coupables. Chapitre VI Afin dâempĂȘcher les tremblements de terre, des hommes sont brĂ»lĂ©s pour des raisons absurdes ; Pangloss et Candide sont proches de subir un sort identique Pangloss est pendu, et Candide, fouettĂ©. Cette cĂ©rĂ©monie nâempĂȘche en rien un nouveau sĂ©isme, le soir mĂȘme. Une parodie de raisonnement tente dâenchaĂźner les liens de cause Ă effet. Mais Candide sâinterroge dans un grand dĂ©sarroi, il voit sâĂ©branler ses certitudes⊠Chapitre VII En mer, lâart du rĂ©cit Candide est sauvĂ© par une vieille femme, personnage symbolique qui revient plusieurs fois au cours du voyage. Comme lâanabaptiste, la vieille lui permet de se soigner, de se nourrir et de sâhabiller. Elle le conduit vers une jeune fille, que Candide dĂ©voile Quel moment ! Quelle surprise ! Il croit voir mademoiselle CunĂ©gonde, il la voyait en effet, câĂ©tait elle-mĂȘme ». Coup de théùtre ! Ce ne sera pas le dernier puisquâĂ la logique de causalitĂ© de Pangloss, la narration oppose la surprise et le retour de personnages qui semblaient, a priori, Ă©cartĂ©s du pĂ©riple. Le dĂ©sastre du chĂąteau est racontĂ© une seconde fois par CunĂ©gonde ; rĂ©cit enchĂąssĂ© qui laisse entrevoir une autre histoire, parallĂšle Ă celle suivie par le lecteur depuis le chapitre II. Le conte sâinscrit dans une tradition qui emprunte Ă la fois au roman dâapprentissage, au rĂ©cit initiatique, sentimental, comique⊠Voltaire sâinspire de ces traditions, pour les dĂ©tourner doublement non seulement il les parodie mais il les rĂ©cupĂšre pour Ă©laborer une pensĂ©e philosophique. Lâauteur joue aussi en virtuose des procĂ©dĂ©s narratifs par le biais des ellipses, des rĂ©cits enchĂąssĂ©s, des changements de perspective qui confĂšrent Ă la narration une densitĂ© de contenu et une libertĂ© de ton. Chapitre VIII CunĂ©gonde se lance dans un rĂ©cit aux nombreuses pĂ©ripĂ©ties suite Ă lâattaque du chĂąteau, elle tombe sous le joug dâun capitaine bulgare qui la revend Ă un trafiquant, Don Issachar. Celui-ci la partage depuis six mois avec le grand inquisiteur. Ces malheurs en sĂ©rie la conduisent Ă remettre en cause la philosophie de Pangloss. Chapitre IX Don Issachar nâapprĂ©cie guĂšre la prĂ©sence de Candide et la perspective dâun second rival il le menace dâun poignard ; Candide brandit une Ă©pĂ©e et abat son adversaire. Lâinquisiteur surgit ; Candide commence Ă raisonner, lâĂ©pĂ©e Ă la main et tue lâinquisiteur. Pour une nature si peu belliqueuse, câest lĂ un changement radical. Candide sâexplique Ma belle demoiselle, [âŠ] quand on est amoureux, jaloux et fouettĂ© par lâInquisition, on ne se connaĂźt plus ». La vieille les exhorte Ă lâaction et ils sâĂ©loignent sur des chevaux andalous avant lâarrivĂ©e de la Sainte-Hermandad, la police rĂ©gionale. Ils gagnent alors la ville dâAvacena dans les montagnes de la Sierra Morena. Chapitre X Les derniĂšres richesses de CunĂ©gonde ont Ă©tĂ© volĂ©es ; le trio est dans lâembarras Quel parti prendre ? », sâinterroge Candide. Ils vendent lâun des trois chevaux et arrivent Ă Cadix. Une flotte sâapprĂȘte Ă partir pour le Paraguay afin de combattre des rĂ©vĂ©rends pĂšres jĂ©suites Candide convainc le gĂ©nĂ©ral de ses compĂ©tences militaires et devient capitaine dâun Ă©quipage. CunĂ©gonde, la vieille, et deux valets embarquent, avec deux chevaux, pour le Nouveau Monde, avec lâespoir que celui-lĂ sera meilleur. Lâespace est clos ; le temps est alors au rĂ©cit la vieille raconte son histoire. Chapitre XI En mer, le malheur des femmes Fille du pape Urbain X et de la princesse de Palestrine, la vieille dĂ©roule son histoire sur le mode superlatif palais, robes, talents, grĂąces⊠tout surpasse en beautĂ© lâunivers de rĂ©fĂ©rence de Candide et CunĂ©gonde, le chĂąteau de Thunder-ten-tronckh. Lâavenir sâannonçait radieux, portĂ© par un mariage prĂ©vu avec le prince souverain de Massa Carrara. Ă cette perspective idyllique rĂ©pond une chute brutale le fiancĂ© meurt, un corsaire attaque, et elle est capturĂ©e avec sa mĂšre. LâarrivĂ©e au Maroc assombrit davantage encore le tableau les combattants sâopposent et se disputent le butin, entraĂźnant la mort de la princesse et de tous les prisonniers, Ă lâexception de la vieille, laissĂ©e pour morte. Non seulement la fidĂ©litĂ© aux priĂšres ne prĂ©munit pas contre les pires horreurs, mais le rĂ©cit souligne encore lâinjustice et le malheur que subissent les femmes. Asservies aux hommes, Ă©loignĂ©es des fonctions sociales, volontiers tenues responsables des misĂšres humaines, elles peinent Ă exister. Quelques annĂ©es avant la RĂ©volution française, Voltaire sâinterroge sur la place des femmes dans la sociĂ©tĂ©. Chapitre XII La vieille poursuit un rĂ©cit qui propose une vision extrĂȘmement sombre de la nature humaine. Elle survit Ă la peste et, vendue comme esclave, passe, au fil des transactions, de Tunis Ă Tripoli, dâAlexandrie Ă Smyrne, de Constantinople Ă Moscou. Elle y perd une fesse en pleine famine, sacrifiĂ©e pour satisfaire les soldats turcs. Devenue la servante de Don Issachar, elle rencontre alors CunĂ©gonde. Trahison, anthropophagie, suicide sont abordĂ©s dans ce pĂ©riple vers le Nouveau Monde autant de questions dĂ©battues au XVIIIe siĂšcle. Lâironie de la narration favorise la construction dâune distance critique. Chapitre XIII Lâhistoire de la vieille fait Ă©cole, et le vaisseau avance au fil du rĂ©cit des voyageurs. Ils arrivent finalement Ă Buenos Aires, et y rencontrent le gouverneur qui sâempresse de demander CunĂ©gonde en mariage. La vieille encourage cette derniĂšre Ă accepter dâĂ©pouser monsieur le gouverneur et de faire la fortune de monsieur le capitaine Candide ». Mais le passĂ© les rattrape, et ils risquent la mort pour avoir tuĂ© le grand inquisiteur. Candide fuit, CunĂ©gonde reste ; leur chemin se sĂ©pare pour la deuxiĂšme fois. Chapitre XIV Candide est accompagnĂ© dans sa fuite par un valet nommĂ© Cacambo. Il avait Ă©tĂ© enfant de chĆur, sacristain, matelot, moine, facteur, soldat, laquais » voilĂ un compagnon de choix pour un Candide en pleine Ă©volution. Homme dâaction plein dâallant, il encourage son maĂźtre quand on nâa pas son compte dans un monde, on le trouve dans un autre ». Au Paraguay, chez les jĂ©suites, Candide reconnaĂźt dans le commandant le frĂšre de CunĂ©gonde, le fils du baron, miraculeusement rescapĂ© du massacre du chĂąteau. Chapitre XV Le fils du baron raconte â Câest la troisiĂšme fois pour le lecteur â lâinvasion du chĂąteau par lâarmĂ©e bulgare et comment, tenu pour mort, il fut sauvĂ© par un jĂ©suite. Les retrouvailles se dĂ©roulent sous les meilleurs auspices, le baron qualifiant Candide de frĂšre » et de sauveur ». Les relations se dĂ©gradent cependant lorsque Candide fait part de son souhait dâĂ©pouser CunĂ©gonde fidĂšle aux valeurs familiales, le baron refuse catĂ©goriquement, car Candide nâa pas les quartiers de noblesse requis. Candide tente dâargumenter et de dĂ©fendre lâattachement de CunĂ©gonde Ă son Ă©gard, mais, devant lâobstination du baron, il nâa dâautre choix que de le tuer. HabillĂ©s en jĂ©suites, Candide et Cacambo parviennent Ă sâenfuir. Chapitre XVI Au Pays des Oreillons, Images de lâautre Tout inquiĂšte en terre inconnue, tout particuliĂšrement l'autre », menaçant par son Ă©trangetĂ©, soupçonnĂ© de mĆurs barbares. Candide abat deux singes Ă la poursuite de deux femmes nues⊠Il s'agit semble-t-il de leurs amants ! Candide et Cacambo sont ligotĂ©s pendant leur sommeil et vont ĂȘtre mangĂ©s par les habitants des lieux, les Oreillons, qui les prennent pour des JĂ©suites. L'agressivitĂ© contre les JĂ©suites qui les ont dĂ©possĂ©dĂ©s de leur territoire tombera dĂšs qu'il sera clair que Candide n'est pas jĂ©suite ils seront dĂšs lors traitĂ©s avec tous les Ă©gards. LĂ oĂč jusqu'alors les EuropĂ©ens voyaient des "sauvages", le siĂšcle des LumiĂšres veut voir des ĂȘtres humains, Ă©gaux en droit quelle que soit leur race. Aussi n'est-ce pas sans ironie que Voltaire dĂ©crit ici les mĆurs les plus extrĂȘmes fantasmĂ©es par les EuropĂ©ens, de l'anthropophagie Ă la zoophilie. Chapitre XVII LâEldorado est dĂ©couvert par Candide et Cacambo au hasard de ce pĂ©riple en AmĂ©rique du Sud. Les expĂ©riences douloureuses du Nouveau Monde ont convaincu Cacambo de retourner en Europe, mais les deux protagonistes nâont dâautres choix que de poursuivre leur route, et sâembarquent Ă lâaventure dans une petite barque en se recommandant Ă la Providence. Le canot finit par se fracasser contre des Ă©cueils qui ouvrent la porte de lâEldorado Câest probablement le pays oĂč tout va bien ; car il faut absolument quâil y en ait un de cette espĂšce », espĂšre Candide. Chapitre XVIII L'Eldorado, utopie et sociĂ©tĂ© idĂ©ale Pas de cour de justice, de parlement, ni de prison dans ce pays, mais un palais des sciences, des libertĂ©s individuelles reconnues, avec interdiction, pour les habitants, de sortir de ce royaume. Candide et Cacambo dĂ©cident pourtant dâen partir, parce que CunĂ©gonde manque Ă lâun dâeux, et que la richesse leur ouvre des perspectives.. Une machine est spĂ©cialement construite pour les conduire de lâautre cĂŽtĂ© des montagnes, accompagnĂ©s de cent moutons chargĂ©s de vivres, de prĂ©sents, dâor et de pierreries. LâEldorado tient une place essentielle dans le conte, puisquâil en marque le milieu, Ă la fois point dâaboutissement dâun parcours et point de dĂ©part du voyage de retour Candide dĂ©couvre un autre modĂšle de gouvernement et de bonheur qui se substitue au chĂąteau initial. Cependant, le lieu, aussi dorĂ© soit-il, ne comble pas toutes les attentes. Entre utopie et construction politique, il reste du chemin Ă parcourir pour crĂ©er son propre jardin la sociĂ©tĂ© idĂ©ale est un sujet dâinterrogation majeur du XVIIIe siĂšcle. Chapitre XIX Le Surinam, lâesclavage Candide et Cacambo quittent lâEldorado chargĂ©s dâor et de rĂȘves. Mais ils perdent vite leurs richesses et doivent renoncer Ă sâacheter un royaume. Aux abords du Surinam, la rencontre avec un esclave noir dans un Ă©tat pitoyable achĂšve de leur enlever leurs illusions. On lâa amputĂ© de la main droite et de la jambe gauche câest Ă ce prix que vous mangez du sucre en Europe ». Ce violent rĂ©quisitoire contre lâesclavage sâinscrit dans un vaste mouvement dâopinion qui dĂ©nonce cette pratique. Il faudra, en France, attendre 1848 pour que lâesclavage soit dĂ©finitivement aboli. Chapitre XX Buenos-Aires, Mal physique, mal moral Candide a chargĂ© Cacambo de passer Ă Buenos Aires pour racheter CunĂ©gonde et la vieille, tandis qu'il se rend directement Ă Venise. DĂ©sespĂ©rĂ© par le vol de ses derniĂšres richesses, il dĂ©cide dâemmener avec lui lâhomme le plus malheureux de la province. Il choisit, parmi une foule de prĂ©tendants, le philosophe Martin. Tandis que le vaisseau vogue vers Bordeaux, les deux compagnons de voyage discutent quinze jours durant, du mal physique et du mal moral. Le combat naval qui sâachĂšve par le naufrage du bateau pirate qui a volĂ© tous les biens de Candide alimente leurs dĂ©bats sâil punit lâimmoralitĂ© du capitaine, il engloutit dans le mĂȘme temps des centaines dâinnocents. Ironie du sort seul un mouton en rĂ©chappe ! Le mal est partout cruautĂ© des hommes, injustice de la religion, dĂ©sastre naturel, incohĂ©rence politique. La question du mal, en Ă©troite relation avec la question de Dieu, alimente toute la rĂ©flexion philosophique du XVIIIe siĂšcle. Chapitre XXI Aux abords des cĂŽtes françaises, Candide expose son projet rejoindre Venise depuis Bordeaux. Nulle curiositĂ© de sa part aprĂšs un mois passĂ© dans lâEldorado, dâautant que les commentaires de Martin sur les Français sont sans appel. Candide veut atteindre lâItalie pour y attendre CunĂ©gonde ; Martin accepte de le suivre pour son argent. La fin du voyage est lâoccasion de questions de Candide Ă Martin sur la pĂ©rennitĂ© du mal et sur la possibilitĂ© du bien. Son raisonnement sâaffine il est question en dernier lieu du libre arbitre. Chapitre XXII Paris, jeux de sociĂ©tĂ© Candide et Martin se rendent finalement Ă Paris. Voltaire met en scĂšne une satire de la vie parisienne en Ă©voquant successivement lâabsence de reconnaissance sociale dont souffrent les actrices, la cruautĂ© des critiques, les jeux dâargent et la perfidie des conversations mondaines dâabord du silence, ensuite un bruit de paroles quâon ne distingue point, puis des plaisanteries dont la plupart sont insipides, de fausses nouvelles, de mauvais raisonnements, un peu de politique et beaucoup de mĂ©disance ». Tout au long du chapitre, Candide est trompĂ© ; il part finalement pour Dieppe puis Portsmouth sans renoncer Ă rejoindre un jour Venise. Le Paris prĂ©sentĂ© est futile et superficiel, mondain et trompeur. Le jeu y occupe une place de choix, en relation avec une sociĂ©tĂ© des LumiĂšres oĂč les jeux dâargent, licites ou illicites, ont envahi lâespace urbain et gagnĂ© toutes les couches de la sociĂ©tĂ©. Les formes en sont variĂ©es cabarets et billards, acadĂ©mies tolĂ©rĂ©es et tripots clandestins, bureaux de loterie⊠Rien Ă voir avec le Paris populaire que mettra en scĂšne la littĂ©rature du XIXe siĂšcle. Chapitre XXIII Sur fond dâexplication de la guerre qui oppose Ă grands frais les armĂ©es anglaise et française pour une terre canadienne fort Ă©loignĂ©e, lâarrivĂ©e Ă Portsmouth coĂŻncide avec lâexĂ©cution dâun amiral qui bouleverse Candide lâhomme pĂ©rit de nâavoir pas provoquĂ© assez de morts en affrontant lâennemi. Candide refuse de descendre du navire et arrange au plus vite un dĂ©part pour Venise, toujours conduit par le dĂ©sir de retrouver CunĂ©gonde. Chapitre XXIV Cacambo et CunĂ©gonde ne sont pas au rendez-vous vĂ©nitien, et Candide sombre dans la mĂ©lancolie, prĂȘt Ă succomber au pessimisme de Martin Que vous avez raison, mon cher Martin ! Tout nâest quâillusion et calamitĂ©. » Les idĂ©es sombres ne rĂ©sistent pas, cependant, Ă la vision plaisante dâun moine thĂ©atin, frĂšre GiroflĂ©e, avec une fille Ă son bras. Celle-ci se rĂ©vĂšle ĂȘtre Paquette, la servante du chĂąteau de Thunder-ten-tronckh. DerriĂšre lâimage du couple amoureux, se cache la sordide histoire dâun moine dĂ©froquĂ© et dâune misĂ©rable prostituĂ©e, ravagĂ©e par la maladie. Candide sâobstine toutefois Ă croire Ă lâamour et continue Ă attendre un improbable retour de CunĂ©gonde. Chapitre XXV Venise, masques et carnaval l'inversion des valeurs Le seigneur vĂ©nitien, Pococurante, un homme qui nâa jamais eu de chagrin », retient lâattention de Candide et de Martin. Il passe en revue la peinture, la musique, lâopĂ©ra, la littĂ©rature, la poĂ©sie, les sciences, le théùtre, la philosophie, les jardins⊠Lâhomme est revenu de tout lâopĂ©ra ? Des chansons ridicules ! Un concerto ? Du bruit qui fatigue tout le monde ! HomĂšre ? Rien que des batailles ! Candide sâinterroge peut-il y avoir du plaisir Ă nâavoir pas de plaisir ? Ville de carnaval, Venise est la ville de lâinversion des valeurs. Voltaire en fait un dĂ©cor de choix pour un personnage blasĂ©, un anti-Casanova dans une ville multiforme, singuliĂšre et inattendue. Chapitre XXVI Venise, pouvoir et rois dĂ©chus Cacambo surgit brusquement au cours dâun dĂźner et rĂ©vĂšle que CunĂ©gonde se trouve Ă Constantinople lui-mĂȘme est esclave et exhorte Candide Ă se tenir prĂȘt au dĂ©part. Ce rebondissement nâest pas la seule surprise dâun Ă©pisode mystĂ©rieux, au cĆur du carnaval de Venise qui inverse les rĂŽles entre maĂźtres et valets. Les six compagnons de Candide et de Martin lors de ce dĂźner se rĂ©vĂšlent ĂȘtre des rois dĂ©chus qui narrent tour Ă tour leur parcours malheureux le sultan Achmet III, Ivan, empereur de toutes les Russies, le roi dâAngleterre, Charles-Edouard, deux rois des Polaques et, enfin, ThĂ©odore, roi de Corse. Tous sont venus Ă Venise pour le Carnaval, et tous sont dĂ©chus de leur pouvoir. Voltaire convoque ici des figures historiques qui incarnent la vanitĂ© et le caractĂšre Ă©phĂ©mĂšre du pouvoir lâĂ©pisode participe de la rĂ©flexion politique du philosophe sur la notion de gouvernement qui constitue lâun des fils conducteurs de Candide, bien sĂ»r, mais aussi du Dictionnaire philosophique. Du systĂšme hiĂ©rarchique aristocratique qui rĂšgne au chĂąteau dont Candide est exclu, Ă lâorganisation communautaire du jardin dont le baron est chassĂ©, câest une rĂ©flexion sur la place de lâindividu dans le systĂšme qui le gouverne et lâĂ©mergence de lâhomme social qui se dĂ©ploie. Chapitre XXVII En route vers Constantinople, Cacambo dĂ©crit la situation de CunĂ©gonde esclave dans la maison dâun ancien souverain sur le rivage de la Propontide, chez un prince qui a trĂšs peu dâĂ©cuelles », elle est devenue horriblement laide ». Candide se soucie peu de cette Ă©volution, mais sâinterroge sur lâusage de la fortune, dilapidĂ©e selon un schĂ©ma dĂ©sormais classique dans le conte rachat de la personne humaine, piraterie, errance, esclavage. Cacambo est rachetĂ© par Candide, et le petit groupe retrouve au hasard de la traversĂ©e le frĂšre de CunĂ©gonde et Pangloss, devenus tous deux galĂ©riens. Les derniers diamants de lâEldorado libĂšrent les deux malheureux, et tous repartent vers la Turquie pour dĂ©livrer CunĂ©gonde. Chapitre XXVIII Le baron et Pangloss racontent leur histoire lâun, rĂ©chappĂ© du coup dâĂ©pĂ©e de Candide, devenu aumĂŽnier avant dâĂȘtre condamnĂ© aux galĂšres ; lâautre, pendu, dissĂ©quĂ©, un temps laquais, avant dâĂȘtre Ă son tour condamnĂ© aux galĂšres. Devant ces injustices nĂ©es de lâintolĂ©rance et de la superstition, Candide, Ă prĂ©sent capable de discernement, interroge Pangloss avez-vous toujours pensĂ© que tout allait le mieux du monde ? ». Pangloss est formel son jugement nâa pas Ă©voluĂ©. Chapitre XXIX Narration des aventures, raisonnement sur les effets et les causes, interrogation sur le mal moral et sur le mal physique, sur la libertĂ© et la nĂ©cessitĂ©, portent les protagonistes jusquâĂ la maison du prince de Transylvanie, oĂč ils retrouvent, enfin, CunĂ©gonde et la vieille. Cacambo avait dit juste CunĂ©gonde est bien laide et Candide sâen Ă©meut avec Ă©lĂ©gance. Le fils du baron nâa pas changĂ© il refuse toujours radicalement une possible union entre CunĂ©gonde et Candide, malgrĂ© les larmes de sa sĆur, et la colĂšre de Candide devant tant dâabsurditĂ© et dâingratitude. Lâapparence de CunĂ©gonde dĂ©tourne dĂ©sormais quiconque de tout dĂ©sir dâunion. Chapitre XXX En Orient, le jardin AttachĂ© Ă une domination aristocratique qui nâa plus cours, le baron sâavĂšre incapable dâĂ©voluer et sâexclut de la nouvelle communautĂ©. Celle-ci, privĂ©e des richesses de lâEldorado, doit trouver en elle-mĂȘme les ressources pour dĂ©velopper, non sans mal, la modeste mĂ©tairie dans laquelle elle sâest installĂ©e. Cacambo en a assez de cultiver les lĂ©gumes ; le caractĂšre de CunĂ©gonde se dĂ©grade ; Pangloss souffre de ne pouvoir briller. Seul, Martin, avec son fatalisme habituel, sâaccommode de la situation. Tous philosophent cependant, alors que Paquette et le frĂšre GiroflĂ©e les rejoignent. La devise dâun bon vieillard turc donne sens Ă ce jardin comme promesse de vie le travail Ă©loigne de nous trois grands maux lâennui, le vice et le besoin. ». Candide la fait sienne et tous lâacceptent chacun se mit Ă exercer ses talents » et la petite sociĂ©tĂ© prend sens. Ce jardin mĂ©taphorique constitue le point dâaboutissement dâun pĂ©riple qui, Ă partir dâun lieu clos et hiĂ©rarchisĂ©, a conduit Ă parcourir un monde extĂ©rieur, hantĂ© par le mal et la violence, et un monde intĂ©rieur plus trouble encore, permettant Ă Candide de se rĂ©vĂ©ler. LâEldorado est dĂ©terminant puisquâil propose lâespoir dâun autre systĂšme social, appuyĂ© sur le consentement collectif. Le jardin, par la place laissĂ©e Ă chacun et la reconnaissance de son travail, ouvre lâespace dâune libertĂ© et dâun bonheur, certes plus modestes mais assurĂ©ment plus fiables. Il faut cultiver notre jardin ! Parcequ'il Ă©tait capucin, il portait une bure grise, parce qu'il fut créé cardinal peu avant sa mort, et qu'on le considĂ©rait aussi puissant que Richelieu, il eut droit au titre d'Ă©minence. La Bastille Cette forteresse a Ă©tĂ© construite de 1370 Ă 1383 pour dĂ©fendre Paris. Elle Ă©tait initialement un vĂ©ritable chĂąteau fort. Elle est transformĂ©e en prison par le cardinal deIlĂ©tait un capitaine a Ă©tĂ© Ă©crit et dessinĂ© par Bertrand Solet. le livre a Ă©tĂ© publiĂ© en 1972. Il mĂ©lange biographie et roman historique. Il mĂ©lange biographie et roman historique. En 1894, un officier français est accusĂ© de trahison envers l'Ătat Major. le Capitaine Dreyfus est jugĂ© coupable.
CHAPITRE I Lâauberge de la Baleine-qui-fume IsmaĂ«l, le narrateur, est mĂ©lancolique. Il a une grande envie de prendre la mer comme matelot sur un baleinier. Il est fascinĂ© par les cachalots et a envie de paysages marins. De Manhattan il se rend Ă New Bedford dans le Massachusetts. Son but est dâaller Ă Nantucket, point de dĂ©part des expĂ©ditions. Il trouve une place dans lâauberge La Baleine-Qui-Fume » dans la mĂȘme chambre quâun harponneur toutes les autres sont complĂštes câest un noir qui arrive des terres du sud Nouvelle-ZĂ©lande. Il a des tĂȘtes Ă vendre. Lorsquâil arrive dans la chambre, il la trouve vide. Il sâinstalle dans le lit et une dizaine de minutes plus tard son co-locataire fait son entrĂ©e. Tout son corps est tatouĂ©, il est chauve. Il se met Ă fumer. IsmaĂ«l est effrayĂ© par ce sauvage » qui se prosterne devant une statuette. Ce dernier, lorsquâil dĂ©couvre la prĂ©sence dâun hĂŽte dans sa chambre, le palpe et lâinterroge, terrorisant le narrateur. Lâaubergiste est appelĂ© au secours mais lorsquâil arrive, il se montre rassurant il nây a rien Ă craindre. CHAPITRE II Une paire dâamis Queequeg, le sauvage, se montre finalement dĂ©licat. Les deux hommes se lient dâamitiĂ©. Le sauvage raconte comment il est devenu matelot son pĂšre Ă©tait roi de la tribu quâil a eu envie de quitter. Il a embarquĂ© de force sur un bateau et est devenu chasseur de baleines. Ensemble, les deux amis rejoignent Nantucket. Ils trouvent Ă se loger dans lâauberge qui appartient aux cousins de celle dans laquelle ils Ă©taient prĂ©cĂ©demment. CHAPITRE III Mon beau navire IsmaĂ«l et son ami rĂ©ussissent Ă trouver une place pour embarquer sur le Pequod, un baleinier dirigĂ© par le capitaine Achab qui a perdu une jambe arrachĂ©e par une baleine. Lâhomme semble vĂ©nĂ©rĂ© par lâensemble de lâĂ©quipage. Son associĂ© est le capitaine Bildad. Le propriĂ©taire du bateau est le capitaine Peleg. Queequeg est engagĂ© plus difficilement que son ami car câest un sauvage, un cannibale. Mais il fait preuve dâun grand talent dans lâusage du harpon et cela lui permet dâentrer dans lâĂ©quipage. CHAPITRE IV Le capitaine Achab 24 dĂ©cembre, il fait trĂšs froid. Le navire quitte le port. Starbuck est le second. Câest un homme maigre dâune trentaine dâannĂ©es. Stubb est le 1er lieutenant, Flask le second, il a un caractĂšre belliqueux. Ce sont les trois hommes importants Ă bord. Ils sont entourĂ©s de trois harponneurs Queequeg, lâindien Tashtego et Daggao, un nĂšgre gigantesque ». Plusieurs jours aprĂšs le dĂ©part, IsmaĂ«l aperçoit enfin Achab, puis le croise de plus en plus rĂ©guliĂšrement. Câest un vieil homme mutilĂ© et angoissĂ©. Une nuit, il se met Ă arpenter le pont, Stubb lui demande sâil peut faire moins de bruit et subit la colĂšre du capitaine. Le lendemain, Achab leur crie quâil y a des baleines prĂšs dâeux. Il Ă©voque mĂȘme la possibilitĂ© dâune baleine blanche, ce que les autres ne croient pas. CHAPITRE V Tout le monde Ă lâarriĂšre Le narrateur dĂ©couvre que le capitaine Achab nâa quâun objectif tuer Moby Dick, le cachalot responsable de la perte de sa jambe. Il promet Ă lâĂ©quipage une piĂšce dâor. Il la traque sans rĂ©pit grĂące aux cartes quâil consulte rĂ©guliĂšrement. Il a constituĂ© une Ă©quipe de quelques hommes qui lâaideront Ă tuer lui-mĂȘme lâanimal. CHAPITRE VI Le jet fantĂŽme Une nuit, Fedallah signale la prĂ©sence dâun cachalot. Achab prĂ©pare le navire pour la chasse. Puis, il rĂ©apparaĂźt rĂ©guliĂšrement de nuit, pour disparaĂźtre aussitĂŽt. Les marins ont de mauvais pressentiments. Le bateau est entraĂźnĂ© dans une tempĂȘte au Cap Bonne EspĂ©rance. Ils croisent le baleinier LâAlbatros qui navigue depuis longtemps. LâĂ©quipage apprend par Achab quâils sont partis pour le tour du monde. Un matin, ils croient voir Moby Dick mais câest un squid », un grand encornet des mers chaudes. Cet animal est associĂ© Ă un mauvais prĂ©sage lorsquâun vaisseau en croise un, il ne rentre jamais Ă son port dâattache. Alors quâil est de vigie, le narrateur aperçoit un gigantesque cachalot. Le navire se lance Ă sa poursuite dans quatre baleiniĂšres. La chasse sâengage et lâanimal est capturĂ© et tuĂ©. Stubb sâen fait servir une tranche et sâen rĂ©gale. CHAPITRE VII FunĂ©railles dâun cachalot Le cachalot est hissĂ© sur le navire pour y ĂȘtre dĂ©coupĂ©, puis sa carcasse est jetĂ©e Ă la mer. Les marins croisent un autre baleinier, le Jeroboam. Son capitaine, accompagnĂ© de Gabriel, un homme qui a la rĂ©putation dâĂȘtre fou, se rapproche du navire Ă bord dâune chaloupe. Il refuse de monter Ă bord car son Ă©quipage est touchĂ© par une Ă©pidĂ©mie. Il raconte quâun de ses marins a affrontĂ© Moby Dick deux ans plus tĂŽt mais quâil y a perdu la vie. Gabriel tente de dissuader Achab de se confronter Ă lâanimal. CHAPITRE VIII La jeune fille La Jeune Fille est le nom dâun autre baleinier quâils croisent dans les parages des Indes. Son capitaine est Derick de Beer. Il monte Ă bord du Pequod pour demander de lâhuile. Il indique quâil voit de moins en moins de baleines. Mais en remontant sur la baleiniĂšre, il entend que des baleines sont visibles en mer et il part immĂ©diatement Ă leur poursuite. Les marins du Pequod mettent Ă lâeau trois embarcations Ă sa suite. Il y a huit baleines. Les embarcations se livrent Ă une course folle Ă la poursuite de la plus grosse â qui est aussi la plus lente â dâentre elles. Ce sont les trois baleiniĂšres du Pequod qui lâattrapent. La jeune Fille repart. Trois jours plus tard, le Pequod poursuit sa route et arrive en Asie. LâĂ©quipage aperçoit de nouveau des cachalots et se lance Ă leur poursuite, mais les marins constatent quâils sont eux-mĂȘmes poursuivis par des pirates malais. Ils finissent par les semer et rattrapent les animaux qui se sont Ă©puisĂ©s. Cependant la chasse dure encore plusieurs heures. Les baleiniers sont finalement encerclĂ©s par les cachalots qui finissent par leur Ă©chapper. Leur bilan est dĂ©cevant ils nâont rĂ©ussi Ă tuer quâune seule bĂȘte. CHAPITRE IX Le Bouton-de-Rose Une quinzaine de jours plus tard, les marins aperçoivent un navire français, Le Bouton-de-rose », qui semble aux prises avec un cachalot. Ils sentent une odeur intolĂ©rable parce que lâanimal est un de ceux qui a Ă©tĂ© blessĂ© par les marins du Pequod prĂ©cĂ©demment. Stubb pense que lâanimal contient de lâambre gris et se lance Ă sa poursuite. Stubb rejoint le Bouton-de-Rose et demande au second de lâĂ©quipage sâil a vu Moby Dick. La rĂ©ponse est nĂ©gative. Leur Ă©change est tendu car Stubb dit Ă lâautre quâil ne tirera rien des cachalots pĂȘchĂ©s car ils sont trop vieux. Pourtant, les hommes sâacharnent sur les corps nausĂ©abonds des animaux Ă bord Ă la demande de leur capitaine. Finalement Stubb et le second sympathisent et montent un coup pour humilier cet homme exigeant et arrogant Stubb lui ment en lui disant que lâĂ©quipage dâun autre navire a perdu des hommes dont le capitaine et un second aprĂšs avoir contractĂ© une fiĂšvre en dĂ©peçant une baleine comme la leur. Les baleines sont remises Ă lâeau est Stubb hisse la carcasse de celle qui lui paraĂźt contenir de lâambre gris. Plus tard, il parvient Ă en extraire la prĂ©cieuse substance. Le navire reprend la route Ă la demande du capitaine Achab. Il prĂ©sente ensuite le hacheur » qui est chargĂ© de dĂ©pouiller lâanimal de sa peau et de rĂ©colter lâhuile provenant de sa chair. Il Ă©voque ensuite le rĂŽle des chaudiĂšres dont on prend grand soin sur le baleinier. Stubb allume un des deux fours du Pequod des morceaux de lard de baleines y sont placĂ©s et se transforment en huile, dĂ©gageant une Ă©paisse fumĂ©e noire dĂ©sagrĂ©able. CHAPITRE X Le doublon Quand il observe le doublon, une piĂšce dâor accrochĂ©e au mĂąt du navire, Achab semble chercher Ă dĂ©chiffrer une prophĂ©tie. Cette piĂšce intrigue plusieurs membres de lâĂ©quipage. Lâun dâentre eux, Lâhomme de lâĂźle de Man », annonce un mauvais prĂ©sage concernant la rencontre du navire et de la baleine blanche, se rĂ©fĂ©rant aux signes du zodiaque. Achab interpelle un navire anglais. Son capitaine lui montre son bras artificiel fait en os de cachalot. IntriguĂ©, Achab fait descendre sa chaloupe mais ne peut monter Ă bord Ă cause de son infirmitĂ©. Le capitaine anglais lâaide avec le crochet Ă dĂ©peçage. Les deux capitaines ont Ă©tĂ© mutilĂ©s suite Ă leur rencontre avec la baleine blanche. A la demande dâAchab, lâAnglais raconte comment il a perdu son bras dans sa confrontation avec lâanimal la queue de la baleine a coupĂ© son canot en deux et lorsque le capitaine sâest lancĂ© Ă sa poursuite, il a Ă©tĂ© gravement blessĂ© au bras par la barbe dâun harpon. Le chirurgien de bord a Ă©tĂ© obligĂ© de lui couper ce membre car la blessure ne cicatrisait pas et il risquait de dĂ©velopper une gangrĂšne. Le bras est remplacĂ© par un os de cachalot et un maillet Ă son extrĂ©mitĂ©. Le capitaine indique Ă Achab que la baleine se dirige vers lâEst. CHAPITRE XI La jambe dâAchab En remontant Ă bord, Achab abime sa jambe dâivoire et charge le charpentier Smut de lui en confectionner une nouvelle, ce que lâautre sâapplique Ă faire. CHAPITRE XII Queequeg dans son cercueil Le Pequod arrive prĂšs du Pacifique lorsque lâĂ©quipage se rend compte quâil y a une fuite dâhuile dans la cale. Si les hommes ne rĂ©parent pas, la cargaison risque dâĂȘtre perdue. Starbuck obtient -avec difficultĂ©- lâautorisation dâouvrir les cales. Queequeg est victime dâune fiĂšvre qui manque de lui coĂ»ter la vie. Il est clouĂ© dans son hamac Ă tel point que tout lâĂ©quipage le croit perdu. Dâailleurs, il demande Ă ĂȘtre enterrĂ© dans ce quâil appelle un canot les coutumes de son pays font que les morts sont placĂ©s dans une pirogue et envoyĂ©s voguer sur les flots. Il ne veut pas de ce sort pour son corps. Le charpentier, Ă la demande dâAchab, lui confectionne un cercueil et lui apporte. Le sauvage lâamĂ©nage confortablement et il sâinstalle dedans avec son petit dieu, son yoyo ». Il en ressort satisfait et, le lendemain, il est guĂ©ri. Son cercueil devient son coffre de rangement. CHAPITRE XIII Le Pacifique ArrivĂ© dans le Pacifique, Achab est plus dĂ©terminĂ© que jamais. Il demande au forgeron de lui faire un harpon avec des clous quâil lui remet et quâil doit fondre. Ils travaillent tous deux pour obtenir le rĂ©sultat voulu par Achab. Il veut lâinstrument parfait pour tuer la baleine blanche. La pointe du harpon est faite de lâacier des rasoirs dâAchab. Ce qui fait dĂ©clarer Ă ce dernier quâil fait le serment de ne plus se raser, de ne plus manger, de ne plus prier, mĂȘme, aussi longtemps que⊠» et il ne termine pas sa phrase. Leur bateau croise Le CĂ©libataire, un baleinier de Nantucket qui fait une tournĂ©e, plein Ă craquer de son chargement. Le capitaine les invite Ă monter Ă bord. Achab refuse, il veut poursuivre sa route et atteindre son but. Le lendemain, la chance leur sourit et ils tuent quatre baleines. Alors que Fedallah est dans une baleiniĂšre avec Achab, il a des visions sur lâissue de leur traque et il voit leur mort. CHAPITRE XiV Le typhon Au voisinage du Japon, le navire doit lutter contre un typhon. La mer est dĂ©chaĂźnĂ©e. Strarbuck a envie de fuir, de retourner en AmĂ©rique. Unr baleiniĂšre est dĂ©foncĂ©e. Achab menace de mort les marins qui feraient une manĆuvre pour faire demi-tour. Rien ne peut lâempĂȘcher de retrouver Moby Dick. Alors que Starbuck entre dans la cabine dâAchab pour faire son rapport, il ne trouve pas le vieux capitaine mais aperçoit son fusil, ce qui lui donne une envie de meurtre. Il prend lâarme mais Ă ce moment Achab se rĂ©veille en hurlant quâil tient Moby Dick. Starbuck replace lâarme Ă sa place et sort de la cabine. Le lendemain, les marins pensent croiser des sirĂšnes en entendant des cris et des plaintes mais ce sont ceux de femelles phoques prĂ©sentes sur des Ăźles rocheuses. Pour les marins, ces animaux portent malheur. Un peu plus tard, un marin tombe du nid-de-pie du mĂąt de misaine et se noie. En voulant le sauver sans succĂšs, lâĂ©quipage perd sa bouĂ©e de sauvetage. Queequed propose le bois de son cercueil pour en confectionner une nouvelle. Le lendemain, les marins pensent croiser des sirĂšnes en entendant des cris et des plaintes mais ce sont ceux de femelles phoques prĂ©sentes sur des Ăźles rocheuses. Pour les marins, ces animaux portent malheur. Un peu plus tard, un marin tombe du nid-de-pie du mĂąt de misaine et se noie. En voulant le sauver sans succĂšs, lâĂ©quipage perd sa bouĂ©e de sauvetage. Queequed propose le bois de son cercueil pour en confectionner une nouvelle. Le jour suivant, ils croisent un navire de fort tonnage, La Rachel. Son capitaine rĂ©pond par lâaffirmative Ă Achab quand il lui demande sâil a vu Moby Dick. Il ajoute quâen voulant la chasser, son Ă©quipage a perdu une de ses embarcations qui a disparu en mer en la poursuivant. Le fils du capitaine se trouve dans cette baleiniĂšre Ă©garĂ©e. Il implore de lâaide Ă Achab pour lâaider Ă retrouver le disparu mais lâautre refuse. Quelques jours plus tard, ils croisent un autre navire, Le Plaisir, et Achab pose la mĂȘme question Ă son capitaine Avez-vous vu la baleine blanche ? » Lâautre lui rĂ©pond quâil a perdu cinq hommes la veille et demande Ă Dieu la protection dâAchab. Starbuck demande une nouvelle fois au capitaine de faire demi-tour, dâabandonner la chasse de Moby Dick. Mais Achab se sent investi dâune mission divine Ă laquelle il ne peut dĂ©roger malgrĂ© le dĂ©sespoir qui lâhabite. CHAPITRE XV La course Ă lâabyme Une nuit, Achab sent la prĂ©sence de Moby Dick. Il avertit les autres et le bateau change de cap pour la rejoindre. Il confectionne lui-mĂȘme un panier pour se hisser le plus haut possible sur le mĂąt de misaine. Puis, fou dâexaltation, il distribue les consignes aux marins pour que la chasse puisse commencer. Ils se lancent Ă sa poursuite et mettent un certain temps Ă la rejoindre. Un spectacle dâune immense beautĂ© sâoffre Ă eux. La baleine plonge et disparait mais tout Ă coup les oiseaux permettent de la situer elle se trouve sous lâembarcation dâAchab et remonde des profondeurs. Avec sa mĂąchoire, elle saisit le plat-bord et se met Ă secouer lentement la coque. Achab, fou de colĂšre, tente de lâempĂȘcher dâagir mais nây parvient pas lâembarcation est coupĂ©e en deux, le capitaine tombe Ă lâeau. Les autres baleiniĂšres ne peuvent intervenir par peur de lâanimal. Les vigies qui ont suivi la scĂšne depuis le Pequod font se diriger le navire sur les lieux. Moby Dick est obligĂ©e de sâĂ©loigner. Achab est hissĂ© dans la baleiniĂšre de Stubb. EpuisĂ©, il perd connaissance. Quand il se rĂ©veille Achab dĂ©cide de chasser la baleine directement depuis le Pequod. Toute la journĂ©e lâĂ©quipage poursuit sans relĂąche lâanimal. Toutes les voiles sont hissĂ©es. Quand le jour se lĂšve, ils lâaperçoivent qui souffle. Ils sont maintenant tous dĂ©terminĂ©s Ă la chasser. ArrivĂ©s prĂšs dâelle, ils mettent les baleiniĂšres Ă la mer et elles sâalignent, celle dâAchab au centre. TrĂšs vite, la baleine mĂšne lâattaque, sâen prenant aux embarcations. Elle en fracasse une partie et plonge au fond de lâeau. Puis, elle sâen prend aux hommes venus secourir ceux en difficultĂ© et envoie voler en lâair lâembarcation du capitaine. Starbuck fait mettre un canot Ă la mer et recueille les hommes et tout le matĂ©riel tombĂ© Ă lâeau. Leurs blessures sont lĂ©gĂšres, Achab a perdu sa jambe artificielle. Fedallah ne rĂ©pond pas Ă lâappel. Achab ne renonce pas Ă la traque et tous dĂ©cident de la reprendre. Il sâagit de tuer cette baleine Ă tout prix. A lâaube du troisiĂšme jour, Achab finit par apercevoir Moby Dick et se lance dans le troisiĂšme affrontement avec sa vieille ennemie. Les embarcations sont mises Ă la mer. Achab et Starbuck sâĂ©treignent, ils savent tous deux quâils courent un grand danger. De nombreux requins tournent autour des baleiniĂšres. Soudain, lâimmense baleine sort de lâeau et les embarcations se lancent Ă lâattaque. Moby Dick se retourne et les charge inlassablement. Achab aperçoit un corps qui flottent Ă la surface de lâeau câest celui de Fedallah. Il ne sâagit plus de renoncer. La baleine semble cependant sâĂ©loigner, puis elle sâimmobilise et Achab plante son harpon dans ses chairs. Lorsquâelle se retourne, un homme tombe Ă la mer. Les marins reprennent la poursuite. Mais elle se retourne encore et fonce cette fois sur lâembarcation dâAchab. Il parvient une nouvelle fois Ă lâatteindre de son harpon mais le fil sâemmĂȘle et, lorsquâil tente de le dĂ©mĂȘler, un anneau le saisit par le cou et il est entraĂźnĂ© dans lâabĂźme. Toutes les embarcations, y compris le Pequod, sont englouties. EPILOGUE Le narrateur a survĂ©cu grĂące Ă la bouĂ©e faite Ă partir du cercueil de Queequed. AprĂšs sây ĂȘtre accrochĂ© alors quâil nageait seul en mer, il a Ă©tĂ© recueilli par le navire Le Rachel.TXdLy.