UnCapitaine de 15 Ans, Chapitre 1/2 Tome 01, Un capitaine de 15 ans, Frédéric Brrémaud, Christophe Picaud, Vents D'ouest. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction ou téléchargez la version eBook.
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Lechapitre 1052 de One Piece. est intitulé « Nouveau Matin « . Sur la page de couverture du chapitre, nous voyons Germa 66 rencontrer César. Comme les frontiÚres restent fermées, il semble que Zunesha ait quitté Wano, ce qui suggÚre que Carotte restera avec les Chapeaux de paille pendant un certain temps.

I MARSEILLE. — L’ARRIVÉE. Le 24 fĂ©vrier 1815, la vigie de Notre-Dame de la Garde signala le trois-mĂąts le Pharaon, venant de Smyrne, Trieste et Naples. Comme d’habitude, un pilote cĂŽtier partit aussitĂŽt du port, rasa le chĂąteau d’If, et alla aborder le navire entre le cap de Morgion et l’üle de Rion. AussitĂŽt, comme d’habitude encore, la plate-forme du fort Saint-Jean s’était couverte de curieux ; car c’est toujours une grande affaire Ă  Marseille que l’arrivĂ©e d’un bĂątiment, surtout quand ce bĂątiment, comme le Pharaon, a Ă©tĂ© construit, gréé, arrimĂ© sur les chantiers de la vieille PhocĂ©e, et appartient Ă  un armateur de la ville. Cependant ce bĂątiment s’avançait ; il avait heureusement franchi le dĂ©troit que quelque secousse volcanique a creusĂ© entre l’üle de Calasareigne et l’üle de Jaros ; il avait doublĂ© PomĂšgue, et il s’avançait sous ses trois huniers, son grand foc et sa brigantine, mais si lentement et d’une allure si triste, que les curieux, avec cet instinct qui pressent un malheur, se demandaient quel accident pouvait ĂȘtre arrivĂ© Ă  bord. NĂ©anmoins les experts en navigation reconnaissaient que si un accident Ă©tait arrivĂ©, ce ne pouvait ĂȘtre au bĂątiment lui-mĂȘme ; car il s’avançait dans toutes les conditions d’un navire parfaitement gouvernĂ© son ancre Ă©tait en mouillage, ses haubans de beauprĂ© dĂ©crochĂ©s ; et prĂšs du pilote, qui s’apprĂȘtait Ă  diriger le Pharaon par l’étroite entrĂ©e du port de Marseille, Ă©tait un jeune homme au geste rapide et Ă  l’Ɠil actif, qui surveillait chaque mouvement du navire et rĂ©pĂ©tait chaque ordre du pilote. La vague inquiĂ©tude qui planait sur la foule avait particuliĂšrement atteint un des spectateurs de l’esplanade de Saint-Jean, de sorte qu’il ne put attendre l’entrĂ©e du bĂątiment dans le port ; il sauta dans une petite barque et ordonna de ramer au-devant du Pharaon, qu’il atteignit en face de l’anse de la RĂ©serve. En voyant venir cet homme, le jeune marin quitta son poste Ă  cĂŽtĂ© du pilote, et vint, le chapeau Ă  la main, s’appuyer Ă  la muraille du bĂątiment. C’était un jeune homme de dix-huit Ă  vingt ans, grand, svelte, avec de beaux yeux noirs et des cheveux d’ébĂšne ; il y avait dans toute sa personne cet air calme et de rĂ©solution particulier aux hommes habituĂ©s depuis leur enfance Ă  lutter avec le danger. — Ah ! c’est vous, DantĂšs ! cria l’homme Ă  la barque ; qu’est-il donc arrivĂ©, et pourquoi cet air de tristesse rĂ©pandu sur tout votre bord ? — Un grand malheur, monsieur Morrel ! rĂ©pondit le jeune homme, un grand malheur, pour moi surtout Ă  la hauteur de Civita-Vecchia, nous avons perdu ce brave capitaine LeclĂšre. — Et le chargement ? demanda vivement l’armateur. — Il est arrivĂ© Ă  bon port, monsieur Morrel, et je crois que vous serez content sous ce rapport ; mais ce pauvre capitaine LeclĂšre
 — Que lui est-il donc arrivĂ© ? demanda l’armateur d’un air visiblement soulagĂ© ; que lui est-il donc arrivĂ©, Ă  ce brave capitaine ? — Il est mort. — TombĂ© Ă  la mer ? — Non, monsieur ; mort d’une fiĂšvre cĂ©rĂ©brale, au milieu d’horribles souffrances. Puis, se retournant vers ses hommes — HolĂ  hĂ© ! dit-il, chacun Ă  son poste pour le mouillage ! L’équipage obĂ©it. Au mĂȘme instant, les huit ou dix matelots qui le composaient s’élancĂšrent les uns sur les Ă©coutes, les autres sur les bras, les autres aux drisses, les autres aux hallebas des focs, enfin les autres aux cargues des voiles. Le jeune marin jeta un coup d’Ɠil nonchalant sur ce commencement de manƓuvre, et, voyant que ses ordres allaient s’exĂ©cuter, il revint Ă  son interlocuteur. — Et comment ce malheur est-il donc arrivĂ© ? continua l’armateur, reprenant la conversation oĂč le jeune marin l’avait quittĂ©e. — Mon Dieu, monsieur, de la façon la plus imprĂ©vue aprĂšs une longue conversation avec le commandant du port, le capitaine LeclĂšre quitta Naples fort agitĂ© ; au bout de vingt-quatre heures, la fiĂšvre le prit ; trois jours aprĂšs il Ă©tait mort
 Nous lui avons fait les funĂ©railles ordinaires, et il repose, dĂ©cemment enveloppĂ© dans un hamac, avec un boulet de trente-six aux pieds et un Ă  la tĂȘte, Ă  la hauteur de l’üle d’el Giglio. Nous rapportons Ă  sa veuve sa croix d’honneur et son Ă©pĂ©e. C’était bien la peine, continua le jeune homme avec un sourire mĂ©lancolique, de faire dix ans la guerre aux Anglais pour en arriver Ă  mourir, comme tout le monde, dans son lit. — Dame ! que voulez-vous, monsieur Edmond, reprit l’armateur qui paraissait se consoler de plus en plus, nous sommes tous mortels, et il faut bien que les anciens fassent place aux nouveaux, sans cela il n’y aurait pas d’avancement ; et du moment que vous m’assurez que la cargaison
 — Est en bon Ă©tat, monsieur Morrel, je vous en rĂ©ponds. Voici un voyage que je vous donne le conseil de ne point escompter pour 25,000 fr. de bĂ©nĂ©fice. Puis, comme on venait de dĂ©passer la tour ronde — Range Ă  carguer les voiles de hune, le foc et la brigantine ! cria le jeune marin ; faites penaud ! L’ordre s’exĂ©cuta avec presque autant de promptitude que sur un bĂątiment de guerre. — AmĂšne et cargue partout ! Au dernier commandement, toutes les voiles s’abaissĂšrent, et le navire s’avança d’une façon presque insensible, ne marchant plus que par l’impulsion donnĂ©e. — Et maintenant, si vous voulez monter, monsieur Morrel, dit DantĂšs voyant l’impatience de l’armateur, voici votre comptable, M. Danglars, qui sort de sa cabine, et qui vous donnera tous les renseignements que vous pouvez dĂ©sirer. Quant Ă  moi, il faut que je veille au mouillage et que je mette le navire en deuil. L’armateur ne se le fit pas dire deux fois. Il saisit un cĂąble que lui jeta DantĂšs, et, avec une dextĂ©ritĂ© qui eĂ»t fait honneur Ă  un homme de mer, il gravit les Ă©chelons clouĂ©s sur le flanc rebondi du bĂątiment, tandis que celui-ci, retournant Ă  son poste de second, cĂ©dait la conversation Ă  celui qu’il avait annoncĂ© sous le nom de Danglars, et qui, sortant de sa cabine, s’avançait effectivement au-devant de l’armateur. Le nouveau venu Ă©tait un homme de vingt-cinq Ă  vingt-six ans, d’une figure assez sombre, obsĂ©quieux envers ses supĂ©rieurs, insolent envers ses subordonnĂ©s ; aussi, outre son titre d’agent comptable, qui est toujours un motif de rĂ©pulsion pour les matelots, Ă©tait-il gĂ©nĂ©ralement aussi mal vu de l’équipage qu’Edmond DantĂšs au contraire en Ă©tait aimĂ©. — Eh bien ! monsieur Morrel, dit Danglars, vous savez le malheur, n’est-ce pas ? — Oui, oui. Pauvre capitaine LeclĂšre ! c’était un brave et honnĂȘte homme ! — Et un excellent marin surtout, vieilli entre le ciel et l’eau, comme il convient Ă  un homme chargĂ© des intĂ©rĂȘts d’une maison aussi importante que la maison Morrel et fils, rĂ©pondit Danglars. — Mais, dit l’armateur, suivant des yeux DantĂšs qui cherchait son mouillage, mais il me semble qu’il n’y a pas besoin d’ĂȘtre si vieux marin que vous le dites, Danglars, pour connaĂźtre son mĂ©tier, et voici notre ami Edmond qui fait le sien, ce me semble, en homme qui n’a besoin de demander des conseils Ă  personne. — Oui, dit Danglars en jetant sur DantĂšs un regard oblique oĂč brilla un Ă©clair de haine, oui, c’est jeune, et cela ne doute de rien. À peine le capitaine a-t-il Ă©tĂ© mort qu’il a pris le commandement sans consulter personne, et qu’il nous a fait perdre un jour et demi Ă  l’üle d’Elbe au lieu de revenir directement Ă  Marseille. — Quant Ă  prendre le commandement du navire, dit l’armateur, c’était son devoir comme second ; quant Ă  perdre un jour et demi Ă  l’üle d’Elbe, il a eu tort ; Ă  moins que le navire n’ait eu quelque avarie Ă  rĂ©parer. — Le navire se portait comme je me porte, et comme je dĂ©sire que vous vous portiez, monsieur Morrel ; et cette journĂ©e et demie a Ă©tĂ© perdue par pur caprice, pour le plaisir d’aller Ă  terre, voilĂ  tout. — DantĂšs, dit l’armateur se retournant vers le jeune homme, venez donc ici. — Pardon, Monsieur, dit DantĂšs, je suis Ă  vous dans un instant. Puis s’adressant Ă  l’équipage — Mouille ! dit-il. AussitĂŽt l’ancre tomba, et la chaĂźne fila avec bruit. DantĂšs resta Ă  son poste, malgrĂ© la prĂ©sence du pilote, jusqu’à ce que cette derniĂšre manƓuvre fĂ»t terminĂ©e ; puis alors Abaissez la flamme Ă  mi-mĂąt, mettez le pavillon en berne, croisez les vergues ! — Vous voyez, dit Danglars, il se croit dĂ©jĂ  capitaine, sur ma parole. — Et il l’est de fait, dit l’armateur. — Oui, sauf votre signature et celle de votre associĂ©, monsieur Morrel. — Dame ! pourquoi ne le laisserions-nous pas Ă  ce poste ? dit l’armateur. Il est jeune, je le sais bien, mais il me paraĂźt tout Ă  la chose, et fort expĂ©rimentĂ© dans son Ă©tat. Un nuage passa sur le front de Danglars. — Pardon, monsieur Morrel, dit DantĂšs en s’approchant ; maintenant que le navire est mouillĂ©, me voilĂ  tout Ă  vous vous m’avez appelĂ©, je crois ? Danglars fit un pas en arriĂšre. — Je voulais vous demander pourquoi vous vous Ă©tiez arrĂȘtĂ© Ă  l’üle d’Elbe ? — Je l’ignore, Monsieur ; c’était pour accomplir un dernier ordre du capitaine LeclĂšre, qui, en mourant, m’avait remis un paquet pour le grand marĂ©chal Bertrand. — L’avez-vous donc vu, Edmond ? — Qui ? — Le grand marĂ©chal ? — Oui. Morrel regarda autour de lui, et tira DantĂšs Ă  part. — Et comment va l’empereur ? demanda-t-il vivement. — Bien, autant que j’ai pu en juger par mes yeux. — Vous avez donc vu l’empereur aussi ? — Il est entrĂ© chez le marĂ©chal pendant que j’y Ă©tais. — Et vous lui avez parlĂ© ? — C’est-Ă -dire que c’est lui qui m’a parlĂ©, Monsieur, dit DantĂšs en souriant. — Et que vous a-t-il dit ? — Il m’a fait des questions sur le bĂątiment, sur l’époque de son dĂ©part pour Marseille, sur la route qu’il avait suivie et sur la cargaison qu’il portait. Je crois que s’il eĂ»t Ă©tĂ© vide, et que j’en eusse Ă©tĂ© le maĂźtre, son intention eĂ»t Ă©tĂ© de l’acheter ; mais je lui ai dit que je n’étais que simple second, et que le bĂątiment appartenait Ă  la maison Morrel et fils. — Ah ! ah ! a-t-il dit, je la connais. Les Morrel sont armateurs de pĂšre en fils, et il y avait un Morrel qui servait dans le mĂȘme rĂ©giment que moi lorsque j’étais en garnison Ă  Valence. — C’est pardieu vrai ! s’écria l’armateur tout joyeux ; c’était Policar Morrel, mon oncle, qui est devenu capitaine. DantĂšs, vous direz Ă  mon oncle que l’empereur s’est souvenu de lui, et vous le verrez pleurer, le vieux grognard. Allons, allons, continua l’armateur en frappant amicalement sur l’épaule du jeune homme, vous avez bien fait, DantĂšs, de suivre les instructions du capitaine LeclĂšre et de vous arrĂȘter Ă  l’üle d’Elbe, quoique, si l’on savait que vous avez remis un paquet au marĂ©chal et causĂ© avec l’empereur, cela pourrait vous compromettre. — En quoi voulez-vous, Monsieur, que cela me compromette ? dit DantĂšs je ne sais pas mĂȘme ce que je portais, et l’empereur ne m’a fait que les questions qu’il eĂ»t faites au premier venu. Mais, pardon, reprit DantĂšs, voici la santĂ© et la douane qui nous arrivent ; vous permettez, n’est-ce pas ? — Faites, faites, mon cher DantĂšs. Le jeune homme s’éloigna, et, comme il s’éloignait, Danglars se rapprocha. — Eh bien ! demanda-t-il, il paraĂźt qu’il vous a donnĂ© de bonnes raisons de son mouillage Ă  Porto-Ferrajo ? — D’excellentes, mon cher monsieur Danglars. — Ah ! tant mieux, rĂ©pondit celui-ci, car c’est toujours pĂ©nible de voir un camarade qui ne fait pas son devoir. — DantĂšs a fait le sien, rĂ©pondit l’armateur, et il n’y a rien Ă  dire. C’était le capitaine LeclĂšre qui lui avait ordonnĂ© cette relĂąche. — À propos du capitaine LeclĂšre, ne vous a-t-il pas remis une lettre de lui ? — Qui ? — DantĂšs. — À moi, non ! En avait-il donc une ? — Je croyais qu’outre le paquet, le capitaine LeclĂšre lui avait confiĂ© une lettre. — De quel paquet voulez-vous parler, Danglars ? — Mais de celui que DantĂšs a dĂ©posĂ© en passant Ă  Porto-Ferrajo ? — Comment savez-vous qu’il avait un paquet Ă  dĂ©poser Ă  Porto-Ferrajo ? Danglars rougit. — Je passais devant la porte du capitaine qui Ă©tait entr’ouverte, et je lui ai vu remettre ce paquet et cette lettre Ă  DantĂšs. — Il ne m’en a point parlĂ©, dit l’armateur ; mais s’il a cette lettre, il me la remettra. Danglars rĂ©flĂ©chit un instant. — Alors, monsieur Morrel, je vous prie, dit-il, ne parlez point de cela Ă  DantĂšs ; je me serai trompĂ©. En ce moment, le jeune homme revenait ; Danglars s’éloigna. — Eh bien, mon cher DantĂšs, ĂȘtes-vous libre ? demanda l’armateur. — Oui, Monsieur. — La chose n’a pas Ă©tĂ© longue. — Non, j’ai donnĂ© aux douaniers la liste de nos marchandises ; et quant Ă  la consigne, elle avait envoyĂ© avec le pilote cĂŽtier un homme Ă  qui j’ai remis nos papiers. — Alors, vous n’avez plus rien Ă  faire ici ? DantĂšs jeta un regard rapide autour de lui. — Non, tout est en ordre, dit-il. — Vous pouvez donc alors venir dĂźner avec nous ? — Excusez-moi, monsieur Morrel, excusez-moi, je vous prie, mais je dois ma premiĂšre visite Ă  mon pĂšre. Je n’en suis pas moins reconnaissant de l’honneur que vous me faites. — C’est juste, DantĂšs, c’est juste. Je sais que vous ĂȘtes bon fils. — Et
 demanda DantĂšs avec une certaine hĂ©sitation, et il se porte bien, que vous sachiez, mon pĂšre ? — Mais je crois que oui, mon cher Edmond, quoique je ne l’aie pas aperçu. — Oui, il se tient enfermĂ© dans sa petite chambre. — Cela prouve au moins qu’il n’a manquĂ© de rien pendant votre absence. DantĂšs sourit. — Mon pĂšre est fier, monsieur, et, eĂ»t-il manquĂ© de tout, je doute qu’il eĂ»t demandĂ© quelque chose Ă  qui que ce soit au monde, exceptĂ© Ă  Dieu. — Eh bien, aprĂšs cette premiĂšre visite, nous comptons sur vous. — Excusez-moi encore, monsieur Morrel ; mais, aprĂšs cette premiĂšre visite, j’en ai une seconde qui ne me tient pas moins au cƓur. — Ah ! c’est vrai, DantĂšs ; j’oubliais qu’il y a aux Catalans quelqu’un qui doit vous attendre avec non moins d’impatience que votre pĂšre c’est la belle MercĂ©dĂšs. DantĂšs sourit. — Ah ! ah ! dit l’armateur, cela ne m’étonne plus, qu’elle soit venue trois fois me demander des nouvelles du Pharaon. Peste ! Edmond, vous n’ĂȘtes point Ă  plaindre, et vous avez lĂ  une jolie maĂźtresse ! — Ce n’est point ma maĂźtresse, monsieur, dit gravement le jeune marin c’est ma fiancĂ©e. — C’est quelquefois tout un, dit l’armateur en riant. — Pas pour nous, Monsieur, rĂ©pondit DantĂšs. — Allons, allons, mon cher Edmond, continua l’armateur, que je ne vous retienne pas ; vous avez assez bien fait mes affaires pour que je vous donne tout loisir de faire les vĂŽtres. Avez-vous besoin d’argent ? — Non, Monsieur ; j’ai tous mes appointements du voyage, c’est-Ă -dire prĂšs de trois mois de solde. — Vous ĂȘtes un garçon rangĂ©, Edmond. — Ajoutez que j’ai un pĂšre pauvre, Monsieur Morrel. — Oui, oui, je sais que vous ĂȘtes un bon fils. Allez donc voir votre pĂšre j’ai un fils aussi, et j’en voudrais fort Ă  celui qui, aprĂšs un voyage de trois mois, le retiendrait loin de moi. — Alors, vous permettez ? dit le jeune homme en saluant. — Oui, si vous n’avez rien de plus Ă  me dire. — Non. — Le capitaine LeclĂšre ne vous a pas, en mourant, donnĂ© une lettre pour moi ? — Il lui eĂ»t Ă©tĂ© impossible d’écrire, Monsieur ; mais cela me rappelle que j’aurai un congĂ© de quinze jours Ă  vous demander. — Pour vous marier ? — D’abord ; puis pour aller Ă  Paris. — Bon, bon ! vous prendrez le temps que vous voudrez, DantĂšs ; le temps de dĂ©charger le bĂątiment nous prendra bien six semaines, et nous ne nous remettrons guĂšre en mer avant trois mois
 Seulement, dans trois mois, il faudra que vous soyez lĂ . Le Pharaon, continua l’armateur en frappant sur l’épaule du jeune marin, ne pourrait pas repartir sans son capitaine. — Sans son capitaine ! s’écria DantĂšs les yeux brillants de joie ; faites bien attention Ă  ce que vous dites lĂ , Monsieur, car vous venez de rĂ©pondre aux plus secrĂštes espĂ©rances de mon cƓur. Votre intention serait-elle de me nommer capitaine du Pharaon ? — Si j’étais seul, je vous tendrais la main, mon cher DantĂšs, et je vous dirais C’est fait ; mais j’ai un associĂ©, et vous savez le proverbe italien Che a compagne a padrone. » Mais la moitiĂ© de la besogne est faite au moins, puisque sur deux voix vous en avez dĂ©jĂ  une. Rapportez-vous-en Ă  moi pour avoir l’autre, et je ferai de mon mieux. — Oh ! monsieur Morrel, s’écria le jeune marin, saisissant, les larmes aux yeux, les mains de l’armateur ; monsieur Morrel, je vous remercie, au nom de mon pĂšre et de MercĂ©dĂšs. — C’est bien, c’est bien, Edmond, il y a un Dieu au ciel pour les braves gens, que diable ! Allez voir votre pĂšre, allez voir MercĂ©dĂšs, et revenez me trouver aprĂšs. — Mais vous ne voulez pas que je vous ramĂšne Ă  terre ? — Non, merci ; je reste Ă  rĂ©gler mes comptes avec Danglars. Avez-vous Ă©tĂ© content de lui pendant le voyage ? — C’est selon le sens que vous attachez Ă  cette question, monsieur. Si c’est comme bon camarade, non, car je crois qu’il ne m’aime pas depuis le jour oĂč j’ai eu la bĂȘtise, Ă  la suite d’une petite querelle que nous avions eue ensemble, de lui proposer de nous arrĂȘter dix minutes Ă  l’üle de Monte-Cristo pour vider cette querelle ; proposition que j’avais eu tort de lui faire, et qu’il avait eu, lui, raison de refuser. Si c’est comme comptable que vous me faites cette question, je crois qu’il n’y a rien Ă  dire et que vous serez content de la façon dont sa besogne est faite. — Mais, demanda l’armateur, voyons, DantĂšs, si vous Ă©tiez capitaine du Pharaon, garderiez-vous Danglars avec plaisir ? — Capitaine ou second, monsieur Morrel, rĂ©pondit DantĂšs, j’aurai toujours les plus grands Ă©gards pour ceux qui possĂ©deront la confiance de mes armateurs. — Allons, allons, DantĂšs, je vois qu’en tout point vous ĂȘtes un brave garçon. Que je ne vous retienne plus allez, car je vois que vous ĂȘtes sur des charbons. — J’ai donc mon congĂ© ? demanda DantĂšs. — Allez, vous dis-je. — Vous permettez que je prenne votre canot ? — Prenez. — Au revoir, monsieur Morrel, et mille fois merci. — Au revoir, mon cher Edmond, bonne chance ! Le jeune marin sauta dans le canot, alla s’asseoir Ă  la poupe, et donna l’ordre d’aborder Ă  la CanebiĂšre. Deux matelots se penchĂšrent aussitĂŽt sur leurs rames, et l’embarcation glissa aussi rapidement qu’il est possible de le faire, au milieu des mille barques qui obstruent l’espĂšce de rue Ă©troite qui conduit, entre deux rangĂ©es de navires, de l’entrĂ©e du port au quai d’OrlĂ©ans. L’armateur le suivit des yeux en souriant, jusqu’au bord, le vit sauter sur les dalles du quai, et se perdre aussitĂŽt au milieu de la foule bariolĂ©e qui, de cinq heures du matin Ă  neuf heures du soir, encombre cette fameuse rue de la CanebiĂšre, dont les PhocĂ©ens modernes sont si fiers, qu’ils disent avec le plus grand sĂ©rieux du monde et avec cet accent qui donne tant de caractĂšre Ă  ce qu’ils disent Si Paris avait la CanebiĂšre, Paris serait un petit Marseille. En se retournant, l’armateur vit derriĂšre lui Danglars, qui, en apparence, semblait attendre ses ordres, mais qui, en rĂ©alitĂ©, suivait comme lui le jeune marin du regard. Seulement, il y avait une grande diffĂ©rence dans l’expression de ce double regard qui suivait le mĂȘme homme.
\n \n il était un capitaine résumé par chapitre
CĂ©tait l’un des plus grands succĂšs de l’annĂ©e, et la frĂ©nĂ©sie manga est toujours aussi forte. Continuez Ă  lire pour en savoir plus sur les scans bruts et la date de sortie des spoilers du Tokyo Revengers Chapitre 251 et un rĂ©capitulatif du chapitre 250 . ConsidĂ©rez les spĂ©cificitĂ©s du dernier chapitre 251 en ligne. Table des matiĂšres. Tokyo RĂ©sumĂ© Chapitre XXVIII – Nous saisissons le navire AprĂšs avoir vaincu les mutins, CrusoĂ© dĂ©cide qu’il est temps de s’emparer du navire et il informe le capitaine de ses plans. Le capitaine est d’accord. CrusoĂ© et le capitaine intimident les mutins captifs avec un rapport fictif selon lequel le gouverneur de l’üle a l’intention de tous les exĂ©cuter mais pardonnerait Ă  la plupart d’entre eux s’ils aidaient Ă  saisir le navire. Pour garantir les promesses des hommes, CrusoĂ© garde cinq otages. Le plan fonctionne le capitaine rebelle du navire est tuĂ© et le navire est rĂ©cupĂ©rĂ©. Lorsque CrusoĂ© aperçoit le navire, il s’évanouit presque sous le choc. En signe de gratitude, le capitaine offre Ă  CrusoĂ© des cadeaux de vin, de nourriture et de vĂȘtements. Les mutins se voient offrir la possibilitĂ© de rester sur l’üle afin d’éviter certaines exĂ©cutions pour mutinerie en Angleterre. Avec gratitude, ils acceptent. Le 19 dĂ©cembre 1686, CrusoĂ© monte Ă  bord du navire avec son argent et quelques biens et met les voiles pour l’Angleterre aprĂšs vingt-huit ans sur l’üle. De retour en Angleterre, CrusoĂ© dĂ©couvre que la veuve qui a gardĂ© son argent est vivante mais pas prospĂšre. La famille de CrusoĂ© est morte, Ă  l’exception de deux sƓurs et des enfants d’un frĂšre. CrusoĂ© dĂ©cide de se rendre Ă  Lisbonne pour chercher des informations sur ses plantations au BrĂ©sil. RĂ©sumĂ© Chapitre XXIX – Je trouve ma richesse tout sur moi Il est impossible d’exprimer ici les battements de mon cƓur mĂȘme. . . quand j’ai trouvĂ© toute ma richesse sur moi. ArrivĂ© Ă  Lisbonne, CrusoĂ© regarde son vieil ami et bienfaiteur, le capitaine portugais qui l’a emmenĂ© le premier au BrĂ©sil. Le capitaine portugais dit Ă  CrusoĂ© que ses terres brĂ©siliennes ont Ă©tĂ© placĂ©es en fiducie et ont Ă©tĂ© trĂšs rentables. Le capitaine est redevable Ă  CrusoĂ© d’une somme importante qu’il rembourse partiellement sur place. CrusoĂ©, Ă©mu par l’honnĂȘtetĂ© du capitaine, rend une partie de l’argent. En obtenant une lettre notariĂ©e, CrusoĂ© est en mesure de transfĂ©rer ses investissements brĂ©siliens en son propre nom. Il se retrouve en possession d’une grande fortune. CrusoĂ© envoie des cadeaux en argent Ă  son amie veuve et Ă  ses deux sƓurs. TentĂ© de dĂ©mĂ©nager au BrĂ©sil, CrusoĂ© se prononce contre l’idĂ©e car il hĂ©site Ă  devenir catholique. Il dĂ©cide de retourner en Angleterre, mais il refuse de voyager par mer, retirer ses bagages de trois navires diffĂ©rents au dernier moment. Il apprend plus tard que deux de ces navires sont soit pris par des pirates, soit fondus. CrusoĂ© dĂ©cide de se rendre Ă  terre, rassemblant un groupe de voyageurs d’EuropĂ©ens et de leurs serviteurs. RĂ©sumĂ© Chapitre XXX – Nous traversons les montagnes CrusoĂ© et son groupe partent de Lisbonne et atteignent la ville espagnole de Pampeluna Pampelune Ă  la fin de l’automne, et CrusoĂ© trouve le froid presque insupportable. La neige est excessive, obligeant le groupe Ă  rester plusieurs semaines Ă  Pampelune. Le 15 novembre, ils se dirigent enfin vers la France, malgrĂ© les intempĂ©ries. Ils rencontrent trois loups et un ours dans les bois. Vendredi tue un loup et chasse les autres. Vendredi amuse Ă©galement le groupe en taquinant l’ours avant de le tuer. En continuant, le groupe rencontre un cheval effrayĂ© sans cavalier, puis trouve les restes de deux hommes qui ont Ă©tĂ© dĂ©vorĂ©s par des loups. Trois cents loups entourent bientĂŽt le groupe de CrusoĂ©. Le groupe tire sur les loups et les effraie avec une explosion de poudre Ă  canon, les chassant finalement. ArrivĂ© enfin Ă  Toulouse, en France, CrusoĂ© apprend que l’évasion de son groupe des loups Ă©tait pratiquement miraculeuse. RĂ©sumĂ© Chapitre XXXI – Je revisite mon Ăźle CrusoĂ© atterrit en toute sĂ©curitĂ© Ă  Douvres, en Angleterre, le 14 janvier . Il dĂ©pose ses effets personnels chez son amie veuve, qui prend bien soin de lui. CrusoĂ© envisage de retourner Ă  Lisbonne et de partir de lĂ  au BrĂ©sil, mais il est une fois de plus dissuadĂ© par des prĂ©occupations religieuses. Il dĂ©cide de rester en Angleterre, donnant l’ordre de vendre ses investissements au BrĂ©sil. Cette vente gagne CrusoĂ© la grande fortune de 33 , 000 piĂšces de huit. Puisque CrusoĂ© n’est attachĂ© Ă  aucun membre de la famille et est habituĂ© Ă  une vie errante, il pense Ă  nouveau Ă  quitter l’Angleterre, bien que la veuve fasse tout ce qu’elle peut pour le dissuader. CrusoĂ© se marie, mais aprĂšs la mort de sa femme, il dĂ©cide de se diriger vers les Indes orientales en tant que commerçant privĂ© en 1694. Au cours de ce voyage, il revisite son Ăźle. CrusoĂ© constate que les Espagnols qui y sont restĂ©s ont subjuguĂ© les mutins, les traitant avec bontĂ©. CrusoĂ© leur offre du bĂ©tail, des fournitures et mĂȘme des femmes. La colonie a survĂ©cu Ă  une invasion cannibale et prospĂšre maintenant. Analyse chapitres XXVIII Ă  XXXI Les derniers chapitres nous obligent Ă  réévaluer l’évasion de l’üle dont CrusoĂ© a passĂ© des dĂ©cennies Ă  rĂȘver. Il est ironique qu’il ait aspirĂ©, complotĂ© et travaillĂ© pour quitter l’üle, mais quand il le fait enfin, le retour Ă  la maison semble curieusement insatisfaisant. On pourrait imaginer que l’Europe se sent en sĂ©curitĂ© et Ă  l’aise avec lui aprĂšs son Ă©preuve, mais le contraire est vrai en Espagne, CrusoĂ© fait face Ă  des intempĂ©ries, Ă  un ours et Ă  300loups affamĂ©s. Son Ăźle avec son Ă©crin semble positivement luxueuse en comparaison. L’Europe n’offre pas non plus Ă  CrusoĂ© la sociĂ©tĂ© humaine dont il a rĂȘvĂ© en tant que naufragĂ©. La veuve et le capitaine portugais sont gentils, mais nous sentons qu’ils ne lui offrent pas l’amour et l’affection intense que vendredi lui montre. Quand CrusoĂ© se marie en Angleterre, il semble indiffĂ©rent Ă  sa femme, dont il ne prend mĂȘme pas la peine de nous dire le nom. Bref, sans pas de famille» et peu de relations», et peu intĂ©ressĂ© Ă  forger de nouvelles relations, CrusoĂ© semble presque aussi isolĂ© en Angleterre que sur son Ăźle. Defoe nous invite ainsi Ă  nous demander si CrusoĂ© aurait Ă©tĂ© plus heureux s’il Ă©tait restĂ© pour toujours dans son petit royaume et nous fait douter de la valeur du retour Ă  la civilisation que CrusoĂ© pense dĂ©sirer. La dimension religieuse de l’épreuve de CrusoĂ© atteint son apogĂ©e dans son salut final et sa rĂ©compense. CrusoĂ© rĂ©cupĂšre si facilement sa fortune antĂ©rieure – et, en fait, la trouve si immensĂ©ment multipliĂ©e – que la restauration de ses biens ressemble plus Ă  une aubaine miraculeuse – manne du ciel – qu’à une simple bonne chance. Nous sentons que CrusoĂ© imagine que Dieu le rĂ©compense pour sa patience dĂ©vouĂ©e, surtout quand il se compare explicitement Ă  Job Je pourrais bien dire maintenant, en effet, que la derniĂšre fin de Job Ă©tait meilleure que le dĂ©but. Pour CrusoĂ©, le naufrage, les dĂ©cennies d’isolement et le sauvetage final n’ont pas Ă©tĂ© simplement des Ă©vĂ©nements d’une longue histoire d’aventures, comme les enfants le lisent aujourd’hui, mais des Ă©lĂ©ments d’un rĂ©cit religieux ou moral d’instruction. Plus prĂ©cisĂ©ment, il s’agit d’un conte protestant, mettant l’accent sur les vertus d’indĂ©pendance, d’auto-examen, et un travail acharnĂ©. CrusoĂ© souligne cet aspect protestant en mentionnant Ă  deux reprises qu’il ne va pas au BrĂ©sil parce qu’il devrait s’y convertir et y vivre en catholique. Implicitement, CrusoĂ© fait de sa survie une preuve de l’approbation de Dieu pour sa foi particuliĂšre. L’histoire de CrusoĂ© est souvent lue dans les temps modernes comme une allĂ©gorie du colonialisme, et il y a beaucoup dans les derniers chapitres pour dĂ©fendre ce point de vue. L’assujettissement de vendredi Ă  CrusoĂ© reflĂšte les relations raciales coloniales, en particulier dans la conviction inconditionnelle de CrusoĂ© qu’il aide vendredi en faisant de lui un serviteur. De plus, la terminologie coloniale apparaĂźt. Lorsqu’ils ont affaire aux mutins hostiles, CrusoĂ© et le capitaine les intimident en se rĂ©fĂ©rant Ă  un gouverneur» fictif de l’üle qui les punira sĂ©vĂšrement. Cette fiction d’un gouverneur prĂ©figure le gouverneur trĂšs rĂ©el qui sera sans doute installĂ© sur l’üle Ă  terme, puisque CrusoĂ© a apparemment revendiquĂ© le territoire de l’Angleterre. La prospĂ©ritĂ© de l’üle aprĂšs le dĂ©part de CrusoĂ© est soulignĂ©e dans le dernier chapitre ce n’est plus un terrain vague, comme Ă  son arrivĂ©e, mais une communautĂ© florissante avec des femmes et des enfants. Cette notion d’apporter triomphalement les bĂ©nĂ©dictions de la civilisation Ă  un lieu dĂ©solĂ© et sous-dĂ©veloppĂ© Ă©tait un thĂšme commun de la pensĂ©e coloniale europĂ©enne. En effet, CrusoĂ© fait explicitement rĂ©fĂ©rence Ă  cette communautĂ© comme ma nouvelle colonie dans l’üle», ce qui nous amĂšne Ă  nous demander s’il la considĂšre vraiment comme sa propre, et s’il s’agit officiellement d’une colonie ou simplement au sens figurĂ©. En tout cas, CrusoĂ© a transformĂ© son histoire de la survie d’un homme en un conte politique rempli de ses propres idĂ©es sur l’impĂ©rialisme.
ThĂ©rĂšseRaquin rĂ©sumĂ© : Chapitre 1 : Dans la rue de GuĂ©nĂ©gaud, il y a un passage qui s’appelle « le pont neuf » qui va de la rue Mazarine Ă  la rue de Seine. A gauche de la rue
Parfois, les Ă©tudiants ont l’impression qu’ils sont tropensemble. Si vous n'avez pas eu le temps de lire plusieurs chapitres volumineux du livre, une nouvelle rĂ©daction vous aidera. Ceci s'applique Ă©galement au roman "To Kill a Mockingbird". Le rĂ©sumĂ© du travail sera une vraie bouĂ©e de sauvetage, si vous avez besoin de comprendre en 10 minutes en quoi consiste ce travail structure et le dĂ©but du livreLe roman To Kill a Mockingbird», dont vous allez apprendre tout de suite le rĂ©sumĂ©, a Ă©tĂ© inventĂ© par l'Ă©crivain anglais Harper Lee. Il a Ă©tĂ© publiĂ© pour la premiĂšre fois en livre se compose de 31 chapitres et est divisĂ© en 2 parties. Le premier comprend les chapitres 1 Ă  11 et le second, les chapitres 12 Ă  dit que les avocats ont Ă©galement Ă©tĂ© une foisCe n’est pas un hasard, car le centre du rĂ©cit est la famille de l’avocat Attikus Finch et de ses enfants - l’aĂźnĂ© Jim et la plus jeune fille Louise, que tout le monde a surnommĂ©s premier chapitre du livre "To Kill a Mocking Bird",Un rĂ©sumĂ© dont vous avez lu le rĂ©cit, nous apprenons qu'au dĂ©but de l'histoire, le garçon avait environ 10 ans et la fille environ six ans. Les enfants n'avaient pas de mĂšre, elle est morte quand Louise a eu 2 ans. Elle a Ă©tĂ© remplacĂ©e par leur pĂšre et frĂšre Atticus Finch, aidĂ© par la femme de chambre noire de l'Ă©pouvantail RadleyCet Ă©tĂ© pour eux dans la petite ville de Maycomb, Ă voisin, arrivĂ© neveu Dill. Il a dit qu'il avait 7 ans. Les enfants sont rapidement devenus amis, Jim et Glazier ont parlĂ© Ă  une nouvelle connaissance de la maison de l'Ă©pouvantail Radley. Selon la rumeur, un mauvais esprit y vivait, qui sortait la nuit et commettait des crimes mineurs. Ils ont Ă©galement dit que lorsque Radley Ă©tait adolescent, il se retrouvait dans une mauvaise compagnie. Ensuite, les jeunes hommes de ce groupe sont allĂ©s Ă  l'Ă©cole, ont fait leurs Ă©tudes et le pĂšre de Radley l'a enfermĂ© Ă  la maison et ne l'a plus lĂąchĂ©e fois l'Ă©pouvantail, dont le vrai nom est Arthur,il a dĂ©coupĂ© des images avec des ciseaux, son pĂšre est passĂ©. Le fils plongea les ciseaux dans sa jambe, les sortit et continua Ă  faire son travail, comme si de rien n'Ă©tait. L'aĂźnĂ© Radley n'a pas appelĂ© la police, mais a pu parler Ă  son fils de telle sorte qu'il a cessĂ© de sortir du tout et que personne ne l'ait vu depuis 15 Ă©tait tellement choquĂ©e par ces rumeurs qu'il se disputaitcouru Ă  la porte, se prĂ©cipita chez Radley et courut en arriĂšre. Avec cela, il prouva Ă  ses nouveaux amis qu'il Ă©tait courageux. Ceci conclut le premier chapitre du roman de Harper Lee, To Kill a Mocking Bird, un bref rĂ©sumĂ© du travail que nous passons au sont les chapitres 2, 3 et 4 chapitresAu dĂ©but de septembre, Dill est rentrĂ© chez lui et Glazastik est passĂ©e en premiĂšre annĂ©e. Le premier jour, ce n’était pas sans incidents, mais ils tĂ©moignaient de la gentillesse d’une Ă  la rĂ©crĂ©ation les enfants ont le petit dĂ©jeuneramenĂ© de chez lui, Walter Cunningham est un enfant mal habillĂ© qui n'a rien mangĂ©. Le professeur voulait lui prĂȘter de l'argent pour le dĂ©jeuner, mais il ne l'a pas pris, a-t-elle insistĂ©. Ensuite, Louise a essayĂ© d'expliquer Ă  l'enseignant que le garçon du clan Cunningham Ă©tait pauvre, qu'ils ne pouvaient pas donner de l'argent et que l'enseignant n'avait pas besoin de broussailles. Louise pensait qu'ils ne pourraient payer qu'avec des produits naturels, mais Mlle Caroline, l'enseignante mĂ©contente, frappa lĂ©gĂšrement la fille sur ses mains avec une rĂšgle. C'Ă©tait une n'Ă©tait pas douloureux, mais offensivement, alors les grands yeuxa volĂ© Ă  la rĂ©crĂ©ation sur Walter et a commencĂ© Ă  fourrer son nez dans le sol. SauvĂ© Kaningema Jim, qui l'a appelĂ© Ă  dĂźner. AprĂšs avoir mangĂ©, les enfants sont retournĂ©s Ă  l'Ă©cole. Mais Louise n’a pas aimĂ© cela lĂ -bas, car l’enseignante a dit qu’elle lisait de maniĂšre incorrecte, bien que cette fille ait Ă©tĂ© instruite par son pĂšre apprenons cela du chapitre 3 de la premiĂšre partie du livre."Pour tuer un oiseau moqueur." Le rĂ©sumĂ© passe immĂ©diatement au quatriĂšme. Elle raconte que la fillette a commencĂ© Ă  trouver des cadeaux petits mais agrĂ©ables dans le creux de l'arbre - chewing-gum, de vieilles piĂšces de monnaie dans une boĂźte, et plus tard au chapitre 7 - des poupĂ©es en bois, l'une Ă©tait comme elle, la seconde Ă©tait comme un frĂšre. En fin de compte, nous apprenons ce que le monstre leur a au huitiĂšme chapitresAu chapitre cinq, nous rencontrons un autre - Miss Modi. Elle leur a dit quel homme Atticus, brave et respectĂ©. Avant cela, Gelazier ne savait pas qu'il Ă©tait un tireur d'Ă©lite trĂšs sixiĂšme chapitre porte des astucesles enfants qui se trouvaient encore dans le jardin de Radley, tandis que Jim laissait le pantalon sous la clĂŽture quand il l'escaladait. Quelle a Ă©tĂ© la surprise de son frĂšre et de sa soeur, quand le lendemain matin ils ont trouvĂ© un pantalon que quelqu'un cousait, caressait et soigneusement suspendu Ă  la Ă  la fin, nous apprendrons que le bon l’a En attendant, nous nous tournons vers les Ă©vĂ©nements suivants du livre "To Kill a Mockingbird". Un rĂ©sumĂ© des chapitres est venu Ă  la 7Ăšme partie, qui dit que Louise est entrĂ©e en 2e annĂ©e. La huitiĂšme dira Ă  quel point la neige est tombĂ©e si rare dans ces endroits et les enfants en ont sculptĂ© la neige et la 9-11Au chapitre 9, Louise apprend pour la premiĂšre fois que son pĂšre estle tribunal dĂ©fendra le nĂšgre et beaucoup ne l’approuvĂšrent pas. La jeune fille dĂ©fendit le nom de son pĂšre, comme elle le pouvait, battant Ă  coups de poing contre des camarades qui insultaient Attikus. Le dixiĂšme chapitre expliquera comment il pourrait tirer de loin et se faire piĂ©ger par un chien enragĂ© afin de sauver les habitants de la chapitre 11, le pĂšre enseignait les bonnes - il a dit que Jim, qui avait piĂ©tinĂ© les camĂ©lias de Mme Dubose, allait maintenant la lire tous les jours. Le garçon l'a fait parce qu'elle a Ă©galement parlĂ© du pĂšre de son pĂšre. Lorsque la vieille femme en phase terminale est dĂ©cĂ©dĂ©e, une boĂźte de camĂ©lia a Ă©tĂ© remise Ă  Jim. Ceci termine le chapitre 11 et la partie 1 de Harper's Kill a Mocking Bird. RĂ©sumĂ© parle de la deuxiĂšme partie du romanLes lecteurs apprendront que le nĂšgre Tom RobinsonaccusĂ© d'avoir violĂ© la fille Mayella. MĂȘme au moment de l'enquĂȘte, son pĂšre, Bob Ewell, a persuadĂ© les deux hommes, qui sont arrivĂ©s au poste de police pour engager des poursuites. Mais le courageux Atticus Finch a dĂ©couvert le complot et a dĂ©cidĂ© d'ĂȘtre de service. Jim et Louise sont venus en secret aprĂšs le pĂšre. La fille immĂ©diate a sauvĂ© Atticus. Elle a vu Walter Cunningham dans la foule et a dit qu'elle Ă©tudiait avec son fils dans la mĂȘme classe, qu'elle Ă©tait amie et qu'il Ă©tait Ă  leur dĂźner. Elle a pu toucher le cƓur d'un homme, il a dit aux pirates de l'air de rentrer chez par hasard, les enfants sont allĂ©s au tribunal. Mon pĂšre ne voulait pas cela, car le sujet n’est pas destinĂ© aux oreilles des enfants. Un avocat avisĂ© a rĂ©ussi Ă  dĂ©truire tous les arguments de l'accusation et Ă  prouver que Tom Robinson n'Ă©tait pas en il ne pouvait pas pardonner Ă  Bob Ewell. Il a attaquĂ© les enfants de l'avocat alors qu'ils sortaient du bal costumĂ© de l'Ă©cole et les ont attaquĂ©s. Louise a Ă©tĂ© sauvĂ©e par son costume de citrouille inconfortable, mais plutĂŽt durable, et par Jim Felishen Redley. Au combat, Ewell a Ă©tĂ© tuĂ©, mais le shĂ©rif n'a pas engagĂ© de procĂ©dure, il a dit Ă  tout le monde que Bob Ă©tait tombĂ© sur son travail se termine de maniĂšre trĂšs Ă©mouvante - la jeune fille prend la main de leur sauveur, le Peur de Radley, l'escorte chez elle et parle comme un vieil termine la relecture du livre "To Kill a Mockingbird". RĂ©sumĂ© en anglais, les Ă©tudiants peuvent faire eux-mĂȘmes, il suffit de traduire cet article.

LesTrois Mousquetaires est le plus célÚbre des romans d'Alexandre Dumas pÚre, initialement publié en feuilleton dans le journal Le SiÚcle de mars à juillet 1844, puis édité en volume dÚs 1844 aux éditions Baudry et réédité en 1846 chez J. B. Fellens et L. P. Dufour avec des illustrations de Vivant Beaucé.Il est le premier volet de la trilogie romanesque

Le rĂ©sumĂ© trĂšs dĂ©taillĂ© de Vendredi ou la vie sauvage chapitre par chapitre Vous pouvez commander Vendredi ou la vie sauvage sur amazon dĂšs maintenant ! Si vous prĂ©fĂ©rez un rĂ©sumĂ© de Vendredi ou la vie sauvage moins dense, je vous conseille d’aller lire la liste des Ă©vĂšnements principaux du livre. CHAPITRE 1 Une terrible tempĂȘte prĂ©cipite la galiote Virginie » sur laquelle voyage Robinson. Le bateau se trouve dans la rĂ©gion de l’Archipel Juan Fernandez, au large des cĂŽtes du Chili. Le capitaine Van Deysel et Robinson sont en train de jouer aux cartes. Naufrage. CHAPITRE 2 Robinson est le seul survivant et a mal Ă  l’épaule. Il reprend connaissance et constate qu’il est sur une Ăźle dĂ©serte. Il rencontre un bouc qui semble Ă©tonnĂ©, le bouc baisse la tĂȘte et grogne. Triste et fatiguĂ©, il s’endort aprĂšs avoir mangĂ© un ananas. CHAPITRE 3 Robinson est rĂ©veillĂ© par les premiers rayons du soleil et fait cuire le cadavre du bouc qui il a tuĂ© la veille. CHAPITRE 4 Changement d’attitude, Robinson visite la Virginie et prend tout le matĂ©riel dont il aura besoin pour construire une embarcation assez importante pour rejoindre le Chili et la nomme par avance L’Evasion ». Il trouve une bible dans la cabine du second en plus des outils. CHAPITRE 5 Robinson se met au travail sans oublier de surveiller l’horizon en espĂ©rant la survenue d’un navire. Le bateau est terminĂ© mais comme il est lourd, il ne peut le dĂ©placer. CHAPITRE 6 DĂ©couragĂ© par l’échec de L’Evasion », Robinson s’enfonce dans la boue comme les pĂ©caris et les Ă©manations lui troublent l’esprit. Il fait des hallucinations, il voit sa sƓur morte depuis deux ans sur une galĂšre imaginaire. CHAPITRE 7 Robinson comprend qu’il doit s’habituer Ă  vivre sur l’üle, alors il dĂ©cide de construire une petite maison et d’élever des animaux domestiques de la forĂȘt et il est heureux de retrouver Tenn, le chien de la Virginie. Il se sert de l’encre contenue dans le ventre d’un poisson pour Ă©crire son journal. CHAPITRE 8 Le hĂ©ros donne des lois Ă  l’üle qu’il baptise Speranza » sur un livre rĂ©cupĂ©rĂ© Ă  bord de la Virginie. Robinson reçoit ses premiers visiteurs, des Indiens redoutable qui sont venus pour tuer l’un d’eux qui est responsable d’un malheur qui a frappĂ© la tribu. AprĂšs avoir terminĂ© les Indiens quittent l’üle. CHAPITRE 9 Robinson se prĂ©pare contre les attaques qui pourraient ĂȘtre effectuĂ©es par des Ă©trangers. En parallĂšle Ă  ces opĂ©rations militaires, Robinson effectue des rĂ©parations et fait la rĂ©colte des cĂ©rĂ©ales pour manger son premier pain sur l’üle. Mais l’abondance des cĂ©rĂ©ales l’oblige Ă  lutter contre les rats qu’il arrive Ă  vaincre. CHAPITRE 10 Robinson se sent seul et triste, il ne parvient plus Ă  sourire mais il peut compter que l’aide de Tenn qui le lui rĂ©apprend. CHAPITRE 11 Robinson organise et civilise son Ăźle. Il a Ă©galement de nombreuses tĂąches quotidiennes Ă  remplir. CHAPITRE 12 Robinson dĂ©cide d’aller explorer le fond de la grotte oĂč il met ce qu’il a de prĂ©cieux. Suite Ă  la disparition de la lumiĂšre il trouve un trou dans une cheminĂ©e oĂč il s’était glissĂ© aprĂšs s’ĂȘtre frottĂ© le corps avec du lait caillĂ©. Il y perd la notion du temps car il imagine qu’il est prĂšs de sa famille et c’est lĂ  qu’il comprend qu’il doit sortir du trou. CHAPITRE 13 Robinson entame la fabrication d’une clepsydre, horloge qui donne l’heure grĂące Ă  de l’eau et un contenant graduĂ©. Il attaque Ă©galement la mise en place dune riziĂšre. Il voit Ă©galement la fumĂ©e blanche dans le ciel, signe d’une nouvelle victime indienne et il comprend qu’il doit faire face Ă  la deuxiĂšme visite des indiens. L’indien arrive Ă  s’enfuir de ses bourreaux et se dirige vers Robinson. Tenn attire l’attention en aboyant et Robinson tire un coup de feu qui tue un indien et provoque la fuite de ses congĂ©nĂšres. L’indien rescapĂ© s’incline devant Robinson en signe de soumission. CHAPITRE 14 Robinson et l’Indien se repose aprĂšs une nuit fatigante. Le lendemain l’espoir revient et Robinson montre son bateau Ă  l’indien. Mais lĂ , dĂ©ception le radeau s’écroule, mangĂ© par les termites. CHAPITRE 15 Le hĂ©ros nomme l’Indien Vendredi du nom du jour durant lequel il fut sauvĂ©. Robinson lui apprend l’anglais et lui donne de diverses tĂąches Ă  faire. En Ă©change, Vendredi est payĂ© avec les piĂšces de monnaie trouvĂ©es sur l’üle. Afin de visiter l’üle, Vendredi construit une pirogue. CHAPITRE 16 Vendredi entreprend d’élever et d’apprivoiser un couple de rats, cela ne convient pas Ă  Robinson qui s’en dĂ©barrasse. L’indien fabrique Ă©galement un bouclier avec la carapace d’une tortue et Ă©lĂšve aussi un vautour abandonnĂ© en faisant tout son possible pour le nourrir et le sauver. CHAPITRE 17 Robinson s’ennui mĂȘme avec deux autres compagnons ce qui le pousse Ă  se diriger vers la grotte pendant que Vendredi habille les cactus. Maintenant que l’indien est libre il s’amuse avec Tenn et fait toutes sortes de bĂȘtises qu’il ne peut pas faire en prĂ©sence de Robinson. Suite Ă  ces jeux, le chien s’embourbe dans la riziĂšre et Vendredi doit ouvrir la vanne afin de faire baisser le niveau d’eau. CHAPITRE 18 A la sortie de la grotte oĂč seul Tenn l’attend fidĂšlement devant le seuil, Robinson apprend ce qui s’est passĂ© et devient furieux. Quant Ă  Vendredi il a dĂ©jĂ  construit une petite habitation Ă  l’aide de l’herbe et de feuilles sĂšches avec un hamac, c’est son repĂšre secret. Robinson le trouve dans son repĂšre. CHAPITRE 19 Vendredi trouve un nouveau loisir la pipe. En fumant en cachette Vendredi jette la pipe de Robinson dans la grotte ce qui cause l’explosion de quarante tonneaux de poudre qu’avait stockĂ© Robinson dans la grotte Ă  l’abri de la pluie. Cela entraĂźne la mort de Tenn. CHAPITRE 20 L’explosion a dĂ©truit toutes les constructions sur l’üle et les bouleversements sont nombreux les chĂšvres sont libĂ©rĂ©es et reviennent Ă  l’état sauvage, la grotte est maintenant inaccessible. Ils retrouvent Ă©galement le cadavre du chien. CHAPITRE 21 Suite Ă  ces changements, Robinson change de mentalitĂ© et c’est le dĂ©but d’une nouvelle vie sans rĂšgles. Vendredi mĂšne maintenant le jeu, il profite de sa libertĂ© en s’amusant Ă  confectionner des arcs et des flĂšches. CHAPITRE 22 Vendredi montre la cuisine Ă©trange de sa tribu Ă  Robinson. CHAPITRE 23 Les deux habitants de l’üle se disputent Ă  cause d’un plat de Vendredi que Robinson refuse de manger et Robinson en rĂ©action donne un coup de pied dans l’assiette de Vendredi . L’indien, fou de rage, le quitte quelques instants puis revient accompagnĂ© d’une poupĂ©e qui reprĂ©sente Robinson. Robinson fait la mĂȘme chose et dessine le corps de Vendredi sur le sable. CHAPITRE 24 Vendredi trouve un autre jeu encore plus amusant, il se dĂ©guise en Robinson et se prĂ©sente Ă  lui. Alors ce dernier comprend qu’il doit faire la mĂȘme chose. Ce jeu fait du bien Ă  Vendredi et mĂȘme Ă  Robinson qui a un peu de remords d’avoir Ă©tĂ© un maĂźtre dur pour Vendredi. CHAPITRE 25 Vendredi retrouve un des deux tonneaux de poudre que Robinson avait enterrĂ©s. Robinson est surpris de le voir si heureux. Comme il n’y a plus de fusil Vendredi invite Robinson Ă  s’amuser en mettant un peu de poudre dans le feu ce qui donne des flammes vertes. CHAPITRE 26 AprĂšs la catastrophe Vendredi connaĂźt suffisamment l’anglais pour comprendre les ordres de Robinson. Un jour Vendredi montre Ă  Robinson la ressemblance qu’il trouvait dans les choses comme le galet et la lune, les larmes et la pluie, et cela devient un jeu de mot amusant entre les deux amis. CHAPITRE 27 Un matin Vendredi est rĂ©veillĂ© par la voix de son ami qui l’appelle par son nom. L’appel retentit Ă  nouveau, ce sont des perroquets qui sont venus prendre leurs Ɠufs. Pour Ă©viter le bruit des bĂȘtes Robinson et Vendredi communiquent avec des gestes jusqu’à ce que les oiseaux quittent l’üle. CHAPITRE 28 L’indien trouve un nouveau jeu qui consiste Ă  se battre avec les boucs et Ă  nouer une liane autour du cou des vaincus. Il trouve une petite chĂšvre qui a une patte cassĂ©e et la soigne. Vendredi et Anda la chĂšvre deviennent insĂ©parables, ce qui rend Robinson jaloux. Un jour Vendredi cherche le roi des chĂšvres Andoar, mais ce dernier le fait tomber du haut d’un rocher. AprĂšs ĂȘtre guĂ©ri Vendredi revient dans la forĂȘt pour battre le bouc et retrouver Anda qui avait disparu. L’Indien ne met pas beaucoup de temps pour retrouver Andoar et le combat commence. CHAPITRE 29 A l’aide de sa longue-vue Robinson a observĂ© la chute des deux adversaires. Quand il vient les rejoindre il dĂ©couvre le cadavre d’Andoar sous Vendredi, le bouc est mort en le sauvant. CHAPITRE 30 AprĂšs quelques jours Vendredi revient Ă  la dĂ©pouille du bouc et la tranche, conserve ses intestins et lui enlĂšve la peau afin d’en faire un cerf-volant. CHAPITRE 31 Comme Robinson est sujet aux vertiges depuis son enfance, il dĂ©cide de s’en dĂ©barrasser en escaladant l’araucaria, l’un des plus grands arbres de l’üle. CHAPITRE 32 Vendredi voulant faire voler Andoar, il attache le cerf-volant fabriquĂ© avec la peau du bouc Ă  l’arriĂšre de la pirogue. CHAPITRE 33 Vendredi promet mystĂ©rieusement Ă  Robinson qu’il va faire chanter Andoar, pour cela, il se saisit de sa tĂȘte pour en faire un instrument de musique. Une tempĂȘte fait jouer de l’instrument de musique. CHAPITRE 34 Vendredi et Robinson reçoivent des visiteurs anglais avec l’arrivĂ©e d’un voilier, le Whitebird », ces derniers apprennent Ă  Robinson qu’ils sont en 1787, cela rendit Robinson Ă©mu, il a vĂ©cu 28 ans dans cette ile et il est maintenant ĂągĂ© de 50 ans mais il se sent encore plus jeune. Les visiteurs et notamment le commandant William Hunter invitent les habitants de l’üle pour dĂ©jeuner. L’équipage du bateau dĂ©truit et incendie l’üle. En consĂ©quence, Robinson ne veut pas quitter l’üle car il retrouve sur le bateau la mĂ©chancetĂ© des gens qui reflĂšte ce qui se passe dans le monde civilisĂ©. Robinson rencontre Ă©galement Jean, le mousse. Le Whitebird » repart sans Robinson, ni Vendredi. CHAPITRE 35 Robinson, en se rĂ©veillant, va trouver Vendredi mais il n’est pas dans son hamac. Ses objets prĂ©fĂ©rĂ©s ont disparu, ainsi que Anda, la chĂšvre. Robinson fait le tour de l’üle pour le retrouver mais ne le trouve pas. Il comprend que Vendredi l’a trahi, il est parti Ă  bord du Whitebird ». Il pleure toutes les larmes de son corps. Finalement il s’aperçoit qu’il n’est pas tout seul, Jean est restĂ© sur l’üle pour l’accompagner. Robinson le nomme Dimanche. Maintenant que vous avez fini la lecture de ce rĂ©sumĂ© de Vendredi ou la vie sauvage, je vous invite Ă  aller faire un tour sur les autres rubriques du site analyse des personnages Robinson et Vendredi questionnaire sur Vendredi ou la vie sauvage Recherches qui ont permis de trouver cet article rĂ©sumĂ© trĂšs dĂ©taillĂ© de vendredi ou la vie sauvageresumĂ© sur vendredi ou la vie sauvagevendredi ou la vie sauvage de michel tournierrĂ©sumĂ© du chapitre 1 de vendredi ou la vie sauvageresume vendredi ou la vie sauvage 5emevendredi ou la vie sauvage chapitre 1vendredi ou la vie sauvage rĂ©sumĂ© courtvendredi ou la vie sauvage rĂ©sumĂ© 5eme Chapitre1 et 2. Le premier chapitre tourne autour des origines du personnage de Gargantua. Pour ce faire, Rabelais nous renvoie Ă  son roman Pantagruel. L’auteur Ă©voque les origines des gĂ©ants trouvĂ©s dans un tombeau de bronze. Rabelais Ă©voque le traitĂ© “ Les Bulles d’air immunisĂ©es ” trouvĂ© dans ce tombeau. Chapitre I La Vesphalie, le paradis Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes pour le jeune Candide, docile et ingĂ©nu. Le baron de Thunder-ten-tronckh, l’ un des plus puissants seigneurs de la Vestphalie », et probablement son oncle, l’a accueilli dans un chĂąteau protĂ©gĂ© et clos, qui fait rempart Ă  toute violence extĂ©rieure. Candide est secrĂštement amoureux de CunĂ©gonde, la fille du baron et de la baronne. La fĂ©licitĂ© est absolue, jusqu’au drame Candide et CunĂ©gonde sont surpris par le baron dans leurs Ă©bats, Candide est chassĂ© du paradis, et l’aventure commence. Candide n’aura de cesse de retrouver CunĂ©gonde, objet d’une quĂȘte qui le rĂ©vĂ©lera peu Ă  peu Ă  lui-mĂȘme. À travers les yeux de Candide, le chĂąteau protecteur renvoie Ă  un Ăąge d’or oĂč l’abondance et l’équilibre apparents dispensent d’une rĂ©flexion plus aboutie que la philosophie de Pangloss, prĂ©cepteur de la maison. Ce paradis se rĂ©vĂšle cependant artificiel l’exclusion du hĂ©ros ouvre la boĂźte de Pandore, et l’idĂ©ologie qui animait cet univers ne rĂ©siste pas longtemps aux tempĂȘtes. Voltaire inscrit d’emblĂ©e le conte dans une rĂ©fĂ©rence commune qu’il va s’appliquer Ă  dĂ©construire Ă  travers un voyage oĂč le hĂ©ros se trouve successivement confrontĂ© Ă  tous les malheurs du monde, puis aux turpitudes de l’ñme humaine. Chapitre II Seul et dĂ©semparĂ©, Candide rencontre dans la ville voisine de Valdberghoff-trarbk-dikdorff, Ă  la porte d’un cabaret, deux recruteurs de l’armĂ©e du roi des Bulgares qui l’enrĂŽlent aussitĂŽt, au seul motif que Candide mesure cinq pieds cinq pouces de haut ». AprĂšs des dĂ©buts difficiles, Candide, peu au fait des usages militaires, dĂ©serte avant d’ĂȘtre rattrapĂ© et conduit au cachot. Un choix lui est offert ĂȘtre fustigĂ© trente-six fois par tout le rĂ©giment, ou recevoir Ă  la fois douze balles de plomb dans la cervelle ». Candide choisit le fouet, puis les balles, avant d’ĂȘtre sauvĂ© par le roi des Bulgares, sensible Ă  ce jeune mĂ©taphysicien fort ignorant des choses de ce monde ». Chapitre III En Hollande, la guerre Candide, sĂ©duit dans un premier temps par le spectacle de la bataille, se met Ă  trembler devant ce qui, Ă  ses yeux, devient vite une boucherie hĂ©roĂŻque » qui conduit le hĂ©ros Ă  se cacher avant de s’enfuir en enjambant les cadavres. Il arrive en Hollande, tente de mendier pour manger, et rencontre, aprĂšs quelques Ă©changes malheureux sur la religion, l’anabaptiste Jacques qui le nourrit et lui propose un travail dans une manufacture d’étoffes. Il va croiser un gueux tout couvert de pustules »  C’est avec une ironie grinçante que Voltaire propose une reprĂ©sentation de la guerre qui dĂ©nonce la brutalitĂ© et l’inconsĂ©quence militaires, tout autant que le dĂ©sastre d’un systĂšme de pensĂ©e en total dĂ©calage avec le monde qu'il tente d'expliquer. Le sujet est d’actualitĂ©, alors mĂȘme que la guerre de Sept Ans 1756-1763 fait rage en Europe et dans les colonies d’AmĂ©rique du Nord les dommages humains considĂ©rables conduiront Ă  une rĂ©organisation des forces en prĂ©sence. Chapitre IV Le gueux tout couvert de pustules » se rĂ©vĂšle ĂȘtre Pangloss, Ă  bout de forces, malade de la vĂ©role et dans l’incapacitĂ© de se soigner. Il informe Candide de la destruction du chĂąteau aprĂšs son dĂ©part, de la mort du baron, de la baronne, de leur fils, et, surtout, de CunĂ©gonde. Le paradis n’est plus. Candide s’interroge Ah ! Meilleur des mondes, oĂč ĂȘtes-vous ? », tout en restant fidĂšle aux certitudes de Pangloss qui s’évertue Ă  justifier jusqu’à la vĂ©role qui le tue. Jacques, le bon anabaptiste, parvient Ă  guĂ©rir Pangloss et le prend avec Candide Ă  son service. Ils embarquent ensemble pour Lisbonne et affrontent une terrible tempĂȘte Ă  l’approche du port. L’optimisme du philosophe est confrontĂ© Ă  l’épreuve des faits. Les personnages s’obstinent cependant, ce n’est que le dĂ©but du voyage
 Chapitre V Lisbonne, au nom de Dieu Les catastrophes s’enchaĂźnent la tempĂȘte anĂ©antit le vaisseau et ses passagers ; l’anabaptiste Jacques pĂ©rit d’avoir aidĂ© un matelot qui le laisse se noyer. Seuls Pangloss et Candide survivent, pour ĂȘtre aussitĂŽt exposĂ©s au tremblement de terre qui dĂ©truit Lisbonne et Ă©crase ses trente mille habitants. Quelle peut ĂȘtre la raison suffisante de ce phĂ©nomĂšne ? » s’interroge Pangloss. Voltaire met en scĂšne le tremblement de terre de Lisbonne survenu le 1er novembre 1755 l’évĂ©nement bouleverse profondĂ©ment les mentalitĂ©s. Capitale d’un pays rĂ©putĂ© pour sa foi catholique, Lisbonne ne semblait pas mĂ©riter ce chĂątiment. Pourquoi une pareille catastrophe le jour d’une fĂȘte catholique ? La philosophie du XVIIIe siĂšcle ne s'explique pas une telle manifestation de colĂšre divine. L’Inquisition s’acharne, en vain, Ă  chercher des coupables. Chapitre VI Afin d’empĂȘcher les tremblements de terre, des hommes sont brĂ»lĂ©s pour des raisons absurdes ; Pangloss et Candide sont proches de subir un sort identique Pangloss est pendu, et Candide, fouettĂ©. Cette cĂ©rĂ©monie n’empĂȘche en rien un nouveau sĂ©isme, le soir mĂȘme. Une parodie de raisonnement tente d’enchaĂźner les liens de cause Ă  effet. Mais Candide s’interroge dans un grand dĂ©sarroi, il voit s’ébranler ses certitudes
 Chapitre VII En mer, l’art du rĂ©cit Candide est sauvĂ© par une vieille femme, personnage symbolique qui revient plusieurs fois au cours du voyage. Comme l’anabaptiste, la vieille lui permet de se soigner, de se nourrir et de s’habiller. Elle le conduit vers une jeune fille, que Candide dĂ©voile Quel moment ! Quelle surprise ! Il croit voir mademoiselle CunĂ©gonde, il la voyait en effet, c’était elle-mĂȘme ». Coup de théùtre ! Ce ne sera pas le dernier puisqu’à la logique de causalitĂ© de Pangloss, la narration oppose la surprise et le retour de personnages qui semblaient, a priori, Ă©cartĂ©s du pĂ©riple. Le dĂ©sastre du chĂąteau est racontĂ© une seconde fois par CunĂ©gonde ; rĂ©cit enchĂąssĂ© qui laisse entrevoir une autre histoire, parallĂšle Ă  celle suivie par le lecteur depuis le chapitre II. Le conte s’inscrit dans une tradition qui emprunte Ă  la fois au roman d’apprentissage, au rĂ©cit initiatique, sentimental, comique
 Voltaire s’inspire de ces traditions, pour les dĂ©tourner doublement non seulement il les parodie mais il les rĂ©cupĂšre pour Ă©laborer une pensĂ©e philosophique. L’auteur joue aussi en virtuose des procĂ©dĂ©s narratifs par le biais des ellipses, des rĂ©cits enchĂąssĂ©s, des changements de perspective qui confĂšrent Ă  la narration une densitĂ© de contenu et une libertĂ© de ton. Chapitre VIII CunĂ©gonde se lance dans un rĂ©cit aux nombreuses pĂ©ripĂ©ties suite Ă  l’attaque du chĂąteau, elle tombe sous le joug d’un capitaine bulgare qui la revend Ă  un trafiquant, Don Issachar. Celui-ci la partage depuis six mois avec le grand inquisiteur. Ces malheurs en sĂ©rie la conduisent Ă  remettre en cause la philosophie de Pangloss. Chapitre IX Don Issachar n’apprĂ©cie guĂšre la prĂ©sence de Candide et la perspective d’un second rival il le menace d’un poignard ; Candide brandit une Ă©pĂ©e et abat son adversaire. L’inquisiteur surgit ; Candide commence Ă  raisonner, l’épĂ©e Ă  la main et tue l’inquisiteur. Pour une nature si peu belliqueuse, c’est lĂ  un changement radical. Candide s’explique Ma belle demoiselle, [
] quand on est amoureux, jaloux et fouettĂ© par l’Inquisition, on ne se connaĂźt plus ». La vieille les exhorte Ă  l’action et ils s’éloignent sur des chevaux andalous avant l’arrivĂ©e de la Sainte-Hermandad, la police rĂ©gionale. Ils gagnent alors la ville d’Avacena dans les montagnes de la Sierra Morena. Chapitre X Les derniĂšres richesses de CunĂ©gonde ont Ă©tĂ© volĂ©es ; le trio est dans l’embarras Quel parti prendre ? », s’interroge Candide. Ils vendent l’un des trois chevaux et arrivent Ă  Cadix. Une flotte s’apprĂȘte Ă  partir pour le Paraguay afin de combattre des rĂ©vĂ©rends pĂšres jĂ©suites Candide convainc le gĂ©nĂ©ral de ses compĂ©tences militaires et devient capitaine d’un Ă©quipage. CunĂ©gonde, la vieille, et deux valets embarquent, avec deux chevaux, pour le Nouveau Monde, avec l’espoir que celui-lĂ  sera meilleur. L’espace est clos ; le temps est alors au rĂ©cit la vieille raconte son histoire. Chapitre XI En mer, le malheur des femmes Fille du pape Urbain X et de la princesse de Palestrine, la vieille dĂ©roule son histoire sur le mode superlatif palais, robes, talents, grĂąces
 tout surpasse en beautĂ© l’univers de rĂ©fĂ©rence de Candide et CunĂ©gonde, le chĂąteau de Thunder-ten-tronckh. L’avenir s’annonçait radieux, portĂ© par un mariage prĂ©vu avec le prince souverain de Massa Carrara. À cette perspective idyllique rĂ©pond une chute brutale le fiancĂ© meurt, un corsaire attaque, et elle est capturĂ©e avec sa mĂšre. L’arrivĂ©e au Maroc assombrit davantage encore le tableau les combattants s’opposent et se disputent le butin, entraĂźnant la mort de la princesse et de tous les prisonniers, Ă  l’exception de la vieille, laissĂ©e pour morte. Non seulement la fidĂ©litĂ© aux priĂšres ne prĂ©munit pas contre les pires horreurs, mais le rĂ©cit souligne encore l’injustice et le malheur que subissent les femmes. Asservies aux hommes, Ă©loignĂ©es des fonctions sociales, volontiers tenues responsables des misĂšres humaines, elles peinent Ă  exister. Quelques annĂ©es avant la RĂ©volution française, Voltaire s’interroge sur la place des femmes dans la sociĂ©tĂ©. Chapitre XII La vieille poursuit un rĂ©cit qui propose une vision extrĂȘmement sombre de la nature humaine. Elle survit Ă  la peste et, vendue comme esclave, passe, au fil des transactions, de Tunis Ă  Tripoli, d’Alexandrie Ă  Smyrne, de Constantinople Ă  Moscou. Elle y perd une fesse en pleine famine, sacrifiĂ©e pour satisfaire les soldats turcs. Devenue la servante de Don Issachar, elle rencontre alors CunĂ©gonde. Trahison, anthropophagie, suicide sont abordĂ©s dans ce pĂ©riple vers le Nouveau Monde autant de questions dĂ©battues au XVIIIe siĂšcle. L’ironie de la narration favorise la construction d’une distance critique. Chapitre XIII L’histoire de la vieille fait Ă©cole, et le vaisseau avance au fil du rĂ©cit des voyageurs. Ils arrivent finalement Ă  Buenos Aires, et y rencontrent le gouverneur qui s’empresse de demander CunĂ©gonde en mariage. La vieille encourage cette derniĂšre Ă  accepter d’épouser monsieur le gouverneur et de faire la fortune de monsieur le capitaine Candide ». Mais le passĂ© les rattrape, et ils risquent la mort pour avoir tuĂ© le grand inquisiteur. Candide fuit, CunĂ©gonde reste ; leur chemin se sĂ©pare pour la deuxiĂšme fois. Chapitre XIV Candide est accompagnĂ© dans sa fuite par un valet nommĂ© Cacambo. Il avait Ă©tĂ© enfant de chƓur, sacristain, matelot, moine, facteur, soldat, laquais » voilĂ  un compagnon de choix pour un Candide en pleine Ă©volution. Homme d’action plein d’allant, il encourage son maĂźtre quand on n’a pas son compte dans un monde, on le trouve dans un autre ». Au Paraguay, chez les jĂ©suites, Candide reconnaĂźt dans le commandant le frĂšre de CunĂ©gonde, le fils du baron, miraculeusement rescapĂ© du massacre du chĂąteau. Chapitre XV Le fils du baron raconte – C’est la troisiĂšme fois pour le lecteur – l’invasion du chĂąteau par l’armĂ©e bulgare et comment, tenu pour mort, il fut sauvĂ© par un jĂ©suite. Les retrouvailles se dĂ©roulent sous les meilleurs auspices, le baron qualifiant Candide de frĂšre » et de sauveur ». Les relations se dĂ©gradent cependant lorsque Candide fait part de son souhait d’épouser CunĂ©gonde fidĂšle aux valeurs familiales, le baron refuse catĂ©goriquement, car Candide n’a pas les quartiers de noblesse requis. Candide tente d’argumenter et de dĂ©fendre l’attachement de CunĂ©gonde Ă  son Ă©gard, mais, devant l’obstination du baron, il n’a d’autre choix que de le tuer. HabillĂ©s en jĂ©suites, Candide et Cacambo parviennent Ă  s’enfuir. Chapitre XVI Au Pays des Oreillons, Images de l’autre Tout inquiĂšte en terre inconnue, tout particuliĂšrement l'autre », menaçant par son Ă©trangetĂ©, soupçonnĂ© de mƓurs barbares. Candide abat deux singes Ă  la poursuite de deux femmes nues
 Il s'agit semble-t-il de leurs amants ! Candide et Cacambo sont ligotĂ©s pendant leur sommeil et vont ĂȘtre mangĂ©s par les habitants des lieux, les Oreillons, qui les prennent pour des JĂ©suites. L'agressivitĂ© contre les JĂ©suites qui les ont dĂ©possĂ©dĂ©s de leur territoire tombera dĂšs qu'il sera clair que Candide n'est pas jĂ©suite ils seront dĂšs lors traitĂ©s avec tous les Ă©gards. LĂ  oĂč jusqu'alors les EuropĂ©ens voyaient des "sauvages", le siĂšcle des LumiĂšres veut voir des ĂȘtres humains, Ă©gaux en droit quelle que soit leur race. Aussi n'est-ce pas sans ironie que Voltaire dĂ©crit ici les mƓurs les plus extrĂȘmes fantasmĂ©es par les EuropĂ©ens, de l'anthropophagie Ă  la zoophilie. Chapitre XVII L’Eldorado est dĂ©couvert par Candide et Cacambo au hasard de ce pĂ©riple en AmĂ©rique du Sud. Les expĂ©riences douloureuses du Nouveau Monde ont convaincu Cacambo de retourner en Europe, mais les deux protagonistes n’ont d’autres choix que de poursuivre leur route, et s’embarquent Ă  l’aventure dans une petite barque en se recommandant Ă  la Providence. Le canot finit par se fracasser contre des Ă©cueils qui ouvrent la porte de l’Eldorado C’est probablement le pays oĂč tout va bien ; car il faut absolument qu’il y en ait un de cette espĂšce », espĂšre Candide. Chapitre XVIII L'Eldorado, utopie et sociĂ©tĂ© idĂ©ale Pas de cour de justice, de parlement, ni de prison dans ce pays, mais un palais des sciences, des libertĂ©s individuelles reconnues, avec interdiction, pour les habitants, de sortir de ce royaume. Candide et Cacambo dĂ©cident pourtant d’en partir, parce que CunĂ©gonde manque Ă  l’un d’eux, et que la richesse leur ouvre des perspectives.. Une machine est spĂ©cialement construite pour les conduire de l’autre cĂŽtĂ© des montagnes, accompagnĂ©s de cent moutons chargĂ©s de vivres, de prĂ©sents, d’or et de pierreries. L’Eldorado tient une place essentielle dans le conte, puisqu’il en marque le milieu, Ă  la fois point d’aboutissement d’un parcours et point de dĂ©part du voyage de retour Candide dĂ©couvre un autre modĂšle de gouvernement et de bonheur qui se substitue au chĂąteau initial. Cependant, le lieu, aussi dorĂ© soit-il, ne comble pas toutes les attentes. Entre utopie et construction politique, il reste du chemin Ă  parcourir pour crĂ©er son propre jardin la sociĂ©tĂ© idĂ©ale est un sujet d’interrogation majeur du XVIIIe siĂšcle. Chapitre XIX Le Surinam, l’esclavage Candide et Cacambo quittent l’Eldorado chargĂ©s d’or et de rĂȘves. Mais ils perdent vite leurs richesses et doivent renoncer Ă  s’acheter un royaume. Aux abords du Surinam, la rencontre avec un esclave noir dans un Ă©tat pitoyable achĂšve de leur enlever leurs illusions. On l’a amputĂ© de la main droite et de la jambe gauche c’est Ă  ce prix que vous mangez du sucre en Europe ». Ce violent rĂ©quisitoire contre l’esclavage s’inscrit dans un vaste mouvement d’opinion qui dĂ©nonce cette pratique. Il faudra, en France, attendre 1848 pour que l’esclavage soit dĂ©finitivement aboli. Chapitre XX Buenos-Aires, Mal physique, mal moral Candide a chargĂ© Cacambo de passer Ă  Buenos Aires pour racheter CunĂ©gonde et la vieille, tandis qu'il se rend directement Ă  Venise. DĂ©sespĂ©rĂ© par le vol de ses derniĂšres richesses, il dĂ©cide d’emmener avec lui l’homme le plus malheureux de la province. Il choisit, parmi une foule de prĂ©tendants, le philosophe Martin. Tandis que le vaisseau vogue vers Bordeaux, les deux compagnons de voyage discutent quinze jours durant, du mal physique et du mal moral. Le combat naval qui s’achĂšve par le naufrage du bateau pirate qui a volĂ© tous les biens de Candide alimente leurs dĂ©bats s’il punit l’immoralitĂ© du capitaine, il engloutit dans le mĂȘme temps des centaines d’innocents. Ironie du sort seul un mouton en rĂ©chappe ! Le mal est partout cruautĂ© des hommes, injustice de la religion, dĂ©sastre naturel, incohĂ©rence politique. La question du mal, en Ă©troite relation avec la question de Dieu, alimente toute la rĂ©flexion philosophique du XVIIIe siĂšcle. Chapitre XXI Aux abords des cĂŽtes françaises, Candide expose son projet rejoindre Venise depuis Bordeaux. Nulle curiositĂ© de sa part aprĂšs un mois passĂ© dans l’Eldorado, d’autant que les commentaires de Martin sur les Français sont sans appel. Candide veut atteindre l’Italie pour y attendre CunĂ©gonde ; Martin accepte de le suivre pour son argent. La fin du voyage est l’occasion de questions de Candide Ă  Martin sur la pĂ©rennitĂ© du mal et sur la possibilitĂ© du bien. Son raisonnement s’affine il est question en dernier lieu du libre arbitre. Chapitre XXII Paris, jeux de sociĂ©tĂ© Candide et Martin se rendent finalement Ă  Paris. Voltaire met en scĂšne une satire de la vie parisienne en Ă©voquant successivement l’absence de reconnaissance sociale dont souffrent les actrices, la cruautĂ© des critiques, les jeux d’argent et la perfidie des conversations mondaines d’abord du silence, ensuite un bruit de paroles qu’on ne distingue point, puis des plaisanteries dont la plupart sont insipides, de fausses nouvelles, de mauvais raisonnements, un peu de politique et beaucoup de mĂ©disance ». Tout au long du chapitre, Candide est trompĂ© ; il part finalement pour Dieppe puis Portsmouth sans renoncer Ă  rejoindre un jour Venise. Le Paris prĂ©sentĂ© est futile et superficiel, mondain et trompeur. Le jeu y occupe une place de choix, en relation avec une sociĂ©tĂ© des LumiĂšres oĂč les jeux d’argent, licites ou illicites, ont envahi l’espace urbain et gagnĂ© toutes les couches de la sociĂ©tĂ©. Les formes en sont variĂ©es cabarets et billards, acadĂ©mies tolĂ©rĂ©es et tripots clandestins, bureaux de loterie
 Rien Ă  voir avec le Paris populaire que mettra en scĂšne la littĂ©rature du XIXe siĂšcle. Chapitre XXIII Sur fond d’explication de la guerre qui oppose Ă  grands frais les armĂ©es anglaise et française pour une terre canadienne fort Ă©loignĂ©e, l’arrivĂ©e Ă  Portsmouth coĂŻncide avec l’exĂ©cution d’un amiral qui bouleverse Candide l’homme pĂ©rit de n’avoir pas provoquĂ© assez de morts en affrontant l’ennemi. Candide refuse de descendre du navire et arrange au plus vite un dĂ©part pour Venise, toujours conduit par le dĂ©sir de retrouver CunĂ©gonde. Chapitre XXIV Cacambo et CunĂ©gonde ne sont pas au rendez-vous vĂ©nitien, et Candide sombre dans la mĂ©lancolie, prĂȘt Ă  succomber au pessimisme de Martin Que vous avez raison, mon cher Martin ! Tout n’est qu’illusion et calamitĂ©. » Les idĂ©es sombres ne rĂ©sistent pas, cependant, Ă  la vision plaisante d’un moine thĂ©atin, frĂšre GiroflĂ©e, avec une fille Ă  son bras. Celle-ci se rĂ©vĂšle ĂȘtre Paquette, la servante du chĂąteau de Thunder-ten-tronckh. DerriĂšre l’image du couple amoureux, se cache la sordide histoire d’un moine dĂ©froquĂ© et d’une misĂ©rable prostituĂ©e, ravagĂ©e par la maladie. Candide s’obstine toutefois Ă  croire Ă  l’amour et continue Ă  attendre un improbable retour de CunĂ©gonde. Chapitre XXV Venise, masques et carnaval l'inversion des valeurs Le seigneur vĂ©nitien, Pococurante, un homme qui n’a jamais eu de chagrin », retient l’attention de Candide et de Martin. Il passe en revue la peinture, la musique, l’opĂ©ra, la littĂ©rature, la poĂ©sie, les sciences, le théùtre, la philosophie, les jardins
 L’homme est revenu de tout l’opĂ©ra ? Des chansons ridicules ! Un concerto ? Du bruit qui fatigue tout le monde ! HomĂšre ? Rien que des batailles ! Candide s’interroge peut-il y avoir du plaisir Ă  n’avoir pas de plaisir ? Ville de carnaval, Venise est la ville de l’inversion des valeurs. Voltaire en fait un dĂ©cor de choix pour un personnage blasĂ©, un anti-Casanova dans une ville multiforme, singuliĂšre et inattendue. Chapitre XXVI Venise, pouvoir et rois dĂ©chus Cacambo surgit brusquement au cours d’un dĂźner et rĂ©vĂšle que CunĂ©gonde se trouve Ă  Constantinople lui-mĂȘme est esclave et exhorte Candide Ă  se tenir prĂȘt au dĂ©part. Ce rebondissement n’est pas la seule surprise d’un Ă©pisode mystĂ©rieux, au cƓur du carnaval de Venise qui inverse les rĂŽles entre maĂźtres et valets. Les six compagnons de Candide et de Martin lors de ce dĂźner se rĂ©vĂšlent ĂȘtre des rois dĂ©chus qui narrent tour Ă  tour leur parcours malheureux le sultan Achmet III, Ivan, empereur de toutes les Russies, le roi d’Angleterre, Charles-Edouard, deux rois des Polaques et, enfin, ThĂ©odore, roi de Corse. Tous sont venus Ă  Venise pour le Carnaval, et tous sont dĂ©chus de leur pouvoir. Voltaire convoque ici des figures historiques qui incarnent la vanitĂ© et le caractĂšre Ă©phĂ©mĂšre du pouvoir l’épisode participe de la rĂ©flexion politique du philosophe sur la notion de gouvernement qui constitue l’un des fils conducteurs de Candide, bien sĂ»r, mais aussi du Dictionnaire philosophique. Du systĂšme hiĂ©rarchique aristocratique qui rĂšgne au chĂąteau dont Candide est exclu, Ă  l’organisation communautaire du jardin dont le baron est chassĂ©, c’est une rĂ©flexion sur la place de l’individu dans le systĂšme qui le gouverne et l’émergence de l’homme social qui se dĂ©ploie. Chapitre XXVII En route vers Constantinople, Cacambo dĂ©crit la situation de CunĂ©gonde esclave dans la maison d’un ancien souverain sur le rivage de la Propontide, chez un prince qui a trĂšs peu d’écuelles », elle est devenue horriblement laide ». Candide se soucie peu de cette Ă©volution, mais s’interroge sur l’usage de la fortune, dilapidĂ©e selon un schĂ©ma dĂ©sormais classique dans le conte rachat de la personne humaine, piraterie, errance, esclavage. Cacambo est rachetĂ© par Candide, et le petit groupe retrouve au hasard de la traversĂ©e le frĂšre de CunĂ©gonde et Pangloss, devenus tous deux galĂ©riens. Les derniers diamants de l’Eldorado libĂšrent les deux malheureux, et tous repartent vers la Turquie pour dĂ©livrer CunĂ©gonde. Chapitre XXVIII Le baron et Pangloss racontent leur histoire l’un, rĂ©chappĂ© du coup d’épĂ©e de Candide, devenu aumĂŽnier avant d’ĂȘtre condamnĂ© aux galĂšres ; l’autre, pendu, dissĂ©quĂ©, un temps laquais, avant d’ĂȘtre Ă  son tour condamnĂ© aux galĂšres. Devant ces injustices nĂ©es de l’intolĂ©rance et de la superstition, Candide, Ă  prĂ©sent capable de discernement, interroge Pangloss avez-vous toujours pensĂ© que tout allait le mieux du monde ? ». Pangloss est formel son jugement n’a pas Ă©voluĂ©. Chapitre XXIX Narration des aventures, raisonnement sur les effets et les causes, interrogation sur le mal moral et sur le mal physique, sur la libertĂ© et la nĂ©cessitĂ©, portent les protagonistes jusqu’à la maison du prince de Transylvanie, oĂč ils retrouvent, enfin, CunĂ©gonde et la vieille. Cacambo avait dit juste CunĂ©gonde est bien laide et Candide s’en Ă©meut avec Ă©lĂ©gance. Le fils du baron n’a pas changĂ© il refuse toujours radicalement une possible union entre CunĂ©gonde et Candide, malgrĂ© les larmes de sa sƓur, et la colĂšre de Candide devant tant d’absurditĂ© et d’ingratitude. L’apparence de CunĂ©gonde dĂ©tourne dĂ©sormais quiconque de tout dĂ©sir d’union. Chapitre XXX En Orient, le jardin AttachĂ© Ă  une domination aristocratique qui n’a plus cours, le baron s’avĂšre incapable d’évoluer et s’exclut de la nouvelle communautĂ©. Celle-ci, privĂ©e des richesses de l’Eldorado, doit trouver en elle-mĂȘme les ressources pour dĂ©velopper, non sans mal, la modeste mĂ©tairie dans laquelle elle s’est installĂ©e. Cacambo en a assez de cultiver les lĂ©gumes ; le caractĂšre de CunĂ©gonde se dĂ©grade ; Pangloss souffre de ne pouvoir briller. Seul, Martin, avec son fatalisme habituel, s’accommode de la situation. Tous philosophent cependant, alors que Paquette et le frĂšre GiroflĂ©e les rejoignent. La devise d’un bon vieillard turc donne sens Ă  ce jardin comme promesse de vie le travail Ă©loigne de nous trois grands maux l’ennui, le vice et le besoin. ». Candide la fait sienne et tous l’acceptent chacun se mit Ă  exercer ses talents » et la petite sociĂ©tĂ© prend sens. Ce jardin mĂ©taphorique constitue le point d’aboutissement d’un pĂ©riple qui, Ă  partir d’un lieu clos et hiĂ©rarchisĂ©, a conduit Ă  parcourir un monde extĂ©rieur, hantĂ© par le mal et la violence, et un monde intĂ©rieur plus trouble encore, permettant Ă  Candide de se rĂ©vĂ©ler. L’Eldorado est dĂ©terminant puisqu’il propose l’espoir d’un autre systĂšme social, appuyĂ© sur le consentement collectif. Le jardin, par la place laissĂ©e Ă  chacun et la reconnaissance de son travail, ouvre l’espace d’une libertĂ© et d’un bonheur, certes plus modestes mais assurĂ©ment plus fiables. Il faut cultiver notre jardin ! Parcequ'il Ă©tait capucin, il portait une bure grise, parce qu'il fut créé cardinal peu avant sa mort, et qu'on le considĂ©rait aussi puissant que Richelieu, il eut droit au titre d'Ă©minence. La Bastille Cette forteresse a Ă©tĂ© construite de 1370 Ă  1383 pour dĂ©fendre Paris. Elle Ă©tait initialement un vĂ©ritable chĂąteau fort. Elle est transformĂ©e en prison par le cardinal de
Turn Back The Pendulum 10 Statistiques Tome 37 Chapitre -99 Titre Japonais Turn Back The Pendulum 10 Titre RomanisĂ© Turn Back The Pendulum 10 Pages Totales {{{page}}} Date de Sortie 2008 Chronologie du Chapitre ← PrĂ©cĂ©dent Prochain → Chapitre -100 Chapitre -98 Information Turn Back The Pendulum 10 est le chapitre -99 du manga. Aizen explique comment il a trahi Hirako et se prĂ©pare Ă  mettre fin Ă  cette expĂ©rience. RĂ©sumĂ© RĂ©alisant que Sƍsuke Aizen est responsable de ce qui est arrivĂ©, Shinji Hirako rĂ©vĂšle qu’il l’a suspectĂ© avant mĂȘme qu’il ne devienne son vice-capitaine et lui annonce qu’il l’a choisi car il le considĂ©rait comme dangereux et douteux. Aizen le remercie en disant que c’est grĂące Ă  ces doutes fondĂ©s qu'il n’a pas remarquĂ© que durant tout ce mois, ce n’était pas lui qui marchait derriĂšre lui. Il ajoute que c’est la capacitĂ© de son Zanpakutƍ, Kyƍka Suigetsu, de faire voir Ă  son ennemi ce qu’il souhaite voir. Ce pouvoir est appelĂ© Hypnose absolue ». Il continue en expliquant Ă  Hirako, choquĂ©, que s’il s’était comportĂ© de la mĂȘme maniĂšre que les autres capitaines avec leur vice-capitaine, il aurait compris. En prenant de la distance, il ne pouvait voir les diffĂ©rences de comportement et des rĂ©ponses aux capitaines ainsi qu’aux membres de sa division qu’il y avait entre lui et ses remplaçants. Il ajoute qu’un Shinigami a le droit de refuser une promotion mais il ne l’a pas fait car la mĂ©fiance de Hirako Ă©tait idĂ©ale pour son plan. Aizen lui, dit qu’il devrait s’excuser auprĂšs de ses amis car c’est parce qu’il l’a choisi qu’ils sont morts, ce qui Ă©nerve Hirako. Alors qu’il se relĂšve pour attaquer Aizen, un fluide surgit sur son visage, formant un masque de Hollow. Aizen le remercie d’avoir rĂ©pondu Ă  sa provocation car cela confirme que la Hollowmorphose s’accĂ©lĂšre lorsque le sujet est en colĂšre ou s’agite. Lorsqu’Hiyori Sarugaki voit cela, elle appelle Hirako mais sur les instructions d’Aizen, elle est blessĂ©e par Tƍsen. Aizen dĂ©gaine alors son sabre pour tuer Hirako, dĂ©clarant qu’ils ont Ă©tĂ© de magnifiques sujets de test mais il est attaquĂ© par Kisuke Urahara, portant sa cape qui bloque le Reiatsu. Ail tranche l’insigne de vice-capitaine d’Aizen, ce dernier remarque qu’Urahara et Tessai Tsukabishi sont d’intĂ©ressants invitĂ©s. Note Episode associĂ© Episode 211 Trahison ! La manƓuvre secrĂšte d'Aizen Apparition de Personnages Gin Ichimaru Sƍsuke Aizen Shinji Hirako Hiyori Sarugaki Kisuke Urahara Kaname Tƍsen Hachigen Ushƍda Lisa YadĂŽmaru Love Aikawa Kensei Muguruma RƍjĆ«rƍ Ìtoribashi Mashiro Kuna Tessai Tsukabishi
RĂ©sumĂ©des chapitres d'Olivier (1 Ă  11) Albert va Ă  une vente de chevaux oĂč il veut acheter un cheval. Il voit tellement de beaux chevaux mais aprĂšs, il a vu un cheval spectaculaire avec une Ă©toile sur son front. Il a adoptĂ© le cheval et il l’a nommĂ© Joey. AprĂšs plusieurs hivers, le pĂšre d’Albert a dit que si le cheval ne fait
"Il Ă©tait une fois un vieux couple heureux" de M. Khair-Eddine RĂ©sumĂ© des Chapitres Chapitre 1 Un vieux couple dans un village reculĂ© Le vieux couple, BouchaĂŻb et sa femme, menait une vie dans un village montagneux au Sud du pays. AprĂšs plusieurs pĂ©riples au Nord et dans une partie de l'Europe, Bouchaib revient Ă  son village natal. C'est un bon croyant et fin lettrĂ© qui possĂ©dait Ă  Mazagan une Ă©choppe lui permettant de vivre Ă  l'aise dans ce village reculĂ©. Les deux vieux vivaient en bons termes avec la nature hostile et les voisins. Et mĂȘme s'ils n'avaient pas d'enfants, ils n'Ă©prouvaient aucune amertume. Chapitre 2 Un homme d'honneur En sa qualitĂ© de policier du village, le Vieux reçut, du temps de la colonisation, un Mokhazni venu chercher des rĂ©sistants en fuite. Il le rabroua en lui signifiant sĂšchement que les fuyards n'Ă©taient pas au village, et en informa les concernĂ©s qui continuĂšrent Ă  vivre en toute quiĂ©tude. AprĂšs s'ĂȘtre dĂ©lectĂ© de ce souvenir qui lui Ă©tait cher, BouchaĂŻb alla tendre un piĂšge pour attraper des liĂšvres. Le lendemain, il en rapporta deux et somma sa femme d'offrir un peu de viande Ă  une vieille voisine. Avant de dormir, il dit Ă  sa femme que le lendemain, deux bƓufs seraient sacrifiĂ©s Ă  la mosquĂ©e, et lui parla d'un rĂȘve qui hantait ses nuits. Chapitre 3 Le rĂȘve lancinant Cette nuit-lĂ , le sommeil du Vieux est troublĂ© par le mĂȘme rĂȘve il tombait du haut d'un amandier qu'il grimpait. Le matin, il se rendit, en compagnie du boucher et d'un vieillard vĂ©nĂ©rable, Ă  "la MosquĂ©e haute" oĂč rĂ©gnait une ambiance de fĂȘte qui se dĂ©roulait dans un rituel mĂ©morable. Chapitre 4 Le souvenir douloureux de l'occupation françaiseEn buvant le thĂ© et en fumant, il se rappela l'histoire du Maroc sous l'occupation française et les circonstances qui l'avaient conduit Ă  s'installer dĂ©finitivement dans le village il avait fui les villes meurtriĂšres et misĂ©rables pour s'Ă©tablir dans le giron des montagnes oĂč rĂ©gnaient la quiĂ©tude et la sĂ©curitĂ©. BouchaĂŻb parla Ă  sa vieille Ă©pouse du passĂ© colonial en en faisant le procĂšs. AprĂšs, il s'endormit pour f aire la sieste; mais ne tarda pas Ă  se rĂ©veiller en sursaut Ă  cause du rĂȘve qui le persĂ©cutait. Il se remit Ă  fumer et Ă  boire le thĂ© en contemplant la montagne oĂč la chasse du mouflon Ă©tait une entreprise Ă  haut risque pour des chasseurs peu aguerris. Et de se rappeler ses anciennes parties de chasse en compagnie d'amis, dont certains avaient Ă©tĂ© des bandits qui pillaient les campagnes, AprĂšs le retour de la Vieille, qui Ă©tait allĂ©e donner Ă  manger et Ă  boire aux bĂȘtes qu’elle affectait, il lui parla d'une scolopendre mille-pattes venimeux des rĂ©gions mĂ©diterranĂ©ennes et tropicales, dont la premiĂšre paire de pattes est transformĂ©e en crochets Ă  venin logeant dans les fentes du plafond et d'un serpent dans le rĂ©duit de l'Ăąne, en affirmant qu'ils ne reprĂ©sentaient aucun danger pour eux. Ils conversĂšrent un long moment des rapports entre les bĂȘtes et les hommes et de leur familiaritĂ© avec les bĂȘtes. La femme en vint Ă  se dĂ©soler de l'absence de progĂ©niture, mais son mari la consola en lui citant les noms de prophĂštes et de rois qui n'avaient pas d'enfants. Chapitre 5 La modernitĂ© envahissante Les deux vieux assistaient Ă  la modernitĂ© envahissante qui gagnait du terrain chaque jour. La premiĂšre maison de bĂ©ton, dont le propriĂ©taire est un Casablancais, apparut Ă  proximitĂ© du cimetiĂšre, au lendemain de l'indĂ©pendance. Des pistes furent amĂ©nagĂ©es et des voitures les sillonnĂšrent. Les anciennes maisons se ruinaient graduellement, surtout celles qui trĂŽnaient au sommet de la montagne. Des pompes d'eau firent irruption dans le village; les bruits des radios dĂ©chirĂšrent le silence des lieux. Le Vieux resta le gardien de la tradition. Chapitre 6 La mĂ©moire saccagĂ©e par les mercantilistes La modernitĂ© et la tradition cohabitaient bon grĂ© mal grĂ©. Les villageois continuaient Ă  cultiver leurs terres et Ă  se rendre au souk hebdomadaire en vue de s'approvisionner en produits modernes. Mais la femme de BouchaĂŻb rechignait toujours Ă  aller Ă  la minoterie installĂ©e dans le village pour faire moudre ses cĂ©rĂ©ales; elle utilisait toujours sa meule. Et elle veillait pieusement Ă  ses bijoux en argent qu'elle prĂ©fĂ©rait Ă  ceux en or. Le couple dĂ©plora le pillage du patrimoine archĂ©ologique, des bijoux ancestraux et des articles en bois porteurs d'histoire, par les trafiquants de tous acabits qui les revendaient Ă  des Ă©trangers. Et le Vieux de mettre sa femme en garde contre les camelots rapaces qui rĂŽdent dans les villages. BouchaĂŻb et sa femme Ă©taient affligĂ©s par ces changements rapides qui annonçaient la ruine des valeurs ancestrales la dĂ©pravation des jeunes Ă  cause de la ville, le culte de l'argent, la rapacitĂ© qui mettait Ă  mal les relations familiales et humaines, l'irrespect des coutumes. Ils stigmatisaient notamment 1'alcool et ses retombĂ©es dĂ©sastreux sur les jeunes. AprĂšs cette conversation sur les temps ingrats, BouchaĂŻb rĂ©vĂ©la Ă  sa femme qu’il Ă©tait en train d'Ă©crire des poĂšmes. Chapitre 7 Le tremblement de terre entre explication scientifique et mĂ©taphysique Un jour, Ă  la fin de l'Ă©tĂ©, aprĂšs de bonnes rĂ©coltes, BouchaĂŻb fumait alors que sa femme prĂ©parait le tajine. Un chat roux et une mule avaient remplacĂ© le chat noir et l'Ăąne morts depuis quelques temps. Le nouveau fĂ©lin disparut vite aprĂšs avoir goĂ»tĂ© Ă  peine sa pitance. La nuit, le couple sentit un tremblement de terre. Le lendemain les deux Vieux apprirent que la ville d'Agadir avait Ă©tĂ© complĂštement dĂ©truite. Les habitants du village, pris de panique, firent montre d'une grande piĂ©tĂ©. D'aucuns virent un chĂątiment divin, contrairement Ă  BouchaĂŻb qui expliqua scientifiquement ce cataclysme naturel. AprĂšs une longue attente, les paysans se rĂ©jouirent des pluies torrentielles qui s'abattirent sur leur village. Ces paysans, qui peinaient beaucoup pour subsister, prĂ©fĂ©raient rester dans leur terroir que d'aller chercher une illusoire fortune dans les villes pestilentielles au Nord du pays, oĂč les parvenus sont arrogants et avares. Dans ces villes rĂ©gnaient la pauvretĂ©, la mendicitĂ© et l'indiffĂ©rence Ă  l'Ă©gard du prochain. Chapitre 8 L'Europe et la ville corrompent les cƓurs et les mƓurs Le Vieux restait attachĂ© Ă  son village; il refusait catĂ©goriquement de le quitter pour s'installer dans les ghettos de la ville, Ă  l'instar des jeunes Ă©blouis par la vie moderne. Ces derniers, ingrats Ă  la terre qui les a nourris, Ă©migrent pour exercer de sots mĂ©tiers dans des conditions dĂ©plorables. La plupart de ceux qui ont Ă©migrĂ© vers l'Europe ne sont pas mieux lotis ils vivotent dans l'humiliation. Leurs enfants, nĂ©s en terre d'exil sont dĂ©pravĂ©s; ils ne respectent pas les vivants et profanent les tombes des ancĂȘtres. Chapitre 9 L'histoire du saint mĂ©connu L'hiver Ă©tait rude; les habitants du village restaient tapis dans leurs demeures. Le couple conversa du nouveau fqih, jeune homme venu de l'institut de Taroudant en remplacement de l'ancien maĂźtre d'Ă©cole mis en retraite. Pendant que la femme prĂ©parait, comme d'habitude, le tajine, le Vieux Ă©crivait l'histoire Ă©pique d'un saint mĂ©connu, Il lut Ă  voix haute un fragment du poĂšme qu'il avait composĂ©. Son Ă©pouse le trouva fascinant. Chapitre 10 EnvolĂ©e lyrique Ă  propos de l'orange Le Vieux se rĂ©jouit de l'avĂšnement de la verdure printaniĂšre aprĂšs les averses de l'hiver, ce qui permit au couple de manger des fruits et des lĂ©gumes frais. Un matin ensoleillĂ© oĂč les villageois Ă©taient gais, BouchaĂŻb sortit son attirail d'Ă©criture. En sirotant le thĂ© Ă  l'absinthe, il pensa aux vieilles filles qui ne trouvaient pas de maris. Il conclut que le sort de ces derniĂšres est mieux que celui des femmes mariĂ©es, battues par leurs Ă©poux et affaiblies par les multiples grossesses. Il continua l'Ă©criture quand sa femme, qui revenait de l'extĂ©rieur, lui apporta des oranges. Il n'en mangea pas, Ă©tant occupĂ© par l'inspiration. Mais lorsqu'il rĂ©digea plusieurs pages, il dĂ©gusta une orange en dĂ©bitant un discours poĂ©tique sur ce fruit. AprĂšs le repas, un plat decouscous aux navets, il parla Ă  sa femme du Mokaddem, un ancien trafiquant, et s'endormit. Chapitre 11 Les touristes Le Vieux continuait l'Ă©criture de la vie du saint mĂ©connu tout en initiant sa femme aux mystĂšres du monde. Le lendemain, un guide touristique vint le voir pour louer sa mule et des Ăąnes cinq touristes amĂ©ricains voulaient faire une randonnĂ©e dans la montagne. L’un d'eux Ă©tait un Ă©tudiant qui faisait une recherche sur les coutumes de la rĂ©gion; les autres des contestataires de la politique belliqueuse de leur pays. BouchaĂŻb invita les visiteurs Ă  prendre du thĂ©, mais il refusa de louer sa monture. PressĂ©s, le guide et les touristes s'excusĂšrent et partirent. Chapitre 12 L'Ă©criture Les touristes partis, le Vieux descendit dans le jardin oĂč il observa le chat aux aguets pour attraper un oiseau. AprĂšs avoir prĂ©parĂ© le thĂ©, il se mit Ă  Ă©crire. Au dĂ©jeuner, il informa sa femme de la visite du guide. Ce dernier ne tarda pas Ă  rĂ©apparaĂźtre pour lui dire qu'il n'avait pas trouvĂ© de bĂȘtes de location les villageois en avaient besoin pour leurs travaux de champ. Chapitre 13 La circoncision Deux jours plus tard, Salem, un jeune Noir, vint inviter le Vieux Ă  la fĂȘte de circoncision des deux garçons de l'adjudant. Il se rendit Ă  la demeure de son hĂŽte qui le reçut chaleureusement. La circoncision des deux enfants effrayĂ©s terminĂ©s, les invitĂ©s conversĂšrent autour de ce rite et de l’excision dans certains pays africains. AprĂšs ils allĂšrent manger du couscous aux tripes, et partirent. Chapitre 14 Le transistor japonais Le Vieux vitupĂ©ra contre les riches qui s'Ă©taient installĂ©s dans le village, et condamne leurs vices, leur engouement pour la modernitĂ© fallacieuse et leurs fortunes bĂąties grĂące au vol. Sa colĂšre s'apaisa Ă  la vue des amandiers fleuris. Ce matin -lĂ  de fĂ©vrier, il alla Ă  la minoterie en vue de rĂ©cupĂ©rer un colis en provenance de l'Hexagone. De retour chez lui, il y trouva, outre le thĂ© et le tabac que lui envoyait rĂ©guliĂšrement chaque trimestre un ami rĂ©sidant en France, un transistor japonais et une robe française pour la Vieille. AussitĂŽt, il se mit Ă  Ă©couter les paroles d'Ahwach. Son Ă©pouse apprĂ©cia beaucoup ces chants berbĂšres. Chapitre 15 Les ennuis d'Amzil Le Vieux fit venir Amzil pour qu'il ferre la meule. Le travail achevĂ©, il invita le marĂ©chal-ferrant Ă  prendre un verre de thĂ©. Ce dernier lui conta ses ennuis Ă  cause de l'accouchement difficile de sa femme, et lui parla de la bienfaisance de Haj LahcĂšne qui l'avait aidĂ©, Chapitre 16 la modernitĂ© a ruinĂ© le marĂ©chal-ferrant Au dĂźner, BouchaĂŻb relata Ă  sa femme la mĂ©saventure d'Amzil et ne manqua pas de louer la gĂ©nĂ©rositĂ© et la noblesse de Haj LahcĂšne. Il se dĂ©sola Ă  cause de la ruine du marĂ©chal-ferrant provoquĂ©e par l'industrie moderne et la concurrence des produits Ă©trangers que les gens se procuraient volontiers. Avant de dormir, le Vieux Ă©couta Ă  la radio l'Ahwach. Chapitre 17 L'attrait de la modernitĂ© Depuis l'agrandissement du magasin du village, les gens n'allaient que rarement au souk hebdomadaire; mĂȘme le Vieux dĂ©rogeait Ă  cette tradition. Ce jour-lĂ , il fut au magasin dans le but de faire des emplettes il voulait se procurer des objets modernes, dont un rĂ©chaud Ă  gaz. Chapitre 18 Le Vieux, fidĂšle aux traditions Lorsque le patron du magasin lui conseilla de se procurer des engrais, BouchaĂŻb s'indigna et refusa net. Il acheta un cuissot de chevreau et des plants puis revint chez lui. AprĂšs avoir plantĂ© les herbes achetĂ©es au magasin, il se remit Ă  Ă©crire l'histoire du saint, avec l'espoir qu'un jour quelqu'un dĂ©couvrirait le manuscrit et le publierait. Chapitre 19 Écrire contre l'oubli Les propriĂ©taires vendirent leur troupeau de chĂšvres et de brebis; ils n'en voulaient plus. L’aĂŻeule, doyenne de la rĂ©gion, refusait cependant de quitter la demeure dĂ©labrĂ©e oĂč elle vĂ©gĂ©tait en compagnie de son fils dĂ©muni. Le Vieux vouait un grand respect Ă  cette vieille femme. Il Ă©tait affligĂ© Ă  l'idĂ©e qu'aprĂšs la mort de la doyenne, le fils, reniĂ© par ses frĂšres, vende la demeure qui serait dĂ©molie. BouchaĂŻb dĂ©plora la vente du troupeau, dernier symbole de la rĂ©gion gagnĂ©e par une modernitĂ© frĂ©nĂ©tique. Le troupeau lui rappelait l'AncĂȘtre venu du Sahara pour s'installer dans la rĂ©gion. C’est pour prĂ©server ce patrimoine que le Vieux Ă©crivait. Chapitre 20 De beaux poĂšmes La medersa, attenante Ă  un sanctuaire, Ă©tait dirigĂ©e par un jeune imam lettrĂ©. Le Vieux, qui lui avait confiĂ© depuis quelques jours une partie de son manuscrit, se rendit ce matin-lĂ  Ă  l'Ă©cole pour le voir. Ce dernier fit des Ă©loges enthousiasmĂ©s aux poĂšmes, et promit Ă  l'auteur d'Ɠuvrer pour leur publication. De retour Ă  la maison, sa femme lui fit savoir que H'mad leur avait apportĂ© deux perdreaux, et rĂ©vĂ©la son intention de faire moudre son orge Ă  la minoterie. Le Vieux lui donna raison en expliquant qu'il y avait de bonnes et de mauvaises choses dans la modernitĂ©. Chapitre 21 La publication de l'Ɠuvre du Vieux Au grand Ă©tonnement de son Ă©pouse, le Vieux se rĂ©veilla au milieu de la nuit pour se mettre Ă  Ă©crire. Il la rassura en disant que l'Ă©criture le rajeunissait. AprĂšs quelques semaines de travail, il acheva son Ɠuvre et fut voir l'imam Ă  la medersa. Ce dernier la fit calligraphier par l'un de ses disciples et garda Ă  la bibliothĂšque la belle calligraphie dans l'espoir qu'un mĂ©cĂšne veuille l'imprimer. Un mois plus tard, un professeur Ă  l'institut de Taroudant ouvrit une souscription, et le livre vit le jour. Mais bien que les medias aient ignorĂ© cette Ɠuvre, un chantre manifesta son dĂ©sir de mettre l'histoire en chanson. Le Vieux refusa; mais sur insistance de l'Ă©diteur et de l'imam, il finit par accepter cette offre. Ainsi, l'auteur gagna de l'argent dont il offrit une partie Ă  l'imam pour la rĂ©fection de la medersa. Chapitre 22 Diffusion audiovisuelle des poĂšmes Le Vieux accepta la diffusion audiovisuelle de son livre, car de la sorte les analphabĂštes y auraient accĂšs. Cependant, il prĂ©fĂ©rait des lecteurs lettrĂ©s capables d'apprĂ©cier la beautĂ© de son Ɠuvre. Sa femme fut contente quand on le qualifia Ă  la radio d'Agadir de grand poĂšte. BouchaĂŻb lui promit d'acheter un lecteur de cassettes afin qu'elle puisse Ă©couter ses poĂšmes qui seraient enregistrĂ©s sur 23 Le poĂšme Tislit Ouaman Quelques jours plus tard, le Vieux acheta au magasin un lecteur, des cassettes de Haj BelaĂŻd et une lampe Ă  gaz. Lorsqu'il fut de retour Ă  la maison, il confia Ă  son Ă©pouse son intention d'Ă©crire un poĂšme intitulĂ© Tislit Ouaman. En sa qualitĂ© de poĂšte devin, il exprima sa crainte d'une imminente sĂ©cheresse qui aurait des effets dĂ©sastreux. Chapitre 24 L'incendie du verger Un jour, BouchaĂŻb assista Ă  l'incendie du verger d'Oumouh. Le lendemain, il apprit qu'on avait trouvĂ© dans le verger des canettes de biĂšre et des mĂ©gots. Il Ă©tait sĂ»r que Oumouh serait dĂ©dommagĂ© par les parvenus dont les fils dĂ©pravĂ©s avaient provoquĂ© l'incendie. Le couple conversa longuement de la famille dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e d'Oumouh, aprĂšs quoi BouchaĂŻb continua Ă  Ă©crire son poĂšme en fumant et en sirotant le thĂ©. Chapitre 25 La visite de l'ami de France Un matin, Radwane, le vieil ami de France, vint aprĂšs trente ans d'exil, rendre visite au Vieux. Le visiteur dit qu'on parlait Ă  Paris de son livre. Il dĂ©plora les conditions de vie des Ă©migrĂ©s dans l'Hexagone, notamment Ă  cause de la montĂ©e du fascisme et du racisme. Les deux hommes en vinrent Ă  deviser de la modernitĂ© fallacieuse du village oĂč rĂšgnent la misĂšre et le culte de l'argent. Au moment oĂč ils parlaient de l'Ăąne et de la mule, le Vieux et le visiteur entendirent un coup de feu. L'hĂŽte expliqua que c'Ă©tait H'mad qui chassait les perdreaux. Dix minutes plus tard, le braconnier apporta six volatiles ensanglantĂ©s. Le dĂ©jeuner terminĂ©, Radwane dit au Vieux qu'il devait partir Ă  Agadir oĂč il avait rendez-vous avec des personnes importantes il comptait acheter une ferme d'agrumes et installer une usine de production de jus d'orange. AprĂšs les salutations d'usage, le visiteur partit et le Vieux s'endormit. Chapitre 26 La sĂ©cheresse Cet hiver-lĂ , la saison s'annonçait mal Ă  cause des pluies qui tardaient Ă  venir. C'Ă©tait la sĂ©cheresse. Les bĂȘtes crevaient de faim et de soif. Et bien que les autoritĂ©s aient dĂ©crĂ©tĂ© qu'on ne sacrifierait pas de moutons Ă  l'occasion de l'AĂŻd El Kabir, certaines gens Ă©gorgĂšrent des ovins. Dans les bidonvilles, Ă©clata une Ă©meute qui fut rĂ©primĂ©e dans le sang. C'est alors que l'État se mit Ă  construire des barrages. Au village, les effets de la sĂ©cheresse ne se faisaient pas sentir avec acuitĂ©. La vieille dit Ă  son mari que ce qu’il avait prĂ©dit dans son poĂšme Tislit Ouaman, se rĂ©alisa. Et de lui demander des livres pour leur vieille voisine lettrĂ©e. Le vieux apprit Ă  sa femme Ă  faire fonctionner le magnĂ©tophone pour qu'elle puisse Ă©couter ses poĂšmes mis en chanson par un raĂŻs. Dans ces poĂšmes, il parlait de l'amour, de la beautĂ© et de la nature. En buvant le thĂ©, le Vieux contemplait la montagne et rĂ©flĂ©chissait aux changements que le temps apportait. Il se souvint de Khoubbane qui lui apportait ses porte-plumes, ses crayons et ses cahiers. C'Ă©tait un homme qui aimait sa femme d'un amour profond. Chapitre 27 L'espoir La deuxiĂšme annĂ©e de sĂ©cheresse Ă©tait plus terrible, Les bourgades furent dĂ©sertĂ©es par les habitants. Cependant le Vieux ne s'inquiĂ©tait pas pour son village, Il stigmatisait ceux qui Ă©migrent pour s'entasser dans les ghettos des villes, et les parvenus indiffĂ©rents au sort des dĂ©munis. En dĂ©pit du malheur, BouchaĂŻb restait confiant dans l'avenir.

IlĂ©tait un capitaine a Ă©tĂ© Ă©crit et dessinĂ© par Bertrand Solet. le livre a Ă©tĂ© publiĂ© en 1972. Il mĂ©lange biographie et roman historique. Il mĂ©lange biographie et roman historique. En 1894, un officier français est accusĂ© de trahison envers l'État Major. le Capitaine Dreyfus est jugĂ© coupable.

CHAPITRE I L’auberge de la Baleine-qui-fume IsmaĂ«l, le narrateur, est mĂ©lancolique. Il a une grande envie de prendre la mer comme matelot sur un baleinier. Il est fascinĂ© par les cachalots et a envie de paysages marins. De Manhattan il se rend Ă  New Bedford dans le Massachusetts. Son but est d’aller Ă  Nantucket, point de dĂ©part des expĂ©ditions. Il trouve une place dans l’auberge La Baleine-Qui-Fume » dans la mĂȘme chambre qu’un harponneur toutes les autres sont complĂštes c’est un noir qui arrive des terres du sud Nouvelle-ZĂ©lande. Il a des tĂȘtes Ă  vendre. Lorsqu’il arrive dans la chambre, il la trouve vide. Il s’installe dans le lit et une dizaine de minutes plus tard son co-locataire fait son entrĂ©e. Tout son corps est tatouĂ©, il est chauve. Il se met Ă  fumer. IsmaĂ«l est effrayĂ© par ce sauvage » qui se prosterne devant une statuette. Ce dernier, lorsqu’il dĂ©couvre la prĂ©sence d’un hĂŽte dans sa chambre, le palpe et l’interroge, terrorisant le narrateur. L’aubergiste est appelĂ© au secours mais lorsqu’il arrive, il se montre rassurant il n’y a rien Ă  craindre. CHAPITRE II Une paire d’amis Queequeg, le sauvage, se montre finalement dĂ©licat. Les deux hommes se lient d’amitiĂ©. Le sauvage raconte comment il est devenu matelot son pĂšre Ă©tait roi de la tribu qu’il a eu envie de quitter. Il a embarquĂ© de force sur un bateau et est devenu chasseur de baleines. Ensemble, les deux amis rejoignent Nantucket. Ils trouvent Ă  se loger dans l’auberge qui appartient aux cousins de celle dans laquelle ils Ă©taient prĂ©cĂ©demment. CHAPITRE III Mon beau navire IsmaĂ«l et son ami rĂ©ussissent Ă  trouver une place pour embarquer sur le Pequod, un baleinier dirigĂ© par le capitaine Achab qui a perdu une jambe arrachĂ©e par une baleine. L’homme semble vĂ©nĂ©rĂ© par l’ensemble de l’équipage. Son associĂ© est le capitaine Bildad. Le propriĂ©taire du bateau est le capitaine Peleg. Queequeg est engagĂ© plus difficilement que son ami car c’est un sauvage, un cannibale. Mais il fait preuve d’un grand talent dans l’usage du harpon et cela lui permet d’entrer dans l’équipage. CHAPITRE IV Le capitaine Achab 24 dĂ©cembre, il fait trĂšs froid. Le navire quitte le port. Starbuck est le second. C’est un homme maigre d’une trentaine d’annĂ©es. Stubb est le 1er lieutenant, Flask le second, il a un caractĂšre belliqueux. Ce sont les trois hommes importants Ă  bord. Ils sont entourĂ©s de trois harponneurs Queequeg, l’indien Tashtego et Daggao, un nĂšgre gigantesque ». Plusieurs jours aprĂšs le dĂ©part, IsmaĂ«l aperçoit enfin Achab, puis le croise de plus en plus rĂ©guliĂšrement. C’est un vieil homme mutilĂ© et angoissĂ©. Une nuit, il se met Ă  arpenter le pont, Stubb lui demande s’il peut faire moins de bruit et subit la colĂšre du capitaine. Le lendemain, Achab leur crie qu’il y a des baleines prĂšs d’eux. Il Ă©voque mĂȘme la possibilitĂ© d’une baleine blanche, ce que les autres ne croient pas. CHAPITRE V Tout le monde Ă  l’arriĂšre Le narrateur dĂ©couvre que le capitaine Achab n’a qu’un objectif tuer Moby Dick, le cachalot responsable de la perte de sa jambe. Il promet Ă  l’équipage une piĂšce d’or. Il la traque sans rĂ©pit grĂące aux cartes qu’il consulte rĂ©guliĂšrement. Il a constituĂ© une Ă©quipe de quelques hommes qui l’aideront Ă  tuer lui-mĂȘme l’animal. CHAPITRE VI Le jet fantĂŽme Une nuit, Fedallah signale la prĂ©sence d’un cachalot. Achab prĂ©pare le navire pour la chasse. Puis, il rĂ©apparaĂźt rĂ©guliĂšrement de nuit, pour disparaĂźtre aussitĂŽt. Les marins ont de mauvais pressentiments. Le bateau est entraĂźnĂ© dans une tempĂȘte au Cap Bonne EspĂ©rance. Ils croisent le baleinier L’Albatros qui navigue depuis longtemps. L’équipage apprend par Achab qu’ils sont partis pour le tour du monde. Un matin, ils croient voir Moby Dick mais c’est un squid », un grand encornet des mers chaudes. Cet animal est associĂ© Ă  un mauvais prĂ©sage lorsqu’un vaisseau en croise un, il ne rentre jamais Ă  son port d’attache. Alors qu’il est de vigie, le narrateur aperçoit un gigantesque cachalot. Le navire se lance Ă  sa poursuite dans quatre baleiniĂšres. La chasse s’engage et l’animal est capturĂ© et tuĂ©. Stubb s’en fait servir une tranche et s’en rĂ©gale. CHAPITRE VII FunĂ©railles d’un cachalot Le cachalot est hissĂ© sur le navire pour y ĂȘtre dĂ©coupĂ©, puis sa carcasse est jetĂ©e Ă  la mer. Les marins croisent un autre baleinier, le Jeroboam. Son capitaine, accompagnĂ© de Gabriel, un homme qui a la rĂ©putation d’ĂȘtre fou, se rapproche du navire Ă  bord d’une chaloupe. Il refuse de monter Ă  bord car son Ă©quipage est touchĂ© par une Ă©pidĂ©mie. Il raconte qu’un de ses marins a affrontĂ© Moby Dick deux ans plus tĂŽt mais qu’il y a perdu la vie. Gabriel tente de dissuader Achab de se confronter Ă  l’animal. CHAPITRE VIII La jeune fille La Jeune Fille est le nom d’un autre baleinier qu’ils croisent dans les parages des Indes. Son capitaine est Derick de Beer. Il monte Ă  bord du Pequod pour demander de l’huile. Il indique qu’il voit de moins en moins de baleines. Mais en remontant sur la baleiniĂšre, il entend que des baleines sont visibles en mer et il part immĂ©diatement Ă  leur poursuite. Les marins du Pequod mettent Ă  l’eau trois embarcations Ă  sa suite. Il y a huit baleines. Les embarcations se livrent Ă  une course folle Ă  la poursuite de la plus grosse – qui est aussi la plus lente – d’entre elles. Ce sont les trois baleiniĂšres du Pequod qui l’attrapent. La jeune Fille repart. Trois jours plus tard, le Pequod poursuit sa route et arrive en Asie. L’équipage aperçoit de nouveau des cachalots et se lance Ă  leur poursuite, mais les marins constatent qu’ils sont eux-mĂȘmes poursuivis par des pirates malais. Ils finissent par les semer et rattrapent les animaux qui se sont Ă©puisĂ©s. Cependant la chasse dure encore plusieurs heures. Les baleiniers sont finalement encerclĂ©s par les cachalots qui finissent par leur Ă©chapper. Leur bilan est dĂ©cevant ils n’ont rĂ©ussi Ă  tuer qu’une seule bĂȘte. CHAPITRE IX Le Bouton-de-Rose Une quinzaine de jours plus tard, les marins aperçoivent un navire français, Le Bouton-de-rose », qui semble aux prises avec un cachalot. Ils sentent une odeur intolĂ©rable parce que l’animal est un de ceux qui a Ă©tĂ© blessĂ© par les marins du Pequod prĂ©cĂ©demment. Stubb pense que l’animal contient de l’ambre gris et se lance Ă  sa poursuite. Stubb rejoint le Bouton-de-Rose et demande au second de l’équipage s’il a vu Moby Dick. La rĂ©ponse est nĂ©gative. Leur Ă©change est tendu car Stubb dit Ă  l’autre qu’il ne tirera rien des cachalots pĂȘchĂ©s car ils sont trop vieux. Pourtant, les hommes s’acharnent sur les corps nausĂ©abonds des animaux Ă  bord Ă  la demande de leur capitaine. Finalement Stubb et le second sympathisent et montent un coup pour humilier cet homme exigeant et arrogant Stubb lui ment en lui disant que l’équipage d’un autre navire a perdu des hommes dont le capitaine et un second aprĂšs avoir contractĂ© une fiĂšvre en dĂ©peçant une baleine comme la leur. Les baleines sont remises Ă  l’eau est Stubb hisse la carcasse de celle qui lui paraĂźt contenir de l’ambre gris. Plus tard, il parvient Ă  en extraire la prĂ©cieuse substance. Le navire reprend la route Ă  la demande du capitaine Achab. Il prĂ©sente ensuite le hacheur » qui est chargĂ© de dĂ©pouiller l’animal de sa peau et de rĂ©colter l’huile provenant de sa chair. Il Ă©voque ensuite le rĂŽle des chaudiĂšres dont on prend grand soin sur le baleinier. Stubb allume un des deux fours du Pequod des morceaux de lard de baleines y sont placĂ©s et se transforment en huile, dĂ©gageant une Ă©paisse fumĂ©e noire dĂ©sagrĂ©able. CHAPITRE X Le doublon Quand il observe le doublon, une piĂšce d’or accrochĂ©e au mĂąt du navire, Achab semble chercher Ă  dĂ©chiffrer une prophĂ©tie. Cette piĂšce intrigue plusieurs membres de l’équipage. L’un d’entre eux, L’homme de l’üle de Man », annonce un mauvais prĂ©sage concernant la rencontre du navire et de la baleine blanche, se rĂ©fĂ©rant aux signes du zodiaque. Achab interpelle un navire anglais. Son capitaine lui montre son bras artificiel fait en os de cachalot. IntriguĂ©, Achab fait descendre sa chaloupe mais ne peut monter Ă  bord Ă  cause de son infirmitĂ©. Le capitaine anglais l’aide avec le crochet Ă  dĂ©peçage. Les deux capitaines ont Ă©tĂ© mutilĂ©s suite Ă  leur rencontre avec la baleine blanche. A la demande d’Achab, l’Anglais raconte comment il a perdu son bras dans sa confrontation avec l’animal la queue de la baleine a coupĂ© son canot en deux et lorsque le capitaine s’est lancĂ© Ă  sa poursuite, il a Ă©tĂ© gravement blessĂ© au bras par la barbe d’un harpon. Le chirurgien de bord a Ă©tĂ© obligĂ© de lui couper ce membre car la blessure ne cicatrisait pas et il risquait de dĂ©velopper une gangrĂšne. Le bras est remplacĂ© par un os de cachalot et un maillet Ă  son extrĂ©mitĂ©. Le capitaine indique Ă  Achab que la baleine se dirige vers l’Est. CHAPITRE XI La jambe d’Achab En remontant Ă  bord, Achab abime sa jambe d’ivoire et charge le charpentier Smut de lui en confectionner une nouvelle, ce que l’autre s’applique Ă  faire. CHAPITRE XII Queequeg dans son cercueil Le Pequod arrive prĂšs du Pacifique lorsque l’équipage se rend compte qu’il y a une fuite d’huile dans la cale. Si les hommes ne rĂ©parent pas, la cargaison risque d’ĂȘtre perdue. Starbuck obtient -avec difficultĂ©- l’autorisation d’ouvrir les cales. Queequeg est victime d’une fiĂšvre qui manque de lui coĂ»ter la vie. Il est clouĂ© dans son hamac Ă  tel point que tout l’équipage le croit perdu. D’ailleurs, il demande Ă  ĂȘtre enterrĂ© dans ce qu’il appelle un canot les coutumes de son pays font que les morts sont placĂ©s dans une pirogue et envoyĂ©s voguer sur les flots. Il ne veut pas de ce sort pour son corps. Le charpentier, Ă  la demande d’Achab, lui confectionne un cercueil et lui apporte. Le sauvage l’amĂ©nage confortablement et il s’installe dedans avec son petit dieu, son yoyo ». Il en ressort satisfait et, le lendemain, il est guĂ©ri. Son cercueil devient son coffre de rangement. CHAPITRE XIII Le Pacifique ArrivĂ© dans le Pacifique, Achab est plus dĂ©terminĂ© que jamais. Il demande au forgeron de lui faire un harpon avec des clous qu’il lui remet et qu’il doit fondre. Ils travaillent tous deux pour obtenir le rĂ©sultat voulu par Achab. Il veut l’instrument parfait pour tuer la baleine blanche. La pointe du harpon est faite de l’acier des rasoirs d’Achab. Ce qui fait dĂ©clarer Ă  ce dernier qu’il fait le serment de ne plus se raser, de ne plus manger, de ne plus prier, mĂȘme, aussi longtemps que
 » et il ne termine pas sa phrase. Leur bateau croise Le CĂ©libataire, un baleinier de Nantucket qui fait une tournĂ©e, plein Ă  craquer de son chargement. Le capitaine les invite Ă  monter Ă  bord. Achab refuse, il veut poursuivre sa route et atteindre son but. Le lendemain, la chance leur sourit et ils tuent quatre baleines. Alors que Fedallah est dans une baleiniĂšre avec Achab, il a des visions sur l’issue de leur traque et il voit leur mort. CHAPITRE XiV Le typhon Au voisinage du Japon, le navire doit lutter contre un typhon. La mer est dĂ©chaĂźnĂ©e. Strarbuck a envie de fuir, de retourner en AmĂ©rique. Unr baleiniĂšre est dĂ©foncĂ©e. Achab menace de mort les marins qui feraient une manƓuvre pour faire demi-tour. Rien ne peut l’empĂȘcher de retrouver Moby Dick. Alors que Starbuck entre dans la cabine d’Achab pour faire son rapport, il ne trouve pas le vieux capitaine mais aperçoit son fusil, ce qui lui donne une envie de meurtre. Il prend l’arme mais Ă  ce moment Achab se rĂ©veille en hurlant qu’il tient Moby Dick. Starbuck replace l’arme Ă  sa place et sort de la cabine. Le lendemain, les marins pensent croiser des sirĂšnes en entendant des cris et des plaintes mais ce sont ceux de femelles phoques prĂ©sentes sur des Ăźles rocheuses. Pour les marins, ces animaux portent malheur. Un peu plus tard, un marin tombe du nid-de-pie du mĂąt de misaine et se noie. En voulant le sauver sans succĂšs, l’équipage perd sa bouĂ©e de sauvetage. Queequed propose le bois de son cercueil pour en confectionner une nouvelle. Le lendemain, les marins pensent croiser des sirĂšnes en entendant des cris et des plaintes mais ce sont ceux de femelles phoques prĂ©sentes sur des Ăźles rocheuses. Pour les marins, ces animaux portent malheur. Un peu plus tard, un marin tombe du nid-de-pie du mĂąt de misaine et se noie. En voulant le sauver sans succĂšs, l’équipage perd sa bouĂ©e de sauvetage. Queequed propose le bois de son cercueil pour en confectionner une nouvelle. Le jour suivant, ils croisent un navire de fort tonnage, La Rachel. Son capitaine rĂ©pond par l’affirmative Ă  Achab quand il lui demande s’il a vu Moby Dick. Il ajoute qu’en voulant la chasser, son Ă©quipage a perdu une de ses embarcations qui a disparu en mer en la poursuivant. Le fils du capitaine se trouve dans cette baleiniĂšre Ă©garĂ©e. Il implore de l’aide Ă  Achab pour l’aider Ă  retrouver le disparu mais l’autre refuse. Quelques jours plus tard, ils croisent un autre navire, Le Plaisir, et Achab pose la mĂȘme question Ă  son capitaine Avez-vous vu la baleine blanche ? » L’autre lui rĂ©pond qu’il a perdu cinq hommes la veille et demande Ă  Dieu la protection d’Achab. Starbuck demande une nouvelle fois au capitaine de faire demi-tour, d’abandonner la chasse de Moby Dick. Mais Achab se sent investi d’une mission divine Ă  laquelle il ne peut dĂ©roger malgrĂ© le dĂ©sespoir qui l’habite. CHAPITRE XV La course Ă  l’abyme Une nuit, Achab sent la prĂ©sence de Moby Dick. Il avertit les autres et le bateau change de cap pour la rejoindre. Il confectionne lui-mĂȘme un panier pour se hisser le plus haut possible sur le mĂąt de misaine. Puis, fou d’exaltation, il distribue les consignes aux marins pour que la chasse puisse commencer. Ils se lancent Ă  sa poursuite et mettent un certain temps Ă  la rejoindre. Un spectacle d’une immense beautĂ© s’offre Ă  eux. La baleine plonge et disparait mais tout Ă  coup les oiseaux permettent de la situer elle se trouve sous l’embarcation d’Achab et remonde des profondeurs. Avec sa mĂąchoire, elle saisit le plat-bord et se met Ă  secouer lentement la coque. Achab, fou de colĂšre, tente de l’empĂȘcher d’agir mais n’y parvient pas l’embarcation est coupĂ©e en deux, le capitaine tombe Ă  l’eau. Les autres baleiniĂšres ne peuvent intervenir par peur de l’animal. Les vigies qui ont suivi la scĂšne depuis le Pequod font se diriger le navire sur les lieux. Moby Dick est obligĂ©e de s’éloigner. Achab est hissĂ© dans la baleiniĂšre de Stubb. EpuisĂ©, il perd connaissance. Quand il se rĂ©veille Achab dĂ©cide de chasser la baleine directement depuis le Pequod. Toute la journĂ©e l’équipage poursuit sans relĂąche l’animal. Toutes les voiles sont hissĂ©es. Quand le jour se lĂšve, ils l’aperçoivent qui souffle. Ils sont maintenant tous dĂ©terminĂ©s Ă  la chasser. ArrivĂ©s prĂšs d’elle, ils mettent les baleiniĂšres Ă  la mer et elles s’alignent, celle d’Achab au centre. TrĂšs vite, la baleine mĂšne l’attaque, s’en prenant aux embarcations. Elle en fracasse une partie et plonge au fond de l’eau. Puis, elle s’en prend aux hommes venus secourir ceux en difficultĂ© et envoie voler en l’air l’embarcation du capitaine. Starbuck fait mettre un canot Ă  la mer et recueille les hommes et tout le matĂ©riel tombĂ© Ă  l’eau. Leurs blessures sont lĂ©gĂšres, Achab a perdu sa jambe artificielle. Fedallah ne rĂ©pond pas Ă  l’appel. Achab ne renonce pas Ă  la traque et tous dĂ©cident de la reprendre. Il s’agit de tuer cette baleine Ă  tout prix. A l’aube du troisiĂšme jour, Achab finit par apercevoir Moby Dick et se lance dans le troisiĂšme affrontement avec sa vieille ennemie. Les embarcations sont mises Ă  la mer. Achab et Starbuck s’étreignent, ils savent tous deux qu’ils courent un grand danger. De nombreux requins tournent autour des baleiniĂšres. Soudain, l’immense baleine sort de l’eau et les embarcations se lancent Ă  l’attaque. Moby Dick se retourne et les charge inlassablement. Achab aperçoit un corps qui flottent Ă  la surface de l’eau c’est celui de Fedallah. Il ne s’agit plus de renoncer. La baleine semble cependant s’éloigner, puis elle s’immobilise et Achab plante son harpon dans ses chairs. Lorsqu’elle se retourne, un homme tombe Ă  la mer. Les marins reprennent la poursuite. Mais elle se retourne encore et fonce cette fois sur l’embarcation d’Achab. Il parvient une nouvelle fois Ă  l’atteindre de son harpon mais le fil s’emmĂȘle et, lorsqu’il tente de le dĂ©mĂȘler, un anneau le saisit par le cou et il est entraĂźnĂ© dans l’abĂźme. Toutes les embarcations, y compris le Pequod, sont englouties. EPILOGUE Le narrateur a survĂ©cu grĂące Ă  la bouĂ©e faite Ă  partir du cercueil de Queequed. AprĂšs s’y ĂȘtre accrochĂ© alors qu’il nageait seul en mer, il a Ă©tĂ© recueilli par le navire Le Rachel.
TXdLy.
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  • il Ă©tait un capitaine rĂ©sumĂ© par chapitre